Marie-Georges Picquart

prouver son innocence, pour ce faire elle engage le journaliste Bernard Lazare qui publie en 1986 “L'Affaire Dreyfus – Une erreur judiciaire», mémoire dans lequel il démonte l’accusation point par point contre le capitaine Dreyfus. Le colonel Marie-Georges Picquart, chef du contre-espionnage, convaincu de l’innocence du capitaine révèle en mars 1896 le vrai traître après la découverte d’un morceau de papier déchiré (appelé « petit bleu ») adressé à Ferdinand Walsin Esterhazy écrit par un attaché militaire

ans George Picquart chef du service secret militaire Français devenu Dreyfusard après avoir identifier Esterhazy comme auteur du bordereau. Il est envoyer en Tunisie en Janvier 1897 pour avoir pris partit pour Dreyfus Adjoint du colonel Sandherr à la Section de statistique, Hubert Joseph Henry, laborieux artisan des faux les plus célèbres de l'affaire Dreyfus, était né à Pogny, dans la Marne, le 2 juin 1846. Il a fabriquer de faut télégramme qui devait compromettre le colonel Picquart et, dès

capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président

accusé d'espionnage bien qu'il soit innocent. Après plusieurs demandes de révisons du procès de la part de la famille de Dreyfus, l'armée refuse. Il faut attendre mars 1896 pour que le nouveau chef du service des renseignements français, le colonel Picquart, entre en possession d’un document prouvant que le véritable coupable Dreyfus, mais un autre officier français, le commandant Esterhazy. L'affaire Dreyfus éclate véritablement en Janvier 1898 quand Émile Zola, écrivain, publie une lettre adressé

il est déporté sur l’île du Diable vers la fin de l'année 1894. Sa famille, notamment son frère Mathieu tente de prouver son innocence. Le colonel Georges Picquart, chef du contre espionnage, constate en mars 1896 que le commandant Ferdinand Walsin Esterhàzy est le vrai traître mais l’État Major refuse de revenir sur son jugement et envoie Picquart en Afrique du nord. Sa famille veut alors attiré l'attention du président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir trois mois plus tard que

Juif. En 1894, Dreyfus est condamné au bagne (établissement pénitentiaire dédié aux tavaux forcés) à perpétuité, puis il sera envoyé sur l'île du Diable (Guyane) en janvier 1895. En mars 1896, Georges Picquart, un colonel découvre le vrai coupable, le commandant Ferdinand Walsin Esterhàzy. Mais Picquart est muté en Tunisie et ne doit pas révéler ses informations. Puis il sera emprisonné pendant un an. Sa hiérarchie lui avait interdit de dire quoi que ce soit concernant l'affaire pour ne pas créer

capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président

capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président

capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président

risque d’une contestation populaire et d’un retour de l’affaire sur le devant de la scène, les militaires qui ont fait condamner Dreyfus s’organisent afin que leurs irrégularités ne soient pas exposées publiquement. Pourtant, le lieutenant-colonel Georges Picquart, chef du service des renseignements militaires, avait découvert l’identité du véritable traître dès 1896. Mais il est limogé par l’état-major, qui se livre à des manœuvres de protection du véritable coupable, dont le but est de maintenir coûte