Marquis de Carabas

la mort de son père, hérite d’ un chat. Ce dernier, voyant son nouveau maître très appauvri, met en place différents stratagèmes pour le faire connaître et aimer du roi. L’un de ces stratagèmes est de faire passer son maître pour un noble, le Marquis de Carabas, inventant ainsi à son maître une position et une fortune qu’il est loin d’avoir. Toutefois, grâce à l’ingéniosité du chat, le fils du meunier, considéré par le Roi comme un très grand seigneur, finit marié à la princesse et hérite de terres

cadet qui s’en désole, mais ce chat lui assure qu’il ne manquera de rien et qu’il suffit de l’équiper de bottes et de lui donner un sac. Ainsi équipé, il braconne et porte au roi, de la part de son maître, qu’il baptise pour les circonstance, marquis de Carabas, son butin. Le rois touché ne manque pas de le remercier. Enhardi par son succès, le chat organise une mise en scène pour que son maître rencontre le roi et sa fille. Il feint une noyade de son maître quand le carrosse royal passe près de l’étang

3 Illustrations 2.3 Diffusion 2.3.1 Un conte à succès 2.3.2 Contenu éducatif 2.3.3 Influences postérieures 3 Structure narrative 3.1 Analyse littéraire 3.2 Classification Aarne-Thompson 4 Les personnages 4.1 Le fils du meunier ou le marquis de Carabas 4.2 Le Chat 4.2.1 Le roi des bonimenteurs 4.2.2 Un chat « magique » 4.2.3 Un animal-totem 4.3 L'Ogre 4.4 Le roi 4.5 La princesse 5 Les thèmes 5.1 La confection des bottes 5.2 Plongée dans le lac 5.3 Lutte contre l'ogre 5.4 Investiture

MARCELLINO - PHILIPPE MIGNON - SOPHIE MONTMOULINEIX - TONY ROSS - YAN THOMAS - MERINO - BENJAMIN BACHELIER En bref... A force de ruses ingénieuses, un chat reçu en héritage par un pauvre fils de meunier persuade le roi que SON maître est le Marquis de Carabas. Impressionné par la richesse qu'on lui montre, le roi fait du jeune homme son gendre. Choix d'édition : LE CHAT BOTTÉ - Ill. par CHARLOTTE Roederer - Nathan - 2014 TROIS CONTES MERVEILLEUX - Ill. par Walter Crane - MeMo (éditions) -

sac. g) Louis a mangé. Il est allé faire une sieste. h) Je n’y connais rien en mécanique. J’ai réussi à changer la batterie de ma voiture. 4) Complète le texte avec les connecteurs proposés. Pour t’aider, tu peux relire le texte : « Le Marquis de Carabas ». donc - même si – parce que – puis - comme – et Un chat qui parle, aide son maître, le fils d'un meunier, à devenir riche ... Le chat se précipite vers le fils du meunier…………………………………… il a aperçu le roi et sa fille dans un carrosse

désole, mais ce chat lui assure qu’il ne manquera de rien et qu’il suffit de l’équiper de bottes et de lui donner un sac.             Ainsi équipé, il braconne et porte au roi, de la part de son maître, qu’il baptise pour les circonstances, marquis de Carabas, son butin. Le roi touché ne manque pas de le remercier. Enhardi par son succès, le chat organise une mise en scène pour que son maître rencontre le roi et sa fille. Il feint une noyade de son maître quand le carrosse royal passe près de l’étang

puis aux moissonneurs ? De dire au roi que les terres sur lesquelles ils travaillent appartiennent au marquis de Carabas. 6 Quel est le don de l’ogre ? Il peut se transformer en toutes sortes d’animaux. 7 Comment le chat se débarrasse-t-il de l’ogre ? Il lui demande de se transformer en souris, puis le mange. 8 Que décide le roi à la fin du conte ? De donner la main de sa fille au marquis de Carabas. © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2009. 9 Quel est le sens de la première moralité du « Chat

Péripéties : il capture un lapin et l’offre au roi de la part de son maître en le faisant passer pour le marquis de Carabas. Il continue ainsi pendant plusieurs mois à offrir des présents aux rois. Un jour il demanda à son maître de faire semblant de se noyer en sachant que le roi allait passé par là. Le roi le sauva, sa fille avec lui tomba immédiatement amoureuse du marquis. Le roi en raccompagnant le marquis chez lui s’assura qu’il possédait des terres abondantes et un beau palais. Ses terres appartenaient

de sa proie, il s’en alla chez le roi et demanda à lui parler. On le fit monter à l’appartement de Sa Majesté, où étant entré, il fit une grande révérence au roi, et lui dit : « Voilà, sire, un lapin de garenne que monsieur le marquis de Carabas (c’était le nom qu’il lui prit l’idée de donner à son maître) m’a chargé de vous présenter de sa part. — Dis à ton maître, répondit le roi, que je le remercie et qu’il me fait plaisir. » Une autre fois, il alla se cacher dans un blé, tenant

Tout glorieux de sa proie, il s’en alla chez le roi et demanda à lui parler. On le fit monter à l’appartement de Sa Majesté, où étant entré, il fit une grande révérence au roi et lui dit : – Voilà, sire, un lapin de garenne que M. le marquis de Carabas (c’était le nom qu’il lui prit en gré de donner à son maître), m’a chargé de vous présenter de sa part. – Dis à ton maître, répondit le roi, que je le remercie, et qu’il me fait plaisir. Une autre fois, il alla se cacher dans un blé, tenant