Marie Claire

 au  plus  grand  nombre.   Nous   nous   sommes   plus   particulièrement   centrées   sur   l'étude   des   trois   figures   féminines  majeures  du  christianisme  :  Eve,  Marie  et  Marie-­‐Madeleine,  et  ce,  à  travers  le   genre  du  portrait  féminin.   Nous   verrons   ainsi   à   travers   ce   dossier   et   l'étude   de   trois   œuvres   («   Le

avons pu voir qu’il y a plusieurs représentations de la reine Marie-Antoinette. Mais était-elle considérée comme une martyre ? William Hamilton peint de 1793 à 1794, un tableau de Marie-Antoinette après sa condamnation à mort dans lequel elle est dirigée vers l’échafaud : «Marie-Antoinette quittant la Conciergerie le 16 octobre 1793 ».  Quand on regarde ce tableau, le premier détail qui attire notre regard est la modeste robe blanche de Marie-Antoinette. L’arrière-plan du tableau, nous montre des gardes

que le vieil homme est malade par ses verrues pourtant le jeune garçon le touche et n'a pas peur. L'enfant Jesus, la Vierge Marie et Sainte Anne commencé par Leonard de Vinci en 1501 mais inachevé montre que l'artiste ne tien pas compte des contours des personnages car ils se confondent avec les décors. Nous noterons aussi qu'il y a un fort sumato c'est à dire un clair obscur. Nous pouvons voir que sur les Noces de Cana peinte par Veronese, un épisode la Bible est représenté. Nous apercevons

l’arrière de la plate forme qui le sépare des personnages du premier plan, le troisième plan est composé de jeunes hommes nus assis sur un muret et enfin l’arrière plan qui laisse apercevoir des montagnes. Le point de fuite se trouve à l’arrière de Marie et est donc caché au yeux du public. Il existe un jeu de regard entre les trois personnages du premier plan, l’homme regarde l’enfant, l’enfant regarde la femme et la femme regarde l’enfant. Aussi, les bras des trois personnages forme une ligne continue

Elle sera achevée par son fils qui aménagera la terrasse. Elle se compose de deux pavillons latéraux, son centre est surmonté d’un clocher abritant 30 cloches, coiffé d'un bulbe. Sur le pignon (partie supérieure triangulaire) gauche de la façade, Marie est agenouillée tandis que l'ange se trouve sur celui de droite. Ils sont accompagnés, sur la balustrade et au-dessus du portail, de statues de saints et des évangélistes. Style de l’église : Le style baroque : Le baroque est un style qui est

enlace un agneau, semblant s’échapper des mains de sa mère. Anne regarde Marie qui regarde Jésus qui la regarde à son tour, comme l’agneau qui le regarde. On constate donc un jeu de regard entre les personnages qui mènent tous vers Jésus qui est donc le centre de ce tableau, tout tourne autour de lui. Sainte Anne est statique, assise, campée sur ses jambes, un bras en appui sur la hanche, un petit sourire aux lèvres. La vierge Marie a une pause dynamique, tendue vers Jésus l’enlaçant dans ses bras, le

religieuses, créant parfois un tapis de fleurs pour la Vierge Marie. Cependant, personne ne les a observées si attentivement ni représentées si fidèlement que Léonard de Vinci. Ce tableau est aussi connu sous le nom de « La Vierge avec saint Jean enfant adorant l'Enfant Jésus accompagné d'un ange ». Analyse : Les quatre personnages forment un triangle au centre de l'œuvre, souligné par un jeu de mains et de directions explicites. La Vierge Marie, parée de son traditionnel habit bleu (tradition médiévale)

Le printemps (Primavera en Italien) de Botticelli est exécuté en tempera sur panneau de bois entre 1478 et 1482, lors de la renaissance italienne. Au premier plan, on retrouve des personnages à peau clair mis en valeur par un arrière-plan plus sombre. Ils sont au nombre de huit, sans compter cupidon qui se retrouve au dessus du personnage centrale, qui n’est d’autre que Vénus. Les femmes ont toutes des caractères physique similaires, des cheveux bouclés, le nez droit ainsi que des yeux de

facilement la colonne ou le christ fut battu. La colonne penche vers la gauche pour répondre a la croix qui elle penche vers la droite 2ème : Au centre Jésus avec une carrure athlétique qui jugent les chrétiens et la vierge Marie, tout deux entouré d’un cercle de couleur clair les faisant ressortir et leur donne de l’importance. Le Christ, le bras droite élevé, avec la main ouverte jette les damnés du coté des démons, de sa main gauche il montre délicatement le chemin aux chrétiens qui méritent le

Les œuvres les plus connues de Tintoretto sont une série de peintures de scènes de la vie de Jésus et de la Vierge Marie dans la Scuola Grande di San Rocco, dont il est nommé décorateur officiel en 1564. Dans ces œuvres de dimensions impressionnantes, le Tintoret réalise des compositions aux « espaces vertigineux et dynamiques » et aux « torsions exacerbées » où domine « un clair-obscur fantomatique et dramatique »2. Une comparaison de l’œuvre de Tintoretto La Cène (Ultima cena) avec l’œuvre de