Management Selon Schumpeter

Facteurs clés de succès Evaluation et choix des stratégies Mise en œuvre des stratégies 1. L’école de la conception Principes de base 1. L’élaboration de la stratégie se fait selon un processus de réflexion délibéré 2. La séparation entre la formulation de la stratégie (le chef de l’entreprise (CA et DG, selon Andrews) et son exécution par le reste des subordonnés…. Dichotomie entre PENSEE et ACTION. 3. L’élaboration de la stratégie est un modèle simple et formel 4. Concentration sur le processus

capitaliste » ou à « l’économie bourgeoise ». Très vite, sous la plume des doctrines, ce néologisme a acquis une connotation péjorative, au point que les acteurs libéraux lui ont substitués des termes plus neutres tel celui d’ « économie de marché ». Selon Schumpeter (1883-1950), le capitalisme se définit comme « l’appropriation privée de moyens de productions, par la coordination des décisions à travers les échanges, en d’autres termes, par le marché, enfin par l’accumulation des capitaux grâce à des institutions

les travaux d’économistes industriels (Economides, 1996 ; Henard, 1998). Elle est utilisée originellement pour expliquer la structure de l’industrie, la standardisation des produits, etc. (Farrell et 3 Saloner, 1992, Katz and Shapiro, 1994). Selon, la définition de l’ITU (International Telecommunication Union), reprise par William (2005), « une externalité est un effet (soit un coût ou un bénéfice) ayant un impact sur une tierce partie par une décision (c’est-à-dire consommer ou produire) prise

CHAPITRE I 1) Le management : est à la fois un concept, un métier, une discipline et une idéologie. Le système managérial: Une philosophie, une approche de gestion des organisations. Il est fondé sur le mouvement formel et behavioriste. Il implique l’approche systémique pour mieux illustré la complexité en général. Le système économique : Mode de création et de redistribution de la richesse. Le système sociopolitique : Valeur, histoire, système politique et social

insistera sur le rôle de la demande en biens de consommation et en biens d’équipement. Cette demande anticipée, par les entrepreneurs, dictera la mobilisation des capitaux nécessaires pour y faire face. Les entrepreneurs se projettent à court terme et selon si les anticipations sont optimistes ou pessimistes, ils décideront d’engager des dépenses en capital nouveau. Les perspectives d’avenir, c'est-à-dire les débouchés prévus par les chefs d’entreprise avant la décision d’investir, seront primordiales

l’e-commerce, car c’est lui qui a permis aux consommateurs de se créer une nouvelle manière de voyager ; ainsi, comme l’a défini Joobin Choobineh, enseignant-chercheur à la Texas A&M University dans le département Information&Operations Management, a défini le succès des sites de e-commerce comme suit : « Successful electronic commerce sites allow businesses to create low cost or more efficient channels for product sales or to create new business opportunities. The success and acceptance

l’individualisme contemporain (Mai 68) -le réveil des marchés financiers : la finance a pris l’ascendant sur le marché des affaires -la mondialisation 1) Une révolution technologique : Qq caractéristiques des révolutions industrielles par SCHUMPETER : elles se présentent en « grappes », autour de qq innovations radicales ; elles ont lieu ds les années 70 de cq siècle. 3ème rév. indust. : 69, mise au point d’Arpanet par le département de la Défense américain 71, Intel met au point le premier

des rendements factoriels décroissants). 1) La croissance économique : définition et mesure Document 1. Qu’est-ce que la croissance ? La croissance économique désigne l'augmentation de la production de biens et services sur le long terme. Selon François Perroux (1903-1987), « la croissance économique correspond à l'augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d'un indicateur de dimension, pour une nation, le produit global net en termes réels ». Un indicateur utilisé

20 du fait de l’instabilité de la croissance. - Vulgarisation de ces analyses par Schumpeter en 1939 dans son ouvrage Business Cycle qui articule les différents cycles. Kondratieff : mouvement long de 47 à 60 ans Mis en évidence en 1992 par l’économiste russe Kondratieff (Directeur de la conjoncture économique de Moscou, exécuté par Staline en 1938), repris par François Simiand (1932) et intégré par Schumpeter(1939)à sa théorie de l’innovation pour expliquer la succession des phases d’innovation

à assimiler l’innovation à une fonction de gestion, au même titre que le marketing, la finance, la planification stratégique, les ressources humaines ou la production. Aujourd’hui, tout en gardant des caractéristiques propres (notamment pour le management d’une innovation particulière), l’innovation irrigue toutes les fonctions de gestion. Elle est transversale. C’est cette double réalité qui la rend complexe et incontournable. Ainsi l’innovation n’est plus uniquement liée aux grands changements