Malinké

L’ORGANISATION ADLINISTRATIVE B- LA FAMILLE INTRODUCTION Les Malinkés ou Mandingues, Mandinkas, Mandingos, Mandés, Mandinkas, sont un peuple d’Afrique de l’Ouest présent principalement au Mali et en Guinée et de façon minoritaire au Sénégal(environ 4 %) dans la région proche de la frontière malienne, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire (Nord-Ouest autour d'Odienné) et en Guinée-Bissau. Les Malinkés sont présents en petit groupe aux nord de la Sierra Leone, et du Liberia. On estime

Tambacounda. Tambacounda  Pourquoi Tambacounda ?   Avec ses 59 602 km de superficie (30 % du territoire national), Tambacounda est la plus vaste région du Sénégal. Ses 60 000 habitants mêlent les ethnies (les Bambaras, les Basaris, les Malinkés, les Soninkés, et les Peuls).  Ce métissage à donné naissance a une richesse humaine et culturelle (Badema et Batou Diara) qui sera l‟issue de ce festival.  Mais des artistes quittent tambacounda, en effet la seule structure existante à ce jour

royaumes voisins. Considéré comme un roi sorcier, doué de pouvoirs magiques, quasi invulnérable, il fait régner la terreur dans toute la région. Après avoir attaqué victorieusement le Mandé, il est confronté à Soundiata Keïta qui, allié avec les rois malinkés, vient le combattre. Après plusieurs batailles incertaines, Soundiata Keïta vainc Soumaoro Kanté lors de la Bataille de Kirina en 1235. Dans l'épopée de Soundiata, Soumaoro est blessé par Soundiata grâce à une flèche munie d'un ergot de coq blanc

peuples Mandés 2 grands groupes composent les Mandé : - les mandés du sud Ils sont composés des Yacouba, des Gouro, des Gagou et des Touma installé dans les régions de Man, de Bouaflé et d’Oumé. - les mandés du nord Ils sont constitués par les Malinkés, les Bambara, et les Dioula installé dans les savanes du nord. III/ LES ALLIANCES ENTRE LES PEUPLES GOURS ET MANDES Les alliances inter ethnique concernent : - Les Wê (les Krou) et les Sénoufo - Les Koulango et les Kayaca - Les Gouro et les

sud de Kangaba, dans l'ancienne superficie du territoire de Kanniokon qui formait le domaine de Tiramakan4. La tombe de Tiramakan est ornée par un arbre sounsoun, espèce à laquelle il a donné son nom dans certaines régions d'Afrique de l'Ouest(les Malinkés du Haut-Niger nomment cet arbre Tiramakan-benben ; ils associent son apparition aux années fastes et sa disparition aux années néfastes)5. Cette tombe a fait l'objet d'un culte de la part principalement des descendants de Tiramakan, qui lui offraient

fondé par le Malinké Tiramokantraoré, l’un des généraux de l’armée de Soundjata Keita, le fondateur de l’empire du Mali. C’est au début du XIIIe siècle que celui-ci conquit la région qui allait devenir le royaume du Gaabou, d’abord vassal de l’empire du Mali. Après la chute de cet empire, trois dynasties toutes d’origines malinké allaient régner sur le Gaabou, les dynasties Nancoo, les Sané et les Mané aux origines à la fois Malinké, bainouk et diola. Avant l’arrivée des conquérants malinkés, la région

ethniques que dans d’autres. Selon M. Mouctar Oularé, de l’association Tostan (Conakry, 25 mars 2011), elle serait particulièrement fréquente chez les Peuls et les Toucouleurs, notamment dans le cas d’unions entre personnes de la même famille. Les Malinkés et les minorités de Guinée Forestière se situeraient dans la moyenne, tandis que les Soussous, qui sont considérés comme l’ethnie la plus ouverte sur le plan culturel, n’y recourraient que rarement. Sur quelle marge de manœuvre une femme qui veut

Daouda Boucar. Au XVIe siècle. Les Peuls étaient soumis à l'autorité des Malinkés, de façon très dure. Les Peuls se révoltèrent, grâce à Malick Sy gris gris qu’un valeureux guerrier devra lancer au malinkés mais devra mourir par la suite. Yamadou Hawa, descendant de Diadié Kundabalo, ancien chef khasonké accepta le sacrifice lors d’une bataille à Toumbifara. Les Peuls victorieux échappèrent ainsi à l'autorité des Malinkés. Sa personnalité lui permet de mettre ses dons mystiques à la disposition

fondé par le Malinké Tiramakan Traoré, l'un des généraux de l'armée de Soundiata Keita, le fondateur de l'empire du Mali. C'est au début du XIIIe siècle que celui-ci conquit la région qui allait devenir le royaume du Gabou, d'abord vassal de l'empire du Mali. Après la chute de cet empire, trois dynasties, toutes d'origine malinké, allaient régner sur le Gabou, les dynasties Nancoo, les Sané et les Mané, aux origine a la fois malinké, bainouk et diola. Avant l'arrivée des conquérants malinkés, la région

peut s’appeler « alliance à plaisanterie ou interethniques», force est de reconnaître qu’à la longue, une véritable alliance à plaisanterie aurait été créée. En effet, les dioulas (nordistes) désignent les Baoulés de « brussi » et les Baoulés, les malinkés de Kanga (esclaves) ou « sikésoua ». Cependant, force est constater que ces valeurs culturelles tendent à disparaître. Et les conflits intercommunautaires ne font que se multiplier à travers le pays pour connaître leur paroxysme à la faveur de la