Marelle

passé avec son décor (Mme de Marelle devant sa « glace », au sortir du lit). 2. L'alternance et la variété des points de vue Le point de vue externe met en scène le couple officiel et traduit le regard des témoins (la foule dont le narrateur semble faire partie). Le point de vue interne fait partager au lecteur les sentiments et les pensées de Du Roy. Le narrateur adopte aussi un point de vue omniscient, lorsqu'il fait part des émotions de Mme de Marelle (« timide », « inquiète », « pleins

personnages de Bel-Ami Georges Duroy, l'arriviste absolu, petit sous-officier qui devient maître de la presse et riche héritier. Il anoblira son nom : du Roy de Cantel. De même, il prendra le titre de baron. Héros éponyme. Mme de Marelle (ou Clotilde de Marelle), première maîtresse importante de Georges, ils resteront liés et amants tout au long du roman (avec quelques interruptions). Charles Forestier, ancien camarade de Duroy. Homme qui a réussi dans la presse et qui aide Georges à trouver

GOLON « Bel Ami » de MAUPASSANT Anthony 2D.11 Expliquer le titre ? « Bel Ami » est le nom donné à Georges Duroy c'est principalement la petite fille de l’une des maîtresses de Duroy, Clotilde de Marelle. Suite à cela, des personnes commencerons à l’appeler ainsi, Clotilde de Marelle sera la personne qui commencera à évoquer ce surnom, puis les connaissances de Duroy, durant ce roman, vont aussi le nommer « Bel-Ami ». Etude de l'Ascension sociale de Duroy : -Les Logements : Pendant

Ironie du texte Les sentiments du personnage (l. 1 à 12) : le personnage est débordé / l'émotion, le triomphe - presque croyant, rythme ample et majeur => montée de l'émotion "balbutier" (l. 10) G.D retrouve vite ses esprits lorsqu'il voit Mme de Marelle - capable de prononcer des paroles mondaines (l. 29) chargées de non-dit - "gaiement" : le personnage reprend le dessus - Maîtrise absolue. Le comportement dissocié de Bel-Ami  Succès grâce à sa capacité d'adaptation à l'hypocrisie ambiante Dissociation

Duroy : social populaire  monter les marches du succès (de plus en plus haut = loin) Au lieu de participer au diner d’affaire au quel il est convier avec Mr Walter chez son ami Forestier ; il instruit une petite fille : Laurine la fille de Mme de Marelle. Il sourit des pauvres car il l’est lui-même. George est très calme même lorsqu’il est provoquer, au final il captivera toujours son entourage. Il séduit tour à tour (La petite fille et sa mère ainsi que la femme de Mr Walter) Il aime raconter

pour se faire remarquer. M. Walter, le directeur de la Vie Française, décide de donner une chance à Duroy. Ce dernier, ayant gagné une forte assurance, ose enfin complimenter sa voisine, Mme de Marelle, qu'il trouve très attirante. Plus tard, dans le salon, Duroy fait la conversation à Mme de Marelle, mais aussi à la femme de M. Walter. Ayant peur de commettre quelque erreur qui gâcherait ce véritable succès, il décide de se retirer. L'inquiétude du début s'est transformée en grande assurance

médiocre employé dans les chemins de fer. La rencontre impromtue avec M.Forrestier , un ancien ami militaire l'introduira dans le milieu de la presse où il gravira tous les échelons. A la mort de M.Forrestier, il épousera une femme du monde Mme de Marelle et de l'épouse du directeur du journal « La Vie Française » , Mme Walter. Divorcé, il se remariera avec Suzanne Walter, la fille de sa maîtresse, en l'église de la Madeleine à Paris. Toute la haute société est venue l'acclamer et admirer son exellente

camarade de régiment, Forestier, qui va le recommander au directeur (au cours d’un dîner chez les Forestier où l’on rencontre les principaux protagonistes du récite : avec les Wlalters, les Forestier dont Madeleine qui aura un rôle prépondérant, Mme de Marelle, amante pour la vie, de Georges…)de son journal, la Vie française. Grâce à l'appui de son ami, Georges est embauché comme reporter ce qui lui permet de doubler son salaire… Et de faire grandir dans le cœur de Georges, l’espoir d’ « arriver », le début

passage. De plus, l’éclatant soleil dans cette scène représente la gloire et le succès. Au début du passage, Du Roy est débordé par ses émotions, sa joie. On le voit grâce à l’expression « balbutier ». En revanche, lorsqu’il aperçoit Madame de Marelle, George fait à nouveau preuve d’une totale maîtrise de soi, et est capable de prononcer des paroles pleines de sous-entendus. On remarque la présence d’un champ lexical religieux, « sacristie », « église » … Mais une absence totale de valeurs morales

fillette de Clotilde de Marelle, l’une de ses maîtresses, lui a donné. À travers le personnage, l’auteur nous fait découvrir le milieu du journalisme et de la Haute Banque, sur fond de scandales politico-financiers. Toute l’ascension de « Bel-Ami » se passe à Paris. Au départ, celui-ci est un jeune provincial pauvre qui y monte pour faire fortune. Après avoir été un petit employé des chemins de fer, il fait la rencontre de Madeleine Forestier, de Clotilde de Marelle, qui sera sa maîtresse dans