Marie Soderini

certaines constructions féodales4. Louis XIII fit bâtir cette nouvelle habitation sur un terrain qu’il achète à Jean de Soisy, dont la famille en est propriétaire depuis le xive siècle18. Dans sa petite demeure, Louis XIII reçoit de temps à autre sa mère Marie de Médicis et son épouse Anne d’Autriche12. Elles ne font qu’y passer sans jamais y coucher, le château de Louis XIII ne comporte pas d'appartement pour les femmes19. L’appartement du roi comprend une petite galerie où était accroché un tableau représentant

Marie Curie, de son nom de jeune fille Maria Sklodowska, est une physicienne très célèbre. Elle est née en Pologne en 1867. En 1891, elle quitte son pays et vient étudier à Paris. En 1895, elle épouse Pierre Curie (un physicien). Elle donne naissance à sa première fille Irène en 1897 (qui continuera les recherches de ses parents après leur mort). Elle poursuit ses recherches avec son mari et ensemble ils découvrent le radium. En 1903, Marie Curie présente sa thèse sur « la radiation des métaux »

1) Jeunesse Marie Curie est née le 7 novembre 1867, à Varsovie, sous le nom de Maria Salomea Skłodowska. Son père, Wladislaw Sklodowski, est professeur de mathématiques et de physique et sa mère, Bronislawa Boquska-Sklodowska, est institutrice. Elle est la dernière la petite dernière d’une famille, qui compte déjà un garçon, Jozef et trois filles, Sofia, Bronislawa et Hélène. Ses parents attachent une grande importance à l’éducation de leurs enfants et exigent de leur part un grand sérieux, une

création, sera aussi inspiré par les femmes qui ont traversé sa vie et avec lesquelles il entretiendra une riche correspondance. Ses relations amoureuse seront passionnées et souvent douloureuses : Annie Playden (Annie et la chanson du mal aimé), Marie Laurencin, Louise de Coligny-Châtillon (lettres à Lou), Madeleine Pagès, une jeune fille rencontrée dans un train pendant une permission et avec qui Apollinaire entretiendra une correspondance importante, Jacqueline Kolb (la jolie rousse) qu’il épousera

- 1,2 mL de solution de glucose à 0,005 mol/L ; ajuster chaque tube à 1,5 mL avec de l'eau distillée ; ajouter 1 mL de réactif 3-5 DNS ; mélanger et boucher les tubes avec du coton cardé et du papier aluminium ; porter au bain marie à 100 °C pendant 5 min exactement ; refroidir et ajouter 7,5 mL (QSP 10 mL) d'eau distillée dans chaque tube (on suppose que l'évaporation est la même pour chaque tube), homogénéiser et laisser reposer pendant 15 min. Lire les absorbances à

meurt, François II (15 ans) lui succède mais il est en mauvaise état de santé, il est marié à Marie Stuart, la reine d’Ecosse mais ils n’ont pas d’héritiers quand il meurt. Charles IX lui succède mais il n’a que dix ans, Catherine de Médicis deviendra alors régente. Il meurt à 24 ans avec seulement une fille comme héritière mais elle ne peut accéder au trône. Henri III va devenir roi en 1574 à 23 ans. Il se marie avec Louise de Lorraine mais ils n’ont pas d’enfants. De plus son quatrième frère meurt

Giovanni durent quitter la ville en secret et à l'aube. L'épisode wallon féconda durablement son imagination et sa création. Ainsi, de cette époque, data le souvenir des danses festives de cette contrée (« C'est la maclotte qui sautille ... »), dans Marie, celui des Hautes Fagnes, ainsi que l'emprunt au dialecte wallon. En 1901 et 1902, il fut précepteur pour la vicomtesse Elanor de Milhaud. Il tomba amoureux de la gouvernante anglaise Annie Playden qui refusa ses avances. C'était alors la période

lycée de Nice, puis s’installe avec sa mère et son plus jeune frère à Paris en avril 1889. Sa mère mène une vie décousue et bohème prétendument aristocratique. Elle change souvent de meublés. Il lui arrive aussi de changer de nom. Apollinaire et Marie Laurencin passaient souvent par le pont Mirabeau, un chef-d'oeuvre de technique et d'élégance architecturale qui avait été construit entre 1893 et 1896 pour relier directement les quartiers d'Auteuil et de Passy, rive droite, avec ceux de Javel et

il est jeté en prison par les ligueurs, durant les troubles qui suivent la journée des barricades. Il est délivré quelques heures plus tard grâce à l'intervention de la reine mère, Catherine de Médicis. A Paris, Montaigne fait la connaissance de Marie de Gournay, c'est après La Boétie, la seconde grande rencontre de sa vie. Il l'appellera " sa fille d'alliance". La jeune fille lui vouera une admiration fervente et fidèle. Montaigne passe les dernières années de sa vie à annoter et à enrichir les

Duhamel, du Mercure de France, qui aime seulement, dans le recueil, les six poèmes "à la Santé" et qui compare le recueil à une "boutique de brocanteur". D'autres portent également un jugement négatif, comme Henri Clouard, qui, à propos du poème "Marie", écrit : "Il me semble que monsieur Apollinaire se bat les flancs, qu'en dites-vous ?". Même de manière posthume, les jugements sont souvent sévères, comme celui de Pierre Lièvre de La revue de Paris, en 1939. Il refuse en effet d'accorder un accent