Marionnette

ses illustrateurs "La marionnette est un élément à la charnière de plusieurs réalités (inanimée et animée, objet et acteur, corps et âme...) réaliser une marionnette signifie construire aussi l'espace dans lequel elle doit évoluer, accomplissant sa virtualité..." peut-on lire sous la plume de Brunella Eruli, dans la revue "Puck" publiée par l'Institut International de la Marionnette. Quel regard un marionnettiste peut-il, alors, porter sur un personnage de marionnette traité graphiquement en images

pas le seul témoin du déclin de leur univers, les protagonistes eux-mêmes en portent les marques. Traces qu’ils chercheront à dissimuler derrière les apparences mais qui sont à jamais marqués sur leur corps, leur tenues, leur façon d’être. Les marionnettes sont d’ailleurs effrayantes car elles renvoient à la vieillesse. Comme si vieillir signifiait malédiction mais est ce réellement le cas ? La vieillesse était-elle une malédiction ? Nous pouvons voir cette pièce comme une métaphore d’un monde allant

amuser (marionnette, polichinelle, bouffon du roi, dans la cour) tous les milieux, les époques il y a toujours eu des gens qui avait le rôle de faire rire = rire primaire Exagération des physiques des personnages célèbres, ils utilisent rire moqueur qui cherche à attaquer Plan de la synthèse : I. Qui sont ces professionnels du rire : A. Selon les époques les pros du rire ont été modifié du bouffon du roi des polichinelles, de la comédie Del Arte (inspiré de Molière), les marionnettes, les

sociétés). - cf. mosaïque - effets de 3D recherchés par une recherche de profondeur ( ex : dans la séquence à Vienne, les façades d’immeubles et les arbres) - théâtre de marionnettes pour évoquer l’histoire de l’Iran ou la guerre en Irak = volonté de montrer que les dirigeants sont des marionnettes, et que donc les peuples ne sont pas libres, ils sont manipulés… - dimension du merveilleux, de l’enluminure très présente dans la culture iranienne. Volonté de montrer un peuple

appelé tragédie domestique, tragédie bourgeoise, genre sérieux, comédie larmoyante, et qui se rapproche du drame tel qu'on le comprend aujourd'hui. Guignol : Guignol est une marionnette à gaine française créée à Lyon vers 1808 par Laurent Mourguet. Le terme désigne également par métonymie le théâtre de marionnettes comique dont Guignol est le personnage principal, formant avec Gnafron et Madelon le trio récurrent des pièces du répertoire classique. À l'origine, ce théâtre déroule un canevas

populariser un joueur de football ou un ministre ou inversement à le rendre un peu ridicule ; ils ne modifient pas la philosophie des gens sur des sujets graves, que d'ailleurs, ils n'abordent que bien peu ou très superficiellement. On rit devant la marionnette de J.Chirac aux guignols certes, mais on ne détermine pas ses idées sur le réchauffement, les retraites ou l'éducation au spectacle du samedi soir... (première partie avec quelques illustrations et un peu développée car elle contient l'idée essentielle)

populariser un joueur de football ou un ministre ou inversement à le rendre un peu ridicule ; ils ne modifient pas la philosophie des gens sur des sujets graves, que d'ailleurs, ils n'abordent que bien peu ou très superficiellement. On rit devant la marionnette de J.Chirac aux guignols certes, mais on ne détermine pas ses idées sur le réchauffement, les retraites ou l'éducation au spectacle du samedi soir... (première partie avec quelques illustrations et un peu développée car elle contient l'idée essentielle)

personnages de foire, et ils sont présentés au début du film sur une scène, devant un public. Puis, plus tard, lorsque Cesare commet ses meurtres, il est encore une marionnette qui agit sous le contrôle de Caligari, metteur en scène de l’intrigue. D’ailleurs, à la fin du film, l’hôpital psychiatrique s’avère être un grand théâtre de marionnettes dont Caligari est seul à pouvoir tirer les ficelles, décidant du sort de ses patients. De même, on a vu que la plupart des plans étaient en axe frontal, caractérisant

imaginaires et ridicules en parodiant des récits classiques. Les frères Morin, notamment, ont contribué à l’élaboration de cette épopée collective. Jarry lit ces textes et monte l’un d’eux, Les Polonais – ébauche du futur Ubu Roi – sur un théâtre de marionnettes familial. Jarry publie Ubu Roi en Juin 1896. Secrétaire du théâtre de l’œuvre, il devient ami avec son administrateur, Lugné-Poe et parvient à y faire jouer sa pièce le 10 Décembre 1896. Ubu Roi remet en cause le théâtre classique et son langage

religieuse, il retient les aspects rituels et magiques, théâtraux, qui continueront à nourrir son œuvre et à le fasciner. - Son père l'emmène à l'opéra, au théâtre de marionnettes, il passe aussi du temps à parcourir la Foire du Midi. Les fastes de l'opéra, le caractère populaire des marionnettes et de la foire seront, avec l'Histoire, des sources d'inspiration. - C’est un adolescent timide et solitaire, doutant de lui-même. Il est de santé fragile, handicapé