Maire du palais

Carolingien Charles le Simple et finit par traité avec lui, lui abandonnant tout le pays entre le Rhin et la Seine, cependant il se réservait Paris et la France occidentale ; il reconnut Charles pour successeur. Pépin de Herstal : ( meurt en 714). Maire du palais vers 680. Il est battu par le Neustrien Ebroïn à Leucofao (680), il fut sauvé par la mort de son ennemi et prit sa revanche sur le Neustrien à Tertry en 687. Il réunit alors les 3 royaumes francs d’Austrasie, Neustrie et la Bourgogne, tout en

La dynastie des carolingiens règne sur le territoire franc de 751 à 987. Ils prirent le pouvoir à la mort du dernier roi mérovingien, Charles, un descendant de Pépin l'Ancien et d'Arnoul devient Maire du Palais de l'ensemble des Royaumes Mérovingiens. Il est surnommé Charles Martel grâce à sa force physique, c'est le vainqueur des Arabes à Poitiers en 732. Pépin le Bref, le fils de Charles Martel, se fait couronner Roi des Francs avec la bénédiction du Pape Zacharie. Pourtant, la figure la plus

pouvoir. *** A l'origine le Maire du Palais était chargé de l'administration des domaines royaux et de l'approvisionnement de la maison royale « La fortune et la puissance publiques étaient aux mains des chefs de sa maison, qu'on appelait maires du Palais et à qui appartenait le pouvoir suprême » (ligne 7, texte A). Le pouvoir des maires du palais alla en s'accroissant continuellement, le maire du palais gérait de plus en plus d'affaires. Le maire du palais, par l'incapacité à régner des rois

s’affaiblir. D’autre part, les derniers héritiers de la couronne étaient en grand nombres mineur au moment d‘investir leur attribution. Les compétences royales sont alors attribués jusqu’à leur majorité aux palatins, dont le major domus, le maire du palais est à la tête. Dés lors, la pratique est encré, les maires usurpent l’ensemble des pouvoirs par délégation, instaure le principe d‘hérédité au sein de leur fonction, nomment les membres influents, s’assurent l’appui des grands et enfin de l’église

provoquer la chute de la dynastie mérovingienne. En effet, au sein du palais se trouve le maire du palais équivalent du 1er ministre actuel, ie le conseiller le plus proche du roi avec les plus heurtes responsabilités dans le palais. Parmi eux, Charles Martel qui stoppa les arabes à Poitiers. Il fut alors proclamé défenseur de la foi de l’Église par le Pape. Il eu un petit-fils, Pépin Le Bref qui fut lui aussi maire du palais mais qui réalisa un coup d’état et renversa le roi mérovingien en se

Charles Martel. Leurs parents sont le roi Pépin III le Bref et la reine Bertrade (surnommée Berthe au grand pied par nos écoliers). André Larané Frères rivaux Pépin III le Bref ne s'est pas contenté comme son père d'assumer les fonctions de maire du palais d'un roi fantoche, lointain descendant de Clovis. Il a été sacré lui-même roi des Francs à Saint-Denis par le pape en personne. À sa mort, à 53 ans, le 24 septembre 768, le royaume a été partagé entre Carloman et Charles selon la coutume germanique

cela ne fait qu’empirer. Le pouvoir central se délite peu à peu. Le maire du palais prend l’ascendant sur le roi. En 751, on assiste à un coup d’Etat lorsque Pépin le Bref renverse le roitelet dont il était le subordonné. L’époque mérovingienne avait pourtant une institution importante qui était le palais. C’était le gouvernement central, l’entourage du roi (palacium : ensemble des fidèles qui gravitent autour du roi). Le palais suivait le roi dans ses déplacements. Il n’y avait pas de capitale

Neustrie(Est) et l’Austrasie (Ouest). On a alors la période des rois fainéants de 639 à 751, ces rois fainéant vont confier une partie de son pouvoir à ce qu’on appelle maire du palais (sorte de 1er ministre) la fonction de maire du palais est héréditaire. Le roi ne peut pas changer de maire du palais et au final les maires du palais vont s‘attribuer le pouvoir. Au 7eme siècle au moment des troupes arabes expansion de l’islam qui va devenir une guerre sainte mené par les troupes arabes qui progressent

l’aristocratie. Dagobert (629-639) réunifia pour un temps le royaume et fit régner la justice, ce qui explique que la mémoire populaire ait gardé de lui l’image du « bon roi ». Puis les rois mérovingiens perdirent toute autorité au profit des maires de palais, administrateurs du domaine royal : au 7ème siècle, l’un d’eux prit le titre de prince et sa charge devint héréditaire. Les rois, qui recherchaient l’appui des aristocrates, leur ont donné du pouvoir. Ces grands finirent par s’approprier le pouvoir

France et de la Belgique ainsi que sur une partie non négligeable de l’Allemagne et de la suisse mais qui n’est plus à l’époque que l’ombre d’elle-même et laisse peu à peu place à une autre dynastie issue d’une longue lignée de maire du palais(sorte d’intendant du palais) d’Austrasie puis de l’ensemble du royaume avec Pépin de Herstal père de Charles martel. L’auteur décrit ici les instruments d’un règne de façade et ceux d’un véritable pouvoir qui s’imposera jusqu’au 10ème siècle et dont le plus