Marcel Pagnol

retranscrites à travers la lecture. De ce fait, le lecteur peut s'identifier en partie à différents personnages de roman. Enfin, le personnage de roman est parfois l'auteur lui-même. Par exemple dans un roman autobiographique. Du côté de chez Swann de Marcel Proust, où il fait l'expérience de la madeleine ( il mange une madeleine quand il est adulte et des souvenirs de son enfance resurgissent) . Le lecteur s'identifie à lui davantage car ce n'est pas un simple personnage de roman, il est réel puisque

voyaient à peine, étaient des teintes non pas irréelles, trop réelles au contraire, mais fantastiques, et empruntées à la palette, à l'éclairage, inimitable dans ses noirceurs effrayantes et prophétiques, de la vieillesse, de la proximité de la mort. » Marcel Proust, Le Temps retrouvé, 1927 Question Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ? Votre réponse n'excédera pas une trentaine de lignes. Travaux d'écriture Vous traiterez l'un des

depuis 1843 écrira à Baudelaire pour lui demander l'autorisation d'une dédicace d'un poème. En 1858, Flaubert rencontre Baudelaire. Flaubert, mentor de Maupassant, lui présentera Daudet puis Zola. En 1880, Zola racontera l'enterrement de Flaubert. Marcel Proust, ami de Zola, fera d'Anatole France sous le nom de Bergotte un des personnages de son livre À la recherche du temps Perdu. Ce florilège d'auteurs choisis par Jérôme Leroy nous permet d'apprécier ces morceaux d'anthologie que compose ce receuil

style incisif et minimaliste de Hemingway). Il est aussi vu de nos jours comme un représentant majeur du modernisme littéraire américain des années 1930, suivant la tradition expérimentale d'auteurs européens tels que James Joyce, Virginia Woolf, et Marcel Proust, connus pour leur usage de la narration multiple, du point de vue multiple, de lafocalisation interne, et des ellipses narratives. Faulkner élabora quant à lui ce qu'il convient d'appeler le « courant de conscience », style donnant une apparence

CENTRES ÉTRANGERS SÉRIE L Objet d'étude : Le roman et ses personnages. Le sujet se trouve ici en bas de pas : http://www.site-magister.com/sujets19.htm Texte A : STENDHAL, La Chartreuse de Parme, 1839. Texte B : Marcel PROUST, Du Côté de chez Swann, (A la Recherche du temps perdu), 1913. Texte C : Louis ARAGON, Les Voyageurs de l'Impériale, 1948. Texte D : Albert COHEN, Belle du Seigneur, 1968. (la prof à inversé l’ordre des textes, dans mon sujet le C est à la place du D et inversement)

jeune comédienne. 1938 Co-scénariste du film de Marcel Carné Quai des Brumes avec Jean Gabin et Michèle Morgan. C’est lui qui choisit l’imperméable et le béret de Michèle Morgan et qui fait dire à Jean Gabin : T’as de beaux yeux tu sais. 1939 Co-scénariste du film de Marcel Carné Le jour se lève avec Jean Gabin et Arletty 1941 Co-scénariste du film de Marcel Carné Les Visiteurs du soir avec Arletty et Jules Berry 1944 Scénariste du film de Marcel Carné Les Enfants du Paradis avec Arletty et Jean-Louis

un véritable groupe Dans les années 1935 à 1945 il est le scénariste et dialoguiste de grands films français tels que Drôle de drame, Le Quai des brumes, Le jour se lève, Les Visiteurs du soir, Les Enfants du paradis et Les Portes de la nuit de Marcel Carné, Le Crime de Monsieur Lange de Jean Renoir, Remorques et Lumière d'été de Jean Grémillon Ses poèmes sont mis en musique par Joseph Kosma dès 1935, les interprètes étaient Agnès Capri, Juliette Gréco, Les Frères Jacques, Yves Montand et d'autres

(1954), L’Intérieur et l’extérieur (1968), Narcisse romancier (1973), Le Mythe de Don Juan (1978), Leurs yeux se rencontrèrent (1981). Courant critique, idéologie, méthode : Jean Rousset fait partie de « l’école de Genève » (au même titre que Marcel Raymond, Georges Poulet, Albert Béguin, Jean Starobinski) que Jean-Yves Tadié a pu nommer « critique de la conscience », s’agissant de celle de l’auteur. Il applique à la littérature, à la fois la méthode de connaissance et la méthode critique d’histoire

La mauvaise foi. Voici, par exemple, une femme qui s'est rendue à un premier rendez-vous. Elle sait fort bien les intentions que l'homme qui lui parle nourrit à son égard. Elle sait aussi qu'il lui faudra prendre tôt ou tard une décision. Mais elle n'en veut pas sentir l'urgence : elle s'attache seulement à ce qu'offre de respectueux et de discret l'attitude de son partenaire... L'homme qui lui parle lui semble sincère et respectueux comme la table est ronde ou carrée, comme la tenture murale est


Sources
et


Bibliographie

sélectives

 
Marcel
Duchamp,
Nu
descendant
un
escalier,
n°2,
1912
 
 I
Sources
ou
ouvrages
à
caractère
de
source
 
 A.
Ecrits
de
Marcel
Duchamp

 
 Duchamp,
Marcel,

Duchamp
du
signe,
recueil
de
textes,
Paris,
Flammarion,
1994
(1°
 édition
:
Paris,
Flammarion,
1975)
 
 B.
Etudes
sur
Marcel

Duchamp

 
 
 a.
Articles

 Apollinaire,
Guillaume,
«
Marcel
Duchamp
»,
in
Méditations
esthétiques.
Les
peintres
 cubistes,
Paris,
Falguière,
1913,
Paris,
Herman,
1965
 Kochnitzky,
Leon,
«
Marcel
Duchamp

and
futurists
»