Martial Raysse

critique d'art Pierre Restany, Arman devient, avec Yves Klein, l'un des membres fondateurs du groupe des Nouveaux Réalistes (proclamés par lui « nouvelles approches perceptives du réel »), aux côtés notamment de François Dufrêne, Raymond Hains, Martial Raysse, Daniel Spoerri, Jean Tinguely et Jacques Villeglé, rejoint plus tard par César, Mimmo Rotella, Niki de Saint Phalle, Christo et Gérard Deschamps. Arman s'est intéressé au statut de l'objet et au rapport que les sociétés modernes entretiennent

deviendra son mari. En 1960, elle se lance uniquement dans l’aventure artistique. En 1961, elle intègre le groupe des nouveaux réalistes qui a comme membres Yves Klein, Arman, François Dufrêne, Raymond Hains ,Jean Tinguely, Jacques Villeglé, Martial Raysse, Daniel Spoerri, César, Mimmo Rotella et Gérard Deschamps. Les nouveaux réalistes ??? En 1964, elle fait le choix de privilégier son travail artistique plutôt que ses enfants car elle ne veut pas devenir une femme au foyer. Elle déclare alors

accumulation des éléments (mélange), dans l'exemple mettant en avant Kennedy, une voiture et un gateau, le contenu est vide relié à la consommation américaine (société). Nouveau réalisme : Yves Klein, Nikki de St Phalle, Jean Tingely, Spoery, Martial Raysse, Armand, Christo, Villeglé, ... Pierre Restany, celui qui a provoqué ce mouvement (années 60). Réf. À la Nouvelle Vague (film à l'extérieur), notamment Godard (« A bout de souffle »). Restany veut la réappropriation direct du réel, urbain,

il décore la façade d'une accumulation d'objets hétéroclites et dans laquelle il vend des disques d'occasion. Dans sa boutique ou plutôt sur le trottoir se retrouvent les principaux membres de ce qui sera appelé l'École de Nice : César, Arman, Martial Raysse, Sosno, etc. Proche d'Yves Klein et séduit par le nouveau réalisme, il développe l'idée que « l'art doit être nouveau et apporter un choc »1. Également admirateur d'Isidore Isou, son œuvre, basée sur un principe d'écriture peinte, est à rapprocher

toile, 155 × 280 cm, Paris, musée national d'Art moderne, dépôt au musée d'Art moderne de Nice Hiroshima, 1961 Peinture feu sans titre (F 74), 1961 Relief-éponge1961 « L’Arbre », grande éponge bleue, 1962 IKB 191, 1962 Portrait-relief de Martial Raysse, 1962, bronze peint sur panneau or, 175 × 95 × 38 cm, Musée d'art de Toulon. Vampire, 1962 Zone de sensibilité picturale immatérielle (cession à Dino Buzzati), Paris, 25 janvier 1962. 40e anniversaire Vénus bleue, 1962 Œuvre choisie :

d’œuvres ainsi qu’au Mamac de Nice. [pic] II. Les influences (nouveau réalisme) Le nouveau réalisme a été fondé le 27 Octobre 1960 par une déclaration commune dont les signataires sont Yves KLEIN, ARMAN, François DUFRÊNE, Raymond HAINS, Martial RAYSSE, Pierre RESTANY, Daniel SPOERRI, Jean TINGUELY, Jacques DE LA VILLEGLE  auxquels s’ajoutent César, Mimmo ROTELLA puis Niki de St PHALLE et Gérard DESCHAMPS en 1961. Ces artistes affirment s’être réunis sur la base de la frise de conscience de

Martial Raysse : La Belle mauve Le titre originellement attribué par Raysse à cette œuvre était La France américaine, Portrait. Raysse témoigne donc ici de l’américanisation de la société française, l’american way of life tendant à s’imposer dans la culture française de l’après-guerre. Les Nouveaux Réalistes euxmêmes s’inscrivent dans la lignée du pop art américain, ce portrait rappelant les sérigraphies de Warhol sur Marilyn ou la même BB. Raysse fait lui aussi l’éloge de techniques simples et modernes

Analyse d’image Beach, Martial Raysse Beach, l’installation de Martial Raysse fut présentée en 1962 au Stedelijk Museum d’Amsterdam lors de l’exposition «Dylaby » auquel, on notamment participé Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle. L’installation est composée de 8 panneaux sur lesquels sont représentés des femmes et des sortes de paysages. Le tout est posé dans l’angle d’un mur, dans une parcelle de sable où, sont déposés des jouets gonflables en plastique. A l’extrême gauche, un juke-box est

Analyse de document : Devoir n°1 Fils d’artisans céramiste, Martial Raysse, grand plasticien français né en 1936 dans les Alpes Maritimes, commence à peindre dès son plus jeune âge. C’est à l’âge de 19ans qu’il se tourne réellement vers la peinture après des études de lettres. En quelques années il devient le meilleur peintre abstrait de la côte d’azur. Fasciné par le plastique, il développe un concept « d’hygiène de la vision » qui met en jeu des objets en plastiques neufs de la nouvelle

économique. En effet, l’art n'intéressai pas Yves au début, il s’engage d’abord dans des études à l’école de la marine marchande, apprend les langues orientales, et dès 1947, il se penche très volontairement sur le judo. C’est durant les cours de cet art martial japonais qu’il fait la rencontre d’Arman, le futur peintre, lors de son apprentissage du judo. En 1952, il part se perfectionner au Japon où il devient ceinture noire, quatrième dan, grade qu’aucun Français n’a atteint à cette époque. Après son retour