Mahmoud Ahmadinejad

porte-parole du nouveau secrétaire général des Nations Unies a précisé le lendemain qu’il était bien en faveur de l’abolition de la peine capitale. Deux semaines seulement avant la Journée mondiale contre la peine de mort, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a accusé les États-Unis d’hypocrisie après que le pays ait exécuté Teresa Lewis et que l’ancien président américain, Bill Clinton, se soit récemment prononcé contre la lapidation. L’accent mis sur les États-Unis cette année a eu pour effet de

mythe légitimant l’Etat d’Israël et souhaitent prouver que n’est pire que le communisme. On peut également supposer un certain antisémitisme de la part des négationnistes. Plus récemment, des dirigeants politiques comme Jean-Marie Le Pen ou Mahmoud Ahmadinejad ont tenus des propos ambigus sur la Shoah, le premier la qualifiant de « détail de l’Histoire » tandis que le second la qualifie purement de mythe. Les preuves de l’Holocauste sont pourtant surabondantes. En effet, aucun nazi n’a jamais nié

Culturel, dans une salle intime de Téhéran, Mahmoud Babareza, son directeur a souhaité « mettre un terme au délire qui s'est emparé des médias. Quand un film n'est pas vu par le public, des idées préconçues et fausses jaillissent : mais le cinéma n'est que du cinéma après tout, il ne doit pas être constamment placé dans un contexte politique. »Persepolis, « islamophobe » et « antiiranien »En effet, Persepolis a été condamné par le président Mamoud Ahmadinejad, comme « islamophobe » et « antiiranien »

«révolution 2.0» est-il adéquat? En 2009, les médias occidentaux ont fait l’éloge du rôle libérateur d’internet en Iran — le New York Times titrant même «Les manifestants tirent des tweets face aux balles». Mais finalement, le régime contesté de Mahmoud Ahmadinejad se maintient. «Cela me paraît délicat de parler de «révolution internet», estime Olivier Glassey. C’est une vision occidentale de la situation qui voudrait qu’il s’agisse d’une révolte technologique. En fait, les révolutionnaires se sont servis

finances dégradées malgré la manne du pétrole ⇨ Crise sociale actuelle : inflation, crise du logement et chômage malgré une élévation du niveau de formation. = le socialisme islamique a été contraint de laisser sa place au libéralisme, et Mahmoud Ahmadinejad, élu en 2005 sur le thème du chômage, a déçu son électorat populaire. ⇨ contestation politique de plus en plus forte : à la fois des réformistes (Moussaoui en 2009) et des conservateurs, même si le pouvoir contrôle encore en grande partie

Palestine[276], puis en février 2007, où il rencontre Mohammad Honardoost, alors vice-président de l’Islamic Republic of Iran Broadcasting[277],[278]. Le 21 novembre 2009, grâce à Yahia Gouasmi, Dieudonné est reçu par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad[279],[278]. Lors d'une conférence de presse, Dieudonné déclare avoir reçu des fonds en Iran pour son « combat culturel » contre le sionisme : « Nous avons reçu un budget important qui nous permet de faire des films[Note 10] à la hauteur de ceux

usine d’armement mardi. Téhéran aurait pu se sentir trahi, isolé dans un Moyen-Orient présenté comme largement favorable à la chute du régime iranien, mais il n’en est rien. Du moins officiellement. Loin de prendre la mouche, le président Mahmoud Ahmadinejad accuse les États-Unis d'orchestrer les fuites des documents diplomatiques. "Une partie du gouvernement américain a fabriqué ces documents. Nous ne pensons pas que ces informations aient fait l'objet d'une fuite. Nous pensons que cela a été

et 2. Iran Le retournement du marché pétrolier survenu à l’automne 2008, est une mauvaise nouvelle pour le régime Iranien. Il le prive, en effet, des moyens d’une politique économique populiste et dispendieuse qui a valu au président Mahmoud Ahmadinejad, arrivé au pouvoir en 2005, de virulentes critiques. Soixante économistes Iraniens ont a nouveau mis en cause l’utilisation d’une manne pétrolière (plus de 63 milliards € en 2007 au lieu de 38,6 milliards en 2005, simplement par le jeu de la

l'ONU dans l'assassinat du dirigeant Rafic Hariri. Août : quatre Libanais - trois soldats et un journaliste -et un lieutenant-colonel israélien sont tués lors d'échanges de tirs à la frontière israélienne. Octobre : le président iranien Mahmoud Ahmadinejad effectue une visite controversée au Liban. Il est chaleureusement accueilli au Sud-Liban. La tension, liée à l'enquête menée par le tribunal de l'ONU sur l'assassinat de Rafic Hariri, est exacerbée par d'éventuelles mises en cause des membres

fired the shots received life terms. Lewis's case generated passion and interest across the world. The European Union asked Virginia Gov. Robert F. McDonnell to commute her sentence to life, citing her mental capacity. Iranian President Mahmoud Ahmadinejad cited the case at an appearance in New York. McDonnell (governors), who has supported legislation to expand the use of the death penalty, denied a first clemency request, then a second renewed plea. He said in a statement that no medical