Mal Et Religion

Chretiente medieval Au Moyen-Age, l’occident est fortement marqué par l’influence du christianisme. L’Eglise de Rome étend son autorité spirituelle sur l’ensemble des chrétiens et la religion est la colonne vertébrale de la société. Cette diffusion du christianisme fut progressive mais elle marque de son empreinte la vie des Européens de cette époque. Problématique : Comment l’Eglise a affirmé son autorité et comment l’Europe occidentale vit-elle sous influence chrétienne ? Plan I- La

Introduction : 1°) L’esprit des Lumières et le projet de l’encyclopédie Définition : Les Lumières : courant philosophique européen qui traverse toute l’Europe au XVIIIe siècle. Idée que la raison doit l’emporter sur la superstition et la religion ; prône la liberté de pensée, la capacité de l’homme à réfléchir par lui-même. Métaphore « lumières » : « lumières » = facultés intellectuelles > éclairer les esprits, faire qu’on puisse penser par soi-même, lutter contre l’obscurantisme. Et idée

Friedrich Nietzsche reproche à la religion d’avoir un niveau moral de jugement équivalent à l’ignorance car, ils ne font pas suffisamment la différenciation entre le réal et l’imaginaire. En voulant « améliorer » les hommes, Nietzsche propose que la religion les ait plutôt domestiqués en les affaiblissant jusqu’à la rendre presque inoffensive pour son maître. Il dit que la religion enferme l’homme dans des concepts terrifiants et abstraits pour lui faire peur de tout mal : comme la douleur, les blessures

lexical de la maladie : « La fièvre »,  « la rage » (l1) ; « des visions » (l2) ; « remède », « épidémie » (l5) ; « mal » (l7) ; « la peste des âmes » (l8) ; « cerveaux infectés », « poison » (l9) 2) Nature du mal : Il est grave car il peut conduire au meurtre « fureur », « frénétique » ; « fanatique », « meurtre » (l4) il est défini comme une gangrène. 3) Le siège du mal * L’esprit « se trouve en poison dans les cerveaux infectés » (l9) * Le corps social à cause de sa dimension

C’est une société très fermée, très différente d’aujourd’hui. L’homme a beaucoup de droits, mais la femme est dans une situation différente. Une femme enceinte ne peut pas sortir de la maison, c’est un mal vu. Les gens s’intéressent de l’avis des autres. C’est le temps où l’influence de la religion est très forte et elle joue un rôle très important. La maternité occupe une place importante dans le roman. L’auteur crée quelques personnages, quelques femmes enceintes. Les plus importantes sont la

Philosophie contemporaine   Freud et le besoin religieux Aujourd’hui on va parler de Freud et de la religion. Nous savons à quel point les domaines de la foi et de la raison pouvaient être des domaines totalement irréconciliables selon certains philosophes comme Descartes. En voulant démontrer l’existence de Dieu par des preuves rationnelles, Descartes avait plutôt contribué à montrer les limites de la raison et à quel point foi et raison semblent voués à rester des étrangers l’un pour l’autre

passage. - Il faut lire le passage aux deuxièmes degrés, les pèlerins sont dégustés avec huile … puis délogée au cure-dent, ainsi ridiculisé, ils permettent à Rabelais de mettre le comique au service d’une véritable satire. II.. La satire de la religion 1..Des pèlerins grotesque - Du début à la fin les pèlerins vont se distinguer par leurs manques de courage. Ils se sentaient déjà en danger malgré l’absence de G. - Apparait G mais les pèlerins ne prennent toujours aucune initiative. Ils sont

« La différence engendre la haine » Différence : ce par quoi des êtres ou des choses ne sont pas semblables , caractère qui distingue, oppose. Haine : hostilité qui porte à souhaiter du mal à quelqu’un. Mots clés : haine et différence Reformulation : L’altérité entre les gens engendre l’animosité. Formulation contre-énoncé : On peut être différent sans pour autant engendrer la haine. Problématique : La différence stimule-t-elle un regard méprisant,? Est-ce réellement la différence qui engendre

leurre de l'esthétisme et de l'hédonisme forcenés des affres de la jeunesse à tout prix et des passions exacerbées. Huysmans et Lorrain explorent à leur manière ces obsessions, ces névroses dans lesquelles les hommes maintenus sous le joug de la Religion, de la peur du pêché et de l'Enfer, finissent par se laisser séduire. Dans ce texte, on voit comment, un jeune homme est décrit avec un vocabulaire lié à la féminité, à la grâce des gestes, de la voix, des déplacements, venu pour une séance de pose

Une langue de chat savoureuse Avec l'humour et l'œil décapant de Joann Sfar, c'est façon transcendante du temps linéaire et progressif de la vérité religieuse qui est mis à mal, c'est toute une théorie de l'histoire des religions qui vole en éclat. Le film s’est ainsi recentré sur la question du vivre ensemble. Le chat fait tout à la fois au péremptoire religieux (Juifs, Musulmans, Chrétiens.) et au racisme de la société coloniale. Joann Sfar parvient à éviter l’angélisme, montrant la violence