Maison des Esclaves

notre bateau , et ¬ nous abandonné en quittant le navire en train de couler. Ma femme , plus attentif à veiller sur mon dernier né , avait lié la petite réservation de mât qui ma ¬ rhinocéros sont prévus pour les tempêtes, avec qui il était lié un esclaves jumeaux , et que je devais faire la même chose avec les deux autres enfants . Cela fait, ma femme et moi avec les regards de ceux qui ont été enfermés nos cœurs , nous organisons chaque extrémité du bâton , et flottant à la fois seront des vagues

appelle les « trente six mois » ; ils représentaient les esclaves temporaires. Cette main d’œuvre ne suffisait pas pour effectuer tout le défrichage des terres, on eut donc recours aux populations asservies. Il y avait beaucoup d’esclaves, les Arouargues achetés pour s’occuper de la chasse et de la pêche. En 1654, 900 juifs hollandais accompagnés de leurs esclaves sont chassés du Brésil et viennent s’installer aux Antilles. Les esclaves brésiliens sont très adroits, leurs femmes sont lavandières

Thématique : Maîtres et esclaves Pistes :Répertoriez les différentes configurations de domination dans “Moi, Tituba, sorcière…noire de Salem ». Identifiez les moments où les rapports de force sont renversés.  Qu’est-ce qui, dans la narration, a motivé ce renversement ? En quoi peut-on dire que le couple John Indien/Tituba symbolise deux stratégies différentes par rapport à la servitude ? Commentez la phrase « cette étrange situation d’être à la fois maîtresse et servante » en la contextualisant

3 enfants, Daméas, Nééra, Stéphanos s’échappent de leur maison. Personnes menacent leurs parents. Ils s’évadent par un trou fait quelques jours plutot par des cambrioleurs. 1- Les parents sont tués. Le père avait averti D. Si quelque chose lui arrivait , ils doivent fuir et voir Gorgias à Eleusis. Pére 60 ans. Peintre Mère 28 ans. Le père avait prévu d’envoyer un esclave les chercher. Il le reconnaitrai au chant de la flute, mais comme les parent sont morts le père ne peut avertir l’esclave

chasseurs. Au cours de cette expédition, Tiramagan repéra devant une grotte une Djin, une femme-génie qui connaît comme quiconque les montagnes. Lorsque celle-ci aperçut l’expédition, elle prit peur et se réfugia dans la grotte. De retour à la maison, Tiramagan raconta cette aventure à Waligelenjan, un descendant de Kamisoko. Tous décidèrent de repartir le lendemain matin avec un filet de pêche dans l’idée de capturer cette fameuse Djin. Lorsqu’ils arrivèrent sur les lieux, la femme-esprit

alors je descends de la maison Je vais à l’école. Me voilà entré, je dis « Ave Magister »(………………………..), et lui m’a embrassé en me rendant mon salut. Mon esclave m’a tendu mes tablettes, mon écritoire, ma règle, (…) j’écris en suivant le modèle ; quand j’ai fini, je montre mon travail au professeur, il a effacé les fautes et effectué les corrections ; il m’ordonne de lire. (…) J'ai fini d'apprendre ma leçon. Je demande au maître qu'il me laisse aller déjeuner à la maison. Il me laisse partir

comme c’étoit, dit-on, autrefois l’usage chez une horde de voleurs orientaux, mais même les filles non mariées, ce qui n’a jamais été rapporté d’aucun peuple. Quoi ! si nous n’allions pas chercher des Negres en Afrique, les Africains tueroient les esclaves qu’ils destinent maintenant à être vendus. Chacun des deux partis aimeroit mieux assommer ses prisonniers que de les échanger ! Pour croire des faits invraisemblables, il faut des témoignages respectables, & nous n’avons ici que ceux des gens employés

chez son amie abattue de savoir comment les esclaves noirsétaient traités par les hommes blancs. 3) Le cadre de l'histoire paraît idyllique car le narrateur, au début du texte utilisé des termes mélioratifs .Il nousdécrit les lieux de la nature comme apaisant. (L 6 "...la montagne qui était revêtue de la plus belle verdure..." L-7,8 "...ces ruisseaux...après avoir parcourudes prairies émaillées de fleurs et des plaines immenses..." L 10 " la jolie maison...") 2) À la découverte de l'ile 1) Lorsque

enfonce dans le béton encore frais la pointe la première. les briques sont ensuite enduite de plâtre. Tandis que les appartements du haut ne possédaient, la plupart du temps, qu'un bardage du bois superficiel. La logique des choses voulait donc que les esclaves et les plus démunis vivent en haut tandis que les gens aisés (mais pas encore les riches) habitent en bas. De plus, les incendies n'arrêtent pas d'éclater à Rome. L'empereur Auguste a décrété que les immeubles devaient avoir, au-dessus du niveau

son coeur... Brusquement, cédant à une impulsion, d'un geste peut-être involontaire, il la saisit, l'enveloppa dans son manteau et s'enfuit. Il sortit des jardins sans être vu. Arrivé chez lui il enferma la bête dans une chambre retirée de sa maison où personne ne pouvait soupçonner sa présence. Cela fait, il alla se coucher et médita jusqu'au matin. Ce jour-là était jour de marché ; il fit acheter pour six piastres (3 francs) une jeune gazelle toute semblable à celle qu'il avait emportée