Maquis du Vercors

sont donc décrits comme des charognards. « Les cris sourds » désigne les prisonniers torturés « Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser toute opposition mais aussi la montée de la résistance dès 1942 et l’existence de maquis comme celui du Vercors ou celui d’Ecot, dans la région de Montbéliard. Le chant souligne également l’alliance du peuple français contre l’occupant nazi : le terme « ouvriers » montre que les usines sont à la solde des nazis et le terme « paysans », les réquisitions

réunissent le 11 novembre 1941 autour de la tombe du soldat inconnu, située sous l’arc de triomphe à Paris. Mais face à l’occupant nazi, au régime autoritaire de Vichy, par antifascisme ou encore par refus de la défaite, apparaissent les premiers maquis (groupe de résistants réfugiés en pleine campagne, souvent dans des régions montagneuses, en forêt, dans des espaces difficiles d’accès). Ils sont composés de gens de tout âge, bien que très souvent jeunes, de toutes origines sociales, de toutes

l'amélioration de l'organisation des réseaux de résistants. Les objectifs de la Résistance sont militaires et visent à aider l'effort de guerre par le sabotage, le renseignement, le rapatriement des combattants (aviateurs par exemple) puis la formation de maquis. Ils sont également civils et cherchent à protéger les proscrits (communistes, Juifs, réfractaires) tout en formant l'opinion publique par la presse clandestine ou la diffusion de tracts… Ils sont enfin politiques, prévoyant, la victoire acquise,

recueillant devant le Mur des fusillés de la Chapelle en Vercors, j’ai pensé aux 16 otages exécutés par l’occupant. J’ai pensé à la population du plateau du Vercors prenant fait et cause pour les maquis et s’exposant aux plus terribles représailles. J’ai pensé aux villages bombardés, aux maisons brûlées au lance-flammes, aux maquisards massacrés, aux civils assassinés… Le Vercors a payé cher son engagement dans la Résistance. En soutenant les maquis, ses habitants savaient qu’ils risquaient le pire.

communiste » en est l’une des premières victimes, il devient d’ailleurs le parti des fusillés). « Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser toute opposition mais aussi la montée de la résistance dès 1942 et l’existence de maquis comme celui du Vercors ou celui d’Ecot, dans la région de Montbéliard. Le chant souligne également l’alliance du peuple français contre l’occupant nazi : le terme « ouvriers » montre que les usines sont à la solde des nazis et le terme « paysans », les réquisitions

communiste » en est l’une des premières victimes, il devient d’ailleurs le parti des fusillés). « Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser toute opposition mais aussi la montée de la résistance dès 1942 et l’existence de maquis comme celui du Vercors ou celui d’Ecot, dans la région de Montbéliard. Le chant souligne également l’alliance du peuple français contre l’occupant nazi : le terme « ouvriers » montre que les usines sont à la solde des nazis et le terme « paysans », les réquisitions

communiste » en est l’une des premières victimes, il devient d’ailleurs le parti des fusillés). « Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser toute opposition mais aussi la montée de la résistance dès 1942 et l’existence de maquis comme celui du Vercors ou celui d’Ecot, dans la région de Montbéliard. Le chant souligne également l’alliance du peuple français contre l’occupant nazi : le terme « ouvriers » montre que les usines sont à la solde des nazis et le terme « paysans », les réquisitions

Maurice Druon Pendant la guerre, ce chant devient l’indicatif des programmes français diffusés sur la radio britannique BBC et écoutés en France.
 Il se répand alors dans les milieux de la Résistance et devient un signe de reconnaissance dans le maquis. Description et explication de l’œuvre : Dans ce chant, les résistants sont appelés (et se considèrent entre eux en) « ami », « partisan », « camarades », « frères », « compagnon ». Les Allemands et le régime de Vichy qui réprime les

Une minorité de français refuse la sujétion et le déshonneur et s’engage dans la résistance, les uns à l’extérieur de la France, à Londres, autour du général de Gaulle et dans la « France Libre », les autres dans les réseaux de résistance et les maquis. La seconde campagne de France, après le débarquement de Juin 1944, est longue et difficile mais la Libération tant attendue se déroule dans l’unité retrouvée et « la République rentre chez elle » I. LA DEFAITE FRANCAISE ET L’INSTALLATION DU

de 1941, les communistes s’engagent. Les résistants multiplient les actions militaires (sabotages, attentats, renseignement), politiques et les réseaux d’évasion et créer de grands maquis. Ils sont victimes d’une répression brutale (tortures, exécutions, déportation, otage comme à Oradour sur Glane ou dans le Vercors). En 1943, Jean Moulin, unifie la résistance en créant le Conseil National de la Résistance mais il est arrêté et meurt en déportation. Paragraphe 3 : Les conséquences de l’Appel