Maîtresse

A qui Georges Duroy doit-il son irrésistible ascension ? Aux femmes séduites par sa jeunesse et sa beauté. La petite fille de l'une de ses maîtresses le surnommera Bel-Ami. Et ce fils d'aubergistes normands, à Canteleu, deviendra baron Du Roy de Cantel. L'amitié lui ouvrira la carrière journalistique. L'amour lui donnera l'argent et la gloire. Maupassant a été journaliste. Il a connu ce monde parisien du xixe siècle, les salles de rédaction qui font et défont les ministères, et leurs annexes, les

nous allons chérir toute notre vie, comme nous l'a dit la maîtresse. Elle nous a dit aussi de venir bien propres et bien coiffés. C'est avec plein de brillantine sur la tête que je suis entré dans la cour de récréation. Tous les copains étaient déjà là et la maîtresse était en train de gronder Geoffroy qui était venu habillé en martien. Geoffroy a un papa très riche qui lui achète tous les jouets qu'il veut. Geoffroy disait à la maîtresse qu'il voulait absolument être photographié en martien et

stage Mon stage à la maternelle Paul Langevin a consisté essentiellement à observé le quotidien des enfants. J'ai participé aux différentes activités, j'ai aidé au rangement, au levé de sieste, etc... Mes maitres de stage étant la directrice, les maitresses, les atsem et l’assistante de vie j'ai pu apprendre dans excellentes conditions. 3. Problématique et objectifs du rapport Ce stage a donc été une opportunité pour moi de percevoir comment une maternelle est gérée, quels sont les aspects positifs

Cléanthis dresse le portait de sa maitresse, elle a recourt à un enchainement rapide d’actions, de comportements et de pensées d’Euphrosine. Cette dernière perturbée par le rythme incantatoire du discours (battis sur des accumulations de propositions) , va perdre ses moyens et ne va pas pouvoir réfuter ou se justifier des propos tenus « je ne sais où j’en suis ». Cléanthis, peut alors sans aucun mal placer toute ses critiques concernant l’extrême coquetterie de sa maitresse. Cléanthis feint de « s’effacer

circuit normal scolaire, ils ne suivraient pas le rythme imposé et feraient preuve d’un gros échec scolaire en accumulant inutilement le redoublement. On compte dans la classe 13 élèves, dont les enfants sont âgés de 6 à 11 ans, ainsi que deux maîtresses : Claire et Christine et également une AVS : Céline. Les élèves sont divisés en 3 groupes de travail selon leur niveau : * Groupe C : Les plus jeunes qui ne savent pas lire seuls niveau : Grande section / CP * Groupe B : Ceux qui

mise en scène par Louis Jouvet en 1947 provoque un scandale. Probablement inspiré d’un fait divers survenu le 2 février 1933, un crime atroce qui a longtemps défié la chronique : deux domestiques les sœurs Papin assassinent de façon sauvage leur maîtresse et sa fille. La source d’inspiration de Genet peut aussi être la chanson qu’a créée Jean Cocteau Anna la bonne. On peut penser que ces deux éléments ont joué un rôle dans la création de la pièce Les Bonnes puisque l’auteur, souvent qualifié de « maudit »

extraits qui abordent le thème des liens qui unissent les servantes et les maitresses. Il s’agit d’extrait de romans et de théâtre. Guy de Maupassant Une vie, Joseph Bédier Tristan et Iseut et Gustave Flaubert Un cœur simple sont des extraits de romans ; et Jean Racine Phèdre et Beaumarchais Le Mariage de Figaro sont des extraits de théâtre. On peut alors se demander les différents types les liens qui unissent servantes et maitresses dans les différents textes. Il semble d’abord caractériser cela par un

SONNET 50Mon dieu, mon dieu que ma maitresse est belle !1. lecture linéaire 1er mouvement : éloge de la maitresse de l’auteur (L.1-L.4)2nd mouvement : plaintes de l’auteur, il exalte sa souffrance (L.5-L.8)3e mouvement : mélange des deux premiers mouvements (L.9-L.11)4e mouvement : comparaison de son sort à celui des frères Œbalie (L.12-L14)Mouvement 1 :En répétant « mon dieu » (L.1) deux fois, il accentue la beauté de sa dame, « Mon dieu, mon dieu, que ma maitresse est belle » (L.1).

couples maitres/esclaves s’échouent sur une ile et les lois régissant l’ile veulent l’inversion des rôles entre le maitre et l’esclave. Dans cette scène, Trivelin, le chef de l’ile demande à la servante Cléanthis de décrire la vie quotidienne de sa maitresse Euphrosine. Nous allons donc voir comment l’auteur à travers la mise en abime propose une critique de la relation entre les maitres et les valets. Dans un premier temps, nous évoquerons le portrait d’Euphrosine qui est une satire de la noblesse

répertoriées chez Vermeer, 29 comportent des femmes. Les deux exceptions sont « Le géographe » et « L'astronome ». La maîtresse est assise et elle porte un manteau jaune (appartenant très vraisemblablement à Catharina (la femme de Vermeer) car il apparaît dans 6 œuvres différentes). Son manteau et les perles qu'elle porte aux oreilles et au cou nous prouve qu'elle est la maîtresse, et qu'elle est riche. On voit qu'elle tient un luth dans sa main droite, et une lettre non décachetée dans la main gauche