Marie Alfred De Musset

    - Texte A : Alfred de Musset, Lorenzaccio, acte IV, scène 9     - Texte B : Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938)     - Texte C : Samuel Beckett, Oh ! les beaux jours (1963)     - Annexe au texte C : Photographie de la mise en scène de Oh ! les beaux jours par Roger Blin au théâtre du Rond-Point, 1981 (Madeleine Renaud dans le rôle de Winnie)     - Annexe au corpus : Antonin Artaud, Le Théâtre et son double (1938). Texte A : Alfred de Musset, Lorenzaccio (1834)

......................14   Guillaume Apollinaire, « Nuit rhénane » ........................................................14   Alfred de Musset, « La Nuit de décembre » ...................................................15   Aragon, « Le cri du butor » (extraits)..............................................................16   Alfred de Musset, « Lucie » (1835) ................................................................18   Aragon, « Vingt ans après » .................

l'homme, tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art.” Victor Hugo, préface de Lucrèce Borgia, (1833) : « Le théâtre est une tribune. Le théâtre est une chaire. Le théâtre parle fort et parle haut » Victor Hugo, Préface de Marie Tudor, (1833) : « Il y a deux manières de passionner la foule au théâtre: par le grand et par le vrai. Le grand prend les masses, le vrai saisit l'individu ». Victor Hugo, extrait de Faits et croyances (1840) : « Une pièce de théâtre, c’est quelqu’un

la peinture et des arts visuels, du romantisme au surréalisme. Le chapitre du manuel Du romantisme au surréalisme ➤ Une partie d’un recueil : Victor Hugo, « Pauca mea e », Les Contemplations (1856), pp. 232-235 ➤ Une œuvre complète : Alfred de Musset, Les Nuits ➟ Séquence 2, pp. 248-256 ➤ Trois groupements problématisés : – Romantisme et exaltation du moi ➟ Séquence 1, pp. 222-246 – Les chemins de la modernité poétique ➟ Séquence 3, pp. 257-276 – Les surréalistes en quête de merveilleux

(janvier-février 1852, février-mars 1853, août 1853-mai 1854, fin 1854). Il se pendit dans la nuit du 25 décembre 1855. ------------------------------------------------- 3. 1. 1. Jeunesse de Gérard de Nerval Fils d'Étienne Labrunie, médecin militaire, et de Marie-Antoinette Laurent fille d'un marchand linger de la rue Coquillière, Gérard de Nerval naît le 22 mai 1808, vers 20 heures [1] , à Paris, au 96, rue Saint-Martin (actuellement le n° 168). Baptisé le 23 à Saint-Merri, il est confié quelques mois plus

Page 9 Souvenir. Pages 10 11 12 13 14 Pierre Ronsard (1524-1585) est un des poètes les plus influents de la Renaissance en France. Dans son recueil « les amours de marie » (1556) l’auteur décrit son amour malheureux pour Marie, une jeune paysanne. « J’ai l’âme de regrets touchée » est un sonnet qu’il utilise pour décrire sa bien-aimée. Il regrette le temps où il pouvait la voir et la toucher. J'ai l'âme de regrets touchée. Sonnet XI. J'ai

ALFRED DE MUSSET : LORENZACCIO : ACTE I SCENE 1 Introduction : C'est la scène initiale ou scène d'exposition qui va mettre en scène deux personnages principaux : le duc de Florence, Alexandre de Médicis et son cousin Lorenzo. Les deux hommes attendent l'apparition d'une jeune fille. Ce passage constitue un dialogue principalement entre ces deux personnages qui se rattache aux critères d'une scène d'exposition et qui va permettre un premier portrait du héros, Lorenzo. Texte étudié : ACTE PREMIER

Mac-Nab - Machiavel - Magen - Magny - Maistre - Maizeroy - Malherbe - Mallarmé - Malot - Mandela - Mandeville - Manzoni - Marat - Marbeuf - Saint Marc - Marc Aurèle - Maréchal - Marguerite de Navarre - Paul Margueritte - Victor Margueritte - Marie-Antoinette - Marie de France - Marivaux - Marmier - Marot - Marsan - Marthold - Martin - Marx - Mary - Maspéro - Matigny - Saint Matthieu - Maturin - Maucroix - Maudru - Maurière - Mauwls - Maupassant - Melun - Melville - Ménard - Mendès - Meray - Meredith

TIMANTE. - Quoi !... MARINETTE. - Ces poings puniront cotre infâme pensée, Si vous restez. Molière et Racine furent aussi des auteurs de la même période. Le théâtre romantique Alfred de MUSSET né le 11 décembre 1810 à Paris dans un milieu aisé et cultivé, doué de grandes facilités, il mena une adolescence dissipée de dandy. Il entreprit des études de droit et de médecine, qu’il ne termina pas, et fréquenta, dès 1828, le Cénacle romantique

tourbillons, 
 Leurs pavillons. La lune qui s'efface 
 Couvre son front qui passe D'un nuage étoilé 
 Demi-voilé. Ainsi, la dame abbesse 
 De Sainte-Croix rabaisse 
 Sa cape aux larges plis 
 Sur son surplis. (…) Premières poésies, Alfred DE MUSSET (1710-1857) Mouvements littéraire: Le romantisme Clair de lune La lune était sereine et jouait sur les flots. - La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d'un flot d'argent brode