Main

verse du savon dans le creux de ma main * Je me frotte les mains pendant 15 à 20 secondes. (les doigts, les paumes, le dessus des mains, et entre les doigts) * Je nettoie également mes ongles * Je me rince les mains sous l’eau * Je me sèche les mains avec un essuie-main à usage unique * Je ferme le robinet avec l’essuie-main que je jette ensuite dans la poubelle (à pédale de préférence) L’hygiène des mains est très importante car la main est le principal mode de transmission

variances culturelles Concepteur rédacteur ont fondé leur axe de comm sur une métaphore, et une anacoluthe (qq chose fondé qq chose qui manque de logique). Métaphore : gant du jardinier, la main gantée, main de fer entraine le champ sémantique de la robustesse. Mais femme solide n’est pas une femme féminine. Main gantée : identification de l’annonceur mais aussi du prospect Multiples métaphores et multiples champs sémantiques. L’art de cultiver son jardin -> allusion a voltaire à travers l’art

j'ai tant rêvé Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude Donne-moi te mains que je sois sauvé Lorsque je les prends à mon pauvre piège De paume et de peur de hâte et d'émoi Lorsque je les prends comme une eau de neige Qui fond de partout dans mes main à moi Sauras-tu jamais ce qui me traverse Ce qui me bouleverse et qui m'envahit Sauras-tu jamais ce qui me transperce Ce que j'ai trahi quand j'ai tresailli Ce que dit ainsi le profond langage Ce parler muet de sens animaux Sans bouche et

les temps de nous appeler avant pour un bassin. Je ferme la porte derrière moi, et m’approche pour voir à quoi m’en tenir. Une main sur son épaule, je soulève un peu le drap de dessus, la chemise étant souillée, ainsi que les draps de dessus et dessous, je lui explique que ce n’est pas grave et que je revenais avec une collègue et de quoi tout changer (le contact physique main/épaule, puis l’explication de l’infirmière rassure le patient, et estompe le sentiment de mal être de ce dernier, dût à la situation)

courrais ,courrais jusqu'à ce que je trébuche sur un corps inanimé dur et froid.J'essayais de me relever en vain.Je me sentais comme retenue,aimantée par ce sol froid et humide.Une main d'une blancheur macabre se tendait vers moi,relevant la tête je me retrouvais face à ma mère,elle me souriait chaleureusement,j'empoignais sa main glacée et me relevais sans peine.La Lune illuminait sa peau presque translucide.Jentedis soudain un craquement derrière moi je me retournais brusquement pour ne trouver que les

désinfecter le bureau ainsi que l'adaptable. Des gants a usage unique sont a disposition dans la chambre, je me sers donc et procède à la désinfection à l'aide d'une lingette et du spray, Une fois cela fait, je retire mes gants et procède à un lavage de main en nettoyant la paume des mains, l’extrémité des doigts, les espaces interdigitaux, les poignets. Une fois les mains propres, je me dirige vers l'armoire de Mr D afin de

L’infirmière a effectué ce geste comme une habitude. Les frictions ont duré chacune trente seconde jusqu’à un séchage complet des mains. Les mains venaient d’être préalablement lavées suite à une relève avec le médecin du service. Toutes les zones de la main ont été frictionnées, les paumes, le dos et le bord des mains, les espaces interdigitaux, les doigts, les pouces, le creux des mains, les ongles et les poignets. Les mains étaient non souillées, non talquées, non poudrées, non lésées. Sa blouse était

patiente qui peut effectuer certaines choses seules, mais par manque de temps, les soignants lui font tout et du coup son autonomie tend à diminuer. A 8h00, je vais réveiller Mme G, pour l'emmener à la douche. Dès qu'elle me voit, elle me prend par la main et sourit. Je lui demande de choisir des affaires se trouvant dans son armoire. Elle choisit 3 culottes, 4 pulls, 1 pantalon. Je lui explique donc qu'il faut seulement 1 culotte, 1 pull, 1 pantalon et une parie de chaussette. Elle repose ce qu'il

serais-je sans toi que ce balbutiement. J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne Qu'il fait jour à midi, qu'un ciel peut être bleu Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux Tu m'as pris par la main comme un amant heureux.Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement

je sens de nouveau mon corp, je serre les dents, j'ouvre une main, j'ai entendu le craquement de mes os. Mes poignet recommencent à me faire mal, les cordes m'ont arrachées la peau et pressent contre des blessures ouvertes, je sens mon sang couler jusque dans mes paumes. J'ai faim. Après deux jours passés ici, si ce n'est pas plus, mon estomac devient engourdit. J'essaye d'ignorer cela. J'essaye de bouger mes bras, soudain je sens ma main froide frôler quelque chose d'encore plus froid, il m'a fallut