Marianne George Sand

recherche de soi-même, puis nous verrons que l'auteur produit son autobiographie pour d'autres raisons encore. Effectivement, l'autobiographe par à la recherche de lui-même. Tout d'abord, il cherche à se souvenir de son vécu, comme la démontre George Sand dans son œuvre intitulé, L'Histoire de ma vie, où elle raconte sa naissance, son enfance, et toutes les émotions qu'elle a ressentit au cour de sa vie. Cette idée est également évoquée par un autre auteur, Arthur Rimbaud dans son poème intitulé

Objet d'étude : Le biographique. Textes : -Texte A - George Sand, Histoire de ma vie (incipit), 1855. -Texte B - Jean d'Ormesson, « Sand », Une autre histoire de la littérature française, 1997. -Texte C - Huguette Bouchardeau, La Lune et les Sabots, 1990. -Texte D - F. O. Rousseau, Les Enfants du siècle, V, 1990. -Annexe : Préface de Jérôme et Jean Tharaud à Histoire de ma vie de George Sand, 1944. Texte A - George Sand, Histoire de ma vie. Le juillet 1804, je vins au monde, mon père

succès de l’ouvrage. Après la publication de "Salammbô" (1862), il fréquente les écrivains célèbres de Paris, Les Goncourt, Sainte-Beuve, Théophile Gauthier, George Sand... La critique de "L'Education sentimentale", ouvrage auquel il a consacré sept ans et qu'il publie en 1869, est très mauvaise, malgré le soutien de Zola et de George Sand. Il en est de même pour la version définitive de "La Tentation de Saint Antoine". Mais Gustave Flaubert ne recherche pas la célébrité : "Je vise à mieux, dit-il

roman, mais bien des pistes d'étude sur ce texte. Je vous suggérerai de vous intéresser aux thèmes suivants : - le personnage de la petite fadette et ses liens avec Sand elle-même : fillette brune et originale, élevée par sa grand-mère après le départ de sa mère ; indépendance de caractère, tempérament un peu garçonnier : Sand a pu se souvenir de sa propre enfance. - en plus des données autobiographiques, probables mais anecdotiques, il y a toute une réflexion sur la différence et l'originalité

quinze ans, Hugo restera en exil, écrivant des satires contre celui qu'il appelle "Napoléon le petit". Mais c'est aussi l'époque où il produit ses plus grandes oeuvres : Les contemplations, La légende des siècles et Les misérables. En 1868, mort de Georges, son petit fils, en mars. En août, mort d'Adèle Hugo, son épouse. Le 4 septembre 1870, proclamation de la République. Le 5 septembre, Victor Hugo est accueilli triomphalement à Paris. Fin juin1878, Victor Hugo est victime d'une congestion cérébrale

un langage nouveau aux yeux de l’humanité, la douleur devient le moyen de se dépasser pour l’artiste. Nous pouvons à cet égard Hugo qui à la mort de sa fille Léopoldine nous écrit de merveilleux vers dans « demain dès l’aube ». A sa rupture avec George Sand, Musset écrivit de même la « nuit de mai », son désespoir fut donc une incroyable source d’inspiration. 2 - une intériorité affective profonde L’amour est la source privilégiée des artistes en général, les sentiments intérieurs sont profonds et

Le corpus soumis à notre étude est composé d’un extrait du Tableau de Paris de l’écrivain Louis-Sébastien Mercier publié entre 1781et 1788, puis du recueil épistolaire sous forme autobiographique de George Sand, Histoire de ma vie, paru en 1855, ainsi que de l’essai de Simone De Beauvoir, Le Deuxième Sexe, édité en 1949. Ce corpus présente une unité thématique puisque tous abordent la question de la femme. Mais quelle vision de la femme ces trois textes prônent-ils ? Tout d’abord, nous pouvons

merveilleux, Flaubert parvient à donner une tournure réelle à son histoire grâce à ses descriptions . Ces contes aux contenus passablement réalistes mettent parfaitement en avant la relation existant entre un être et un objet. D'où la citation de Georges Poulet, critique littéraire Belge, "Ce que Flaubert a conçu et réaliser, c'est une nouvelle façon de présenter les rapports entre l'être et ses objets, une façon plus vraie, en tout cas plus concrète, plus sensible, que celle de ses devanciers.".

tout commence… D’une espèce de brasse folle, inventée. Dont on coule ou survit. ». Il ne sait jamais comment va se finir son roman « jamais je n’ai écrit une histoire dont je connaissais le déroulement », il découvre son récit comme le lecteur. Georges Sand était pareil, il disait « quand je commence un roman, je n’ai aucun plan ; ça s’arrange tout seul pendant que je griffonne » Tandis que Sartre avait des brouillons sans rature ni correction pour la philosophie mais une écriture brouillonnée

Alfred doit vivre son deuil. L’amour qu’il éprouve pour elle et la confidente qu’il perd rendent son cheminement plus difficile. / Parfois la vie nous impose des épreuves que nous ne pouvons éviter. Le départ d’un être chère en fait partie. George Sand part et abandonne à tout jamais Alfred de Musset qui doit assister à cette scène impuissant. Il n’y a aucun moyen de la faire changé d’idée / Il doit accepter les choix qui lui sont imposés par sa bien aimée. Passant par-dessus les souffrances,