Marketing Mix Poste Maroc

sur le marché du textile ___________________________________ 21 3. Le « no marketing » de Zara _______________________________________________ 23 3.1. Pourquoi Zara communique-t-elle pas ? _______________________________________ 23 3.2. Comment fait-elle parler d’elle ? _____________________________________________ 24 3.3. L’intérêt d’une stratégie à contre-courant______________________________________ 25 3.4. Le e-marketing de Zara _____________________________________________________ 26 Iut Nancy-

concernant permettant ensuite de personnaliser l'offre. * 128 Zollinger Monique : « Marketing et stratégie de la banque » - Edition DUNOD 1999 - p 166. Guy LAPLAGNE Les stratégies bancaires 2011 Extraits cours 1 Université de Paris 1 PANTHEON-SORBONNE Gestion Sorbonne UFR 06 Licence Sciences de Gestion : Finance d’entreprise Cours de Guy LAPLAGNE : Stratégie et marketing bancaires STRATEGIE BANCAIRE Guy LAPLAGNE Les stratégies bancaires 2011 Extraits

Université de Paris 1 PANTHEON-SORBONNE Gestion Sorbonne UFR 06 Licence Sciences de Gestion : Finance d’entreprise Cours de Guy LAPLAGNE : Stratégie et marketing bancaires STRATEGIE BANCAIRE Guy LAPLAGNE Les stratégies bancaires 2011 Extraits cours 1 Table des matières : INTRODUCTION..................................................................................................................................................................................8 Quelle posture adopter en stratégie

ROYAUME DU MAROC MINISTERE DU TOURISME ET DE L’ARTISANAT DEPARTEMENT DU TOURISME INSTITUT SUPERIEUR INTERNATIONAL DU TOURISME DE TANGER INSTITUT SUPERIEUR INTERNATIONAL DU TOURISME DE TANGER ADMINISTRATION ET GESTION DES ENTREPRISES TOURISTIQUES ET HOTELIERES DIAGNOSTIC DES PRATIQUES DU CONTROLE F&B LE MANAGEMENT DES EQUIPES : UNE LOCOMOTIVE D’OPTIMISATION DU RENDEMENT DU DEPARTEMENT RESTAURATION «CAS DU SOFITEL PALAIS JAMAÏ » Mémoire de Fin d’Etudes Réalisé par : Mohammed AIZZI  Fedoua

Conseil en Stratégies de l’Innovation 06 67 37 92 41 Olivier Ezratty conseille les entreprises dans l’élaboration de leurs business plans, stratégies produits et marketing, avec une focalisation sur les métiers de l’image dans les médias numériques (TV, cinéma, photographie). Il leur apporte une triple expertise : technologique, marketing et management ainsi que la connaissance des écosystèmes dans les industries numériques. Il a réalisé depuis 2005 des missions diverses d’accompagnement stratégique

DU NORD ORDFRPP CREDIT LYONNAIS RLYFRPP SOCITE GENERALE OGEFRPP UNION TUN SIENNE DE BANQUE TUBFRPP ITALIE UNICREDITO CRITITMM BANCO DI NAPOLI NAPBITNN PAYS BAS ABN AMRO BK ABNANL2A TUNISIE CITIBANK TUNIS CITITNTX MAROC BANQUE CENTRALE POPULAIRE BCPOMAMC KUWAIT AL AHLI BANK OF KUWAIT ABKKKWK ARABIE SAOUDITE THE NATIONAL COMMERCIAL BANK,JEDDAH NCBKSAJE V. Les concurrents de la BIAT :

réduction du déficit du compte courant 11 - Malgré un déficit du compte courant qui reste élevé, le Maroc devrait légèrement augmenter ses réserves en devises grâce à la bonne tenue des IDE et aux levées du Gouvernement à l’international. La soutenabilité de notre balance des paiements reste cependant tributaire à moyen et long terme de l’accélération du développement des métiers mondiaux du Maroc 13 Evolution du marché en 2013 et perspectives 2014 16 - Une légère baisse de l’indice

malien de l’Agriculture, le Mali peut redevenir le grenier de l’Afrique de l’Ouest. Lire en page 22 Afrique CFA 1500 FCFA - Algérie : 80 DA - Belgique 1,9 a - Canada 3,50 $ CAD - France 1,9 a - France OM 2,20 a - Italie 1,90 a - Luxembourg 1,9 a - Maroc 12 DH - Suisse CHF 3,80 - Tunisie 2,3 DT 2 Dossier spéciAL copenhAgue (2e pArtie) ACTUALITé Les Afriques - N° 98 - 19 au 25 novembre 2009 Gree n bu siness Copenhague : mais où est passée la Banque africaine de développement ? la France

Royaume du Maroc Université Moulay Ismail L’Ecole Supérieur de Technologie Meknès Project de fin d’étude sous theme: Année universitaire : 20010/2011 Introduction générale Chapitre 1 : Les fondements théoriques de la gestion de la qualité Section 1 : fondements de la qualité A. Critères historiques de la qualité B. Critères économiques de la qualité C. Critères de la définition de la qualité Section 2 : La mise en œuvre de la démarche qualité.

réflexions et décisions prises dans les premiers chapitres. Ainsi nous allons maintenant fabriquer le produit (le service ou la prestation) comme nous l’avions imaginé, lui appliquer un prix, le distribuer et le communiquer. C’est ce que l’on appelle le MIX-MERCATIQUE ou LE MARCHEAGE. STRAGETIE ou POLITIQUE PRODUIT STRAGETIE ou POLITIQUE DISTRIBUTION STRAGETIE ou POLITIQUE PRIX STRAGETIE ou POLITIQUE COMMUNICATION Nous consacrerons un chapitre pour chacune de ces stratégies. b. Les produits touristiques