Marie Calumet Rodolphe Girard

Question no.1 1904 : Marie Calumet de Rodolphe Girard 1916 : Maria Chapdelaine de Louis Hémon ¬ 1918 : La Scouine d’Albert Laberge 1933 : Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon 1934 : Les Demi-civilisés de Jean-Charles Harvey 1937 : Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard 1938 : Trente arpents de Ringuet 1945 : Le survenant de Germaine Guévremont 1945 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy 1948 : Les Plouffe de Roger Lemelin Question no.2 1. La vague idéaliste du

Marie CalumetRessemblances dans la critique de la religion Dans les deux textes, on met l’accent sur la naïveté et la soumission excessive des fidèles. Scouine :Marie Calumet :Dans les deux textes, la figure de l’évêque est tournée en ridicule. Scouine : Marie Calumet : Dans les deux textes, les hommes d’église sont à distance de la population.Scouine  : Marie Calumet

Exercice de synthèse NO.1 Question no.1 * 1904 : Marie Calumet de Rodolphe Girard * 1916 : Maria Chapdelaine de Louis Hémon * 1918 : La Scouine d’Albert Laberge * 1933 : Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon * 1934 : Les Demi-civilisés de Jean-Charles Harvey * 1937 : Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard * 1938 : Trente arpents de Ringuet * 1945 : Le Survenant de Germaine Guévremont * 1945 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy * 1948 :

601-103-MQ Littérature Québécoise Exercice de Lecture No.1 Collège Ahuntsic Le 14 février 2013 Question no.1 Ordre chronologique par publication : 1904 : Marie Calumet de Rodolphe Girard 1916 : Marie Chapdelaine de Louis Hémon 1918 : La Scouine d’Albert Laberge 1933 : Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon 1934 : Les Demi-civilisés de Jean-Charles Harvey 1937 : Menaud, maître draveur de Felix-Antoine Savard 1938 : Trente arpents de Ringuet 1945 : Bonheur d’occasion

littérature eût encore beaucoup d’importance. Cette dernière fut d’ailleurs un atout lors de la parution du roman de Rodolphe Girard, Marie Calumet, inspiré par une chanson populaire. Pourtant, ce roman ne fut pas encensé par tous. En effet, les valeurs exprimées dans celui-ci s’opposaient vigoureusement à celles véhiculées par les écrivains régionalistes. Dans son œuvre, Girard nous présente des personnages scabreux : ils font perdre la face au clergé, ridiculisent les campagnards ou choquent

Article « L’inscription de l’écriture dans Marie Calumet » Louise Milot, François Ouellet et Fernand Roy Voix et Images, vol. 16, n° 1, (46) 1990, p. 80-94. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/200875ar DOI: 10.7202/200875ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit

Questionnaire de l’exercice Question no.1 1904 : Marie Calumet de Rodolphe Girard 1916 : Maria Chapdelaine de Louis Hémon 1918 : La Scouine d’Albert Laberge 1933 : Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon 1934 : Les Demi-civilisés de Jean-Charles Harvey 1937 : Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard 1938 : Trente arpents de Ringuet 1945 : Le Survenant de Germaine Guévremont 1945 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy 1948 : Les Plouffe de Roger Lemelin Question no

EXERCICE DE SYNTHÈSE NO.1 Question no.1 1904 : Marie Calumet de Rodolphe Girard 1916 : Maria Chapdelaine de Louis Hémon 1918 : La Scouine d’Albert Laberge 1933 : Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon 1934 : Les Demi-civilisés de Jean-Charles Harvey 1937 : Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard 1938 : Trente arpents de Ringuet 1945 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy 1945 : Le Survenant de Germaine Guévremont 1948 : Les Plouffe de Roger Lemelin Question no.2 1-

réduire et répéter le mythe du curé peu intéressé aux choses intellectuelles. Bien entendu, nous comprenons que le mythe du curé rétrograde existe bel et bien dans certains village, nous justement un exemple tiré d’après la lecture de Marie Calumet (1904) de Rodolphe Girard. Ce dernier met en scène le curé Flavel qui s’exprime sur la dimension du curé d’une manière diamétralement opposée du curé Doucet : « Tu parles dans les termes tandis que moi, mon Dieu, je ne sais pas grand-chose, toute ma science

l’action que les paysages ou les personnages. En 1862, Antoine Gérin-Lajoie publie Jean Rivard, le défricheur, roman considéré par Berthelot Brunet comme « une sorte de retour à la terre » 9, suivi par la publication en 1904 du roman Marie Calumet de Rodolphe Girard, roman sévèrement critiqué par l’Église à cause de certains épisodes qui, selon les autorités cléricales de l’époque, ont déformé les mœurs du village et ont fait des allusions à la sexualité. Le roman du terroir devient un phénomène