Mario Vargas Llosa

Lorca, Poète à New York (1940) Borges, L’Aleph (1949) (Argentine) Pablo Neruda, poèmes (années 1950-1970) (Chili) Carlos Fuentes, La  Mort  d’Artemio  Cruz (1962) (Mexique) Gabriel García Márquez, Cent ans de solitude (1967) (Colombie) Mario Vargas Llosa, La Fête au bouc (2000) (Pérou) Italie ∆*Dante,  La Divine Comédie (1307-1321) ∆*Pétrarque,  Canzionere (vers 1336-1374) *Boccace, Décaméron (1349-1353) L’Arioste,  Roland furieux (1516-1532) Le Tasse, Jérusalem délivrée (1581) Goldoni

| Adoption de la loi sur la retraite à 62 ans → manifestations | | L'exposition universelle de Shanghai ferme ses portes. (70 M de visiteurs) → développement durable, ville future | | Prix nobel de la littérature : Mario Vargas Llosa (péruvien) → « l'homme qui parle » | A la recherche du temps perdu, Proust → Rêve de Venise Thôt dieu du savoir → tête d'Ibis Acrophobie → peur des hauteurs Venus callipyge → elle a des belles fesses Gainsbourg → « je

René Herval, Les véritables origines de Madame Bovary, Paris, France, Nizet, 1958. Jean-Claude Lafay, Le Réel et la critique dans Madame Bovary de Flaubert, Paris, Minard, 1987. Alain de Lattre, La Bêtise d’Emma Bovary, Paris, Corti, 1981. Mario Vargas Llosa, L’Orgie perpétuelle : Flaubert et Madame Bovary, Paris, Gallimard, 1978. (en) Margaret Lowe, Toward the Real Flaubert: A Study of Madame Bovary, Oxford, Clarendon, 1984. Matthew MacNamara, La Textualisation de Madame Bovary, Amsterdam, Rodopi

nous avons réalisée. N’y a-t’il pas des gens qui obéissent, ne perçoivent pas de terme à leur obéissance, et n’ont cependant pas renoncé à la liberté ? On peut se souvenir de la dictature de Trujillo, évoquée récemment par l’écrivain péruvien Mario Vargas Llosa dans La Fête de La Chèvre. Pendant plus de trente ans, Rafael Trujillo fit régner la terreur sur ce qui est aujourd’hui la République Dominicaine. La capitale Santo-Domingo était alors appelée Ciudad Trujillo, et les exactions du clan proche

effet tout porte à penser, que l’œuvre de Juan Carlos Onetti est une projection de ses propres angoisses sur l’existence, l’absurdité de la vie…. Et en particulier grâce à différents articles ou témoignes comme ceux de Bryce Echenique et de Mario Vargas Llosa par exemple (cf annexe 2). C) Ecriture : création pour laisser une trace durable Nous avons pu remarquer que l’écriture avait le statut de thérapie dans le sens où elle permettait au protagoniste de l’œuvre et aussi à l’écrivain lui-même

"Le droit de naissance", écrit par Felix B. CAIGNET, qui a eu un succès incontestable. Depuis les années 70, les producteurs ont essayé d’aller au-delà du mélodrame classique en adaptant les œuvres d’auteurs latino-américains comme Mario Benedetti, Mario Vargas Llosa ou Jorge Amado. Connu simplement comme "fiction", ou "télévision" dans certains pays d'Amérique latine et les "soap-opera" en Espagne, elles sont mélodramatique d'émissions de télévision, basée sur des histoires fictives, qui sont

des peuples, du Rio Grande jusqu'à la Patagonie, qui accueille chaque année un festival littéraire connu sous le nom de Casa de las Americas ou Chambre simple Prix, et le jury qui ont été des personnalités telles que Gabriel García Márquez et Mario Vargas Llosa. La tradition culinaire est également incontournable a Cuba. La cuisine cubaine est bien entendu le fruit de l'union de plusieurs peuples différents réunis sur l'ile depuis le XIX siècle. CUBA, est en effet un mélange de coutumes espagnoles

réels. Le roman lui ne s’embarrasse pas du coté moralisateur, il apporte un enseignement sans le faire savoir. « Ecrire des romans est un acte de rébellion contre la réalité, contre Dieu, contre la création de Dieu qui est la réalité. » a écrit Mario Vargas Llosa. Evidement, ce n’est pas vraiment une coïncidence si le roman a pris une place grandissante auprès de l’Arché-texte. « Ecrire un roman, c'est raconter une histoire. Ce sont les gens que vous faites vivre qui donnent le ton du roman, la couleur

narrativa de Gabriel García Márquez: edificación de un arte nacional y popular, Colcultura, Bogotá (ISBN 958-612-074-0). Sorela, Pedro (1989), El otro García Márquez: los años difíciles, Editorial Oveja Negra, Bogotá (ISBN 958-06-0808-3). Vargas Llosa, Mario (1971), García Márquez: historia de un deicidio, collection Breve biblioteca de respuesta, Barral Editores, Barcelone. García Márquez, Gabriel (2007), Cien años de soledad, édition critique de Jacques Joset, 4e édition, Madrid, Ediciones Cátedra (collection Letras

La médaille de la ville remise aux participants EN AMÉRIQUE Mexico . Dimanche 15 FÉVRIER. Monumental Plaza México. Faible entrée. Toros mexicains de San Marcos, bien présentés et encastés, pour Manolo MEJÍA (un avis avec silence et ovation) Mario del OLMO (un avis avec silence et sifflets) Christian ORTEGA, qui confirmait l’alternative (un avis avec ovation et silence). Le banderillero Pablo Miramontes a salué au 5e. Cartel pauvre, entrée pauvre… et toreros dépassés par la caste des San Marcos