Mars Et Venus Surpris Par Vulcain De Tintoret

MARS ET VENUS SURPRIS PAR VULCAIN de TINTORET Tintoret , peintre italien de la renaissance descendant du courant maniériste de l'école vénitienne nous intéresse ici par avec son tableau peint en 1550 Mars et Vénus surpris par Vulcain et surtout l'analyse que nous offre Daniel Arrasse dans son livre On n'y voit rien. Aujourd'hui conservé a Munich ce tableau est tiré d'une scène mythologique qui met en scène Vulcain avertit de l'adultère de sa femme Vénus intervient dans le but de surveiller

chapitre qui porte sur le tableau « Tintoret, Mars et Vénus surpris par Vulcain ». Daniel Arasse écrit alors une lettre à « Clara Guilia », que l’on devine être elle-même historienne d’art qui aurait publié une étude sur ce même tableau. Le débat partirait donc de ce fait. Arasse commence d’emblé par donner et réfuter ses désaccords par rapport à celle de Guilia : « Mais qu’est-ce qui te dit qu’elle ne la dévoile pas au contraire, cette nudité, pour séduire vulcain ? ». Ensuite, il justifie sa thèse

Guila » Daniel Arasse retranscrit une lettre dont il est l’auteur, adressée à une de ses amies, Guila, passionnée de peinture. Dans cette lettre, Arasse remet en cause une interprétation réalisée par son amie au sujet d’une œuvre : Mars et Venus surpris par vulcain de Tintoret. Il critique l'interprétation de son amie qu'il trouve trop académique, et s'étonne de la différence de leurs points de vues. Pour appuyer son propos, l'auteur use de plusieurs arguments : D'abord que les œuvres n'auraient pas qu'un

activité très prisée à la cour, il ressortit au jeu. Léopold Guillaume doit contempler l’œuvre et la déchiffrer. Cette œuvre, il me semble, doit être rattachée à d’autres peintures, notamment les deux allégories de l’amour de Bronzino, et le Cupidon et Vénus de Pontormo. L’œuvre de Bronzino en particulier contient les mêmes pièges et le même message, d’autant que la Jalousie y est représentée de façon explicite, avec une coiffure de serpent, iconographie traditionnel. Tous les éléments de la Boutique

ON N’Y ENTEND RIEN Du même auteur : L'escalier dans le cinéma d'Alfred Hitchcock. Une dynamique de l'effroi, mars 2008. L'escalier ou les fuites de l'espace. Une structure plastique et musicale, novembre 2005. © L’Harmattan, 2010 5-7, rue de l’École-polytechnique ; 75005 Paris http://www.librairieharmattan.com diffusion.harmattan@wanadoo.fr harmattan1@wanadoo.fr ISBN : 978-2-296-13878-0 EAN : 9782296138780 Lydie Decobert ON N’Y ENTEND RIEN Répétitions Essai sur la musicalité dans la peinture

On n’y voit rien de Daniel Arasse Daniel Arasse, né le 5 novembre 1944 à Oran, en Algérie, et mort le 14 décembre 2003 à Paris, est un historien de l’art français, spécialiste de la Renaissance et de l'art italien. Indépendamment de son parcours professionnel, Daniel Arasse fut apprécié du grand public pour ses qualités de vulgarisateur. En 2000, il écrit On n’y voit rien, ouvrage dans lequel Daniel Arasse propose, à travers six courtes fictions, des aventures du regard qui se présentent comme

Introduction L'œuvre que nous allons étudié est ''La Dernière Cène'' de l'artiste Le Tintoret. Il l'a réalisé entre 1579 et 1581, ce tableau est actuellement à la Scuala di San Rocco à Venise. Cette peinture mesure 538x487 cm. Nous allons voir à travers diverses sources d'information et plusieurs détails comment le maniérisme est utilisé pour une tout autre représentation du lieu et de l'espace dans ce tableau représentant ''La Dernière Cène'' épisode sacrée de l'histoire chrétienne plusieurs

fameux courant maniériste va aussi toucher la ville de Venise. On parlera de Renaissance tardive. Ces peintres vénitiens s'opposent au courant maniériste en 1540, et on va garder une certaine spécificité vénitienne à travers 3 artistes ; Titien, Le Tintoret, et Véronèse. On est aux alentours de 1540, on a un changement stylistique à Venise et un renouvellement des sujets. On a parler de Venise avec Bellini, ou l'oeuvre est un sujet religieux, ici c'est un parti différent. Ces trois artistes sont sensibles

qui renvoient à une forme de singularité particulière. Remarque et prolongement Daniel Arasse, On n’y voit rien, chapitre 1. Le terme Giulia existe. Quel est l’enjeu de ce chapitre ? C’est d’interpréter un tableau de Tintoret, qui s’appelle Mars et vénus surpris par Vulcain. Ils ne sont pas d’accord. Dans ce chapitre, si on le lit bien, il ne faut pas se laisser piéger par tout ce qu’il dit, mais qu’est-ce qu’il pense de l’interprétation de sa consœur ? Il dit qu’elle est fausse. Arasse ne prétend

possible d’un « génie » féminin, Linda Nochlin répondit d’abord en 1971 dans un article pour Artnews4, Pourquoi n’y a-t-il pas eu de grandes artistes femmes ? dans lequel elle 1 COLLIN Françoise, philosophe. Colloque C’est mon genre, ERBA Nantes – Mars 2008. 2 Viol : le procès d’Aix-en-Provence. Préface de HALIMI Gisèle : Le crime. Gallimard Idées 1978. Le viol était déjà juridiquement un crime mais l'usage faisait qu’il n’envoyait personne aux assises. 3 Avortement : une loi en procès ; l’affaire