Maison de Guise

èce de François) avec l'héritier du trône (futur François II), les Lorrains renforcent les liens entre leur maison et la dynastie des Valois. Dans leur famille s'illustrent également Charles, cardinal de Lorraine, Henri Ier, duc de Guise et Charles, duc de Mayenne. Si l'hostilité manifestée par les Guise à l'encontre de la politique de tolérance religieuse de Catherine de Médicis cause parfois leur mise à l'écart sous le règne de Charles IX, cette intransigeance catholique leur permet de cultiver

protestants dans La Reine Margot Catholiques | Protestants | Catherine de Medicis | Henri de Navarre | Marguerite de Valois | Gaspard II de Coligny | Charles IX | Joseph Boniface suoigneur de la Mole | Henre de Guise | Marie Touchet | Annibal de Coconnas | Henri II (Henri de la Tour d'Auvergne Turenne) | Henri de Nevers | François d'Alençon | Henri d'Anjou | Prince de Condé | René le parfumeur florentin | Lambert Mercandon

Résumé[modifier] Mlle de Mézières et le duc de Guise deviennent amoureux (1563), un projet de mariage se forme mais une intrigue le fait échouer. Mlle de Mézières est alors mariée au prince de Montpensier (1566). Les personnages principaux (sauf le duc d'Anjou) sont désormais présentés. La seconde guerre de religion débute. Du château de Champigny-sur-Veude, où séjourne la princesse de Montpensier, il ne reste à l'époque de madame de Lafayette que les communs (au premier plan) et la chapelle

de lecture : La princesse de Montpensier Résumé : Au début du roman, la princesse de Montpensier est la fille unique du marquis de Mézières et l’héritière de la maison d’Anjou. Cette jeune était aimée et aimait le jeune duc de Guise. Elle épousa finalement le prince de Montpensier par pure arrangement familial. Le duc de Guise en fut extrêmes jaloux et une haine naquît entre le prince et lui. Le prince emmena sa douce à Champigny. Là elle rencontra le comte de Chambannes qui l’instruisit pour

Henri de Guise | Marie Touchet | Annibal de Coconnas | Henri de la Tour d’Auvergne Turenne (Henri II) | Henriette de Nevers | François d’Alençon | Henri d’Anjou | Prince de Condé | René le parfumeur florentin | Lambert Mercandon | Charlotte de Sauve | Claude de Vaudré Mouy de Saint-Phalle | François de Maurevert | | Louis Bérenger de Guast | | Gillonne Thorigny | | Qui aime qui ? Par amour : Henri de Navarre ↔ Charlotte de Sauve Marguerite de Valois ↔ Henri de Guise La Mole

comparables aux catholiques pour exercer librement leur religion, tandis que les vitupérations des curés excitent les haines du peuple catholique. Аprès la mort de Henri II le pouvoir réel est disputé entre les principaux conseillers du roi: les Guise, catholiques intransigeants, pratiquement maîtres du pouvoir sous François II, la reine-mère Catherine de Médicis qui devient influente sous Charles IX, et Coligny, protestant ambitieux qui sait développer une relation d'amitié avec le jeune Charles

FICHE DE LECTURE 3ème / 4ème LA MAISON DU LOUP, de Stanley J. WEYMAN (Editions du Revif) I – UN ROMAN D’AVENTURES 1) A quelle personne est racontée cette histoire ? Qui est le narrateur de ce récit ? Présentez-le brièvement (portrait physique et moral). (2 pts) 2) A quels genres littéraires peut-on rattacher ce roman ? (1 pt) 3) Qui est « Le Loup » ? D’où vient ce surnom ? Faites son portrait (physique et moral), en prenant en compte l’ensemble du roman. (3 pts) 4) « Ce serait une course entre

alors l'unité du royaume. Donc le roi va osciller entre tolérance et répression, ce qui menera aux guerres de Religion. Dans ces guerres, deux grandes familles s'opposent : - Les Guise = catholiques, branche cadette des ducs de Lorraine - Les Condé = protestants, branche de la maison de Bourgogne Le 1er duc de Guise est Claude de Lorraine car il se distingue lors de ces guerres. Son fils, Francois, sera egalement un grand homme de guerre. Ces deux familles ont une influence politique sur le

historique Questions de langue Pronoms personnels p. 43 : « Il dit au Duc d’Anjou… dans son bateau » : le premier « il » renvoie au duc de Guise, tous les autres pronoms au duc d’Anjou. p. 46 : « Pour lui en ôter tout soupçon,… si peu ébloui que lui » : dans cette phrase complexe il faut préciser pour chacun des pronoms de la 3e personne à qui il renvoie, au duc de Guise, ou au duc d’Anjou. p. 81 : « Il se joignit à sa femme… ce que voulait son mari » : même équivoque que dans les phrases citées plus haut

germains, les trois frères Châtillon (Gaspard de Coligny, François d’Andelot et Odet, cardinal de Châtillon). Bien que partagés entre catholiques et protestants, les Montmorency-Châtillon s’unissent à l’occasion pour contrer l’influence croissante des Guise, leurs rivaux. Sans réduire les guerres de religion à un conflit privé entre ces deux familles [2], leur concurrence dans la course au pouvoir mobilise leur immense clientèle respective, répartie sur l’ensemble du royaume. Le clan Montmorency sort