Mascarille

battu. Scaramouche Mascarille : c’est un valet bouffon, comme Crispin et Scapin. Il est fourbe, intrigant, mais il est fidèle à son maître. Ses manigances servent donc autant son intérêt que celui de son maître. Mascarille en habit de bouffon Briguelle : lui aussi est un valet bouffon, mais il est plus rusé. Son nom

Cathos, décide de les marier à La Grange et Du Croisy. Mais Magdelon et Cathos les ridiculiseront à un tel point que les deux prétendants voudront se venger. Entre alors en scène Mascarille, prétendant être un homme du monde, qui tombera amoureux de Magdelon; et Jodelet, que Cathos aimerat. On découvre à la fin que Mascarille et Jodelet sont les valets de La Grange et Du Croisy. « Les précieuses » sont tombées dans le piège et auront été ridicule. Tartuffe: Orgon, personnage assez important

un, ou une par une, tous les rôles étant tenus par des femmes, plus ou moin travestie ; donc tout dabord Gorgibus, en legging leopard et perruque peroxydée, les précieuses en sac Prada, Dior et autres, Marotte en sulfureuse servante porno-kitsch, Mascarille en robe (oui robe), boa a plume, perruque et talons haut, le tout jaune poussin, et du Croisy, le prétendant déchu puis vengeur, arborant dabord un costume noir (enfin un peu de sobriété), puis a quatre patte, cambré, la langue pendante (ah non

exemple Molière utilisait parfois des tenues franchement caricaturales comme dans “Les présieuse ridicules” où il joue le rôle de Mascarille. b) Masques Dans la première partie du siècle, avant 1630, les acteurs comiques jouent souvent la farce maquillés à la farine ou masqués, et Molière lui même porte parfois le masque, comme pour le rôle de Mascarille dans “Les Précieuse ridicules”. C'est un accessoire dont l'usage entraîne un jeu particulier de la part du comedien, car le corps

service du gouverneur de Normandie. Molière renonce à ses prétentions tragiques : il est une grande vedette comique et redevient chef de troupe en 1650. Il compose des farces sur le modèle italien, avec un seul canevas. Il crée le personnage de Mascarille dans ses premières vraies pièces : L'Étourdi (Lyon, 1655), Le Dépit amoureux (Béziers, 1656). En 1658 il fait la connaissance de Corneille vieillissant et joue à Rouen. Molière retourne à Paris en 1658. Il joue au Jeu de paume du Marais. Protégé

et Du Croisy pour le faux marquis de Mascarille et le faux vicomte de Jodelet. • La Grange et Du Croisy sont les « amants rebutés » de la pièce, dédaignés par Magdelon et Cathos qui les jugent trop « grossiers » pour elles, et qui se vengent en les piégeant avec l'aide de leurs valets déguisés en gentilshommes. • Mascarille et Jodelet, valets respectifs de La Grange et de Du Croisy, sont les complices puis les dindons de la farce de leurs maîtres. Mascarille, et plus tard dans la pièce Jodelet,

prétention du faux savoir et l’illusion de la condition sociale… Dans cette œuvre, il y a deux couples d’hommes maitre / valet : La Grange et Mascarille, Du Croisy et Jodelet ; et deux femmes, deux cousines : Cathos et Magdelon. Mais dans la représentation de Camille Germser, il y a une seule et unique couple d’hommes maitre / valet : La Grange et Mascarille ; et quatre femmes, quatre cousines : Cathos, Madgelon, Versinge et Torixe. Ce qui entraine une rivalité beaucoup plus importante, que l’on peut

en « bus » rappelle des noms de farces du Moyen- âge et il existait un particulier qui portait ce nom au XVII°s. - Almanzor évoque les héros hispano-mauresques que l’on retrouve dans des pièces du XVII°s et dans des romans précieux à la mode. - Mascarille enfin vient de l’italien et désigne le masque porté par les femmes (loup), le suffixe « ille » (illo ou illa en espagnol), fréquemment usité pour les noms hispaniques, évoque le personnage du gracioso. - Jodelet est le nom d’acteur d’un célèbre

Jodelet, Molière et Poisson. Le tableau devrait être complété par d’autres comédiens qui brillent aussi à partir de 1660, comme Chevalier, dans les petites pièces où ils jouent souvent un type créé par eux. À l’instar de Molière qui créa et joua Mascarille, puis Sganarelle, Chevalier créa Guillot et R. Poisson Crispin. Les farceurs imposent la primauté du jeu, d’autant que l’espace scénique où se donnent farces et petites pièces ne favorise pas le décor. L’attention du spectateur est concentrée

les filles n’aiment pas l’idée de l’amour et du mariage p20/24 Les deux femmes sont intoxiquer (vergiftet) par la préciosité. Il flatte (flattiert) l’ambition préciuese ( thos et Magdelon soient très sensibles à la séduction physique du Mascarille et Jodelet dans les dernières scènes. (Voir : scène 9,