Marie-Louise Mignot

pèse. * Le fils du baron Thunder-ten-tronckh, jésuite entiché de sa noblesse. * Cunégonde, fille du baron Thunder-ten-tronckh, cousine et amoureuse de Candide. Peut-être imaginée à partir des deux maîtresses de Voltaire : sa nièce Marie Louise Mignot Denis et la scientifique, Émilie du Châtelet. * Pangloss, professeur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, précepteur de Candide et de Cunégonde. Peut-être imaginé à partir de la duchesse de Saxe-Gotha, Louisa Dorothea von Meiningen

Voltaire fait parti du courant des Lumières (courant philosophique du XVIII ème siècle) Spécificité de l'ouvrage : paraît en 1759 sous « Monsieur le Docteur Ralph ». Chronologie historique : ]... Règne de Louis XIV][Mort louis XIV]1715[Régence Philipe d'Orléans]1723[Règne de Louis XV]1774[Règne de Louis XVI ...[ /!\ Inquisition : peine religieuse qu'encours qqun quand il emet des propos anti-catholiques. Candide, bâtard de la sœur de monsieur le baron Thunder-ten-tronckh, « l’esprit le plus simple

qu’elle pèse. Le fils du baron Thunder-ten-tronckh, jésuite entiché de sa noblesse. Cunégonde, fille du baron Thunder-ten-tronckh, cousine et amoureuse de Candide. Peut-être imaginée à partir des deux maîtresses de Voltaire : sa nièce Marie Louise Mignot Denis et la scientifique, Pangloss, professeur de métaphysico-théologo-cosmolonigologie, précepteur de Candide et de Cunégonde. Peut-être imaginé à partir de la duchesse de Saxe-Gotha, Louisa Dorothea von Meiningen, une leibnizienne avec

pèse. • Le fils du baron Thunder-ten-tronckh, jésuite entiché de sa noblesse. • Cunégonde, fille du baron Thunder-ten-tronckh, cousine et amoureuse de Candide. Peut-être imaginée à partir des deux maîtresses de Voltaire : sa nièce Marie Louise Mignot Denis et la scientifique, Émilie du Châtelet. • Pangloss, professeur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, précepteur de Candide et de Cunégonde. Peut-être imaginé à partir de la duchesse de Saxe-Gotha, Louisa Dorothea von Meiningen

pèse. * Le fils du baron Thunder-ten-tronckh : jésuite entiché de sa noblesse. * Cunégonde, fille du baron Thunder-ten-tronckh : cousine et amoureuse de Candide. Peut-être imaginée à partir des deux maîtresses de Voltaire : sa nièce Marie Louise Mignot Denis et la scientifique. * Pangloss : professeur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, précepteur de Candide et de Cunégonde. Peut-être imaginé à partir de la duchesse de Saxe-Gotha, Louisa Dorothea von Meiningen, une leibnizienne

Fiche de Lecture : Voltaire, Candide Auteur : Voltaire ( de son vrai nom François-Marie Arouet ) Date de Parution : Janvier 1759 Genre littéraire : Conte Philosophique Résumé : Candide est chassé du château du Baron pour avoir embrassé Cunégonde. Il est enrôlé dans l’armée Bulgare. Après avoir assisté à une bataille il s’enfuit en Hollande où il fait la connaissance de l’anabaptiste Jacques puis retrouve Pangloss. Ils partent pour Lisbonne mais Jacques meurt dans une tempête dans laquelle

 Madame Denis ne veut pas d’histoires Dans le jardin de Mme Denis, deux pinces à linge, l’une en bois, l’autre en plastique, font un brin de causette pour passer le temps. -Ah ! soupire la pince en bois, si je pouvais m’installer sur une racine ! Comme ça je pourrais grandir ! Ou sur les guirlandes : je verrais le Père Noël ! - Moi, dit la pince en plastique, je rêve de me fixer sur un élastique comme ça, quand Madame Denis le prendrait, si elle écarte et le lâche, je vais voltiger

Certains critiques6 ont vu dans ce personnage l’incarnation de la naïveté de l’auteur lui-même. Le baron, au nom imprononçable, entiché de ses quartiers de noblesse, qui va exclure Candide du « jardin d’Eden » symboliserait la noblesse allemande tandis que le « roi des Bulgares » serait Frédéric II qui, en novembre 1757, s’est couvert de gloire dans la victoire de Rossbach. Voltaire, qui croyait à la défaite de son ancien protecteur, prend alors conscience de sa naïveté. Le conte serait donc une

«semaine du blanc» de janvier, ancêtre des soldes, il construit l’écrin de ses rêves en 1869. Afin d’offrir à la bourgeoisie parisienne un éblouissant palais de la consommation, le commerçant fait appel à l’ingénieur Gustave Eiffel et à l’architecte Louis-Charles Boileau. Ils surmontent la façade du Bon Marché de coupoles et l’ajourent d’immenses vitrines éclairées, dans lesquelles les plus belles étoffes du magasin habillent des mannequins de cire. A l’intérieur du vaste hall, les marchandises sont

Jeunesse[modifier]Fille de Marie-Josèphe Tascher de La Pagerie et de son premier mari le vicomte Alexandre de Beauharnais, elle a pour beau-père l'empereur Napoléon Ier, qui épouse sa mère en 1796, après la mort sur l'échafaud du vicomte en 1794. Ses parents vivent séparément lorsqu'éclate la Révolution française. En 1789, Son père est élu député de la noblesse aux États Généraux et préside l'Assemblée Constituante durant les journées de la "Fuite à Varennes" de la famille royale. Sous la Terreur