Marginal cost

totale-Cout total Remarque : en concurrence pure et parfaite, la condition recette marginale = cout marginal est également représenté pas prix= Cout marginal. 2.) L’intérêt de la concurrence pure et parfaite. a) Le prix est égal au cout marginal pour l’entreprise, pour le consommateur, le prix est égal à l’utilité marginale. A l’équilibre de concurrence pure et parfaite. L’utilité marginale est donc égale au cout marginal de l’entreprise. b) Chaque entreprise produit de la manière la moins couteuse

au-dessus du coût moyen minimum, sans induire l’entrée de nouvelles firmes. Définition de Ferguson Une barrière à l’entrée est un facteur qui rend l’entrée non-profitable tout en permettant aux firmes en place de fixer les prix au-dessus du coût marginal, et de gagner durablement des profits monopolistiques (quasi-rentes). George Stigler (1968) et C.C. von Weizs¨acker (1980) Définition selon George Stigler : Une barrière à l’entrée est un coût de production (à un certain niveau de production

fondamentales entre ces entreprises. * D’une part, l’entreprise en concurrence pure et parfaite ne peut agir sur le prix de vente, fixé sur le marché. Elle doit s’adapter à ce prix et déterminer son volume de production de telle sorte que son coût marginal soit égal au prix de vente. L’entreprise en concurrence pure et parfaite est price taker. Tel n’est pas le cas du monopole qui a la possibilité de fixer le prix de vente de son produit. Le monopole est price maker. Il ne peut cependant pas vendre

de production, propriétés de l’entreprise) Plus les prix des facteurs de production sont élevés, plus la production d’une quantité est coûteuse. Coûts total, marginal et moyen : Coût total de production : CT=CF+CV (coût fixe + coût variable) Coût moyen (coût unitaire) : CM=CT/Q (coût total / quantité) = CFM+CVF Coût marginal : ⊿CT /⊿Q La production à long terme : L’échelle de production : Doubler les moyens de production permet sur le long terme de double la production ? -rendement

réserves, par Alfred Marshall. Outre l'util, les inventeurs de cette théorie ont mis en place deux principes: * Le principe de la décroissance de l'utilité marginale * Le principe de l'égalisation des utilités marginales L'utilité marginale décroissante Ils distinguent deux comportements de l'utilité: * L'utilité marginale (Um), signifie le niveau de satisfaction procurée par la dernière unité consommée d'un bien ou par chaque unité supplémentaire d'un bien. * L'utilité totale

le prix du marché : les entreprises sont ‘preneuses de prix’. Combinée aux autres conditions de la concurrence parfaite (homogénéité, libre entrée, transparence), l’atomicité conduit à un équilibre de marché pour lequel le prix est égal au coût marginal. Or, la concentration industrielle est un processus qui accroît le poids relatif des entreprises présentes sur le marché. L’effet est évident dans le cas de la concentration horizontale (c’est-`a-dire celle qui s’observe `a un même stade la production):

l'économie il y a deux types de firmes, celles dont les rendements sont constants, et celles qu'on appel à rendement décroissant, ces firmes leurs coûts marginaux sont croissants. Cout marginal = cout de la dernière unité produite. Plus une firme produit, plus elle est grosse, moins elle est efficace. La firme va s'arrêter de produire quand son coût marginal et égale au prix de vente. Si une firme autolimite sa production c'est parce qu'elle a des coût de production croissants. 4) Demande décroissante

déposent des brevets sur leurs inventions afin d’en posséder le droit exclusif pour une durée de 20 ans. Elles peuvent alors se retrouver en situation de faiseuses de prix, c’est-à-dire d’imposer un prix plus ou moins élevé, mais supérieur au coût marginal afin de réaliser des profits. De telles actions peuvent empêcher l’entrée de nouveaux concurrents sur le marché, ceux-ci ne pouvant pas supporter les prix prédateurs pratiqués par les entreprises déjà implantées, trop faibles pour les nouvelles entreprises

déterminée par la loi de l’offre et de la demande des facteurs de productions, ce qui permet d’affirmer que « A l’état d’équilibre il y a nécessairement égalité entre le taux de rémunération allouée à chaque facteur de production et sa productivité marginale (l’ensemble des rémunération=valeur du produit). N’oublions pas que ces thèses ne sont pas vérifiées sans la supposition que la fonction de production est homogène de degré 1, c’est-à-dire les rendements sont toujours constants.

(recette marginale c’est à dire prix unitaire) plus élevée que l’augmentation du coût total (coût marginal c’est à dire le coût de la dernière unité produite)... il diminue dès que le coût marginal devient plus élevé que le prix. Le profit est maximum pour la quantité égalisant le prix au coût marginal. Si les rendements deviennent décroissants le coût moyen diminue puis augmente. Courbe Cmo d’abord décroissante puis croissante. Tant que le coût moyen diminue, le coût marginal (coût de la