Masque Social

soldats (certains, brulés par les gaz sont décédés bien après l’armistice). Le plus connus d’entreseux est certainement l’ypérite ou gaz moutarde qui pouvait rester plusieurs jours actif et empêcher les soldats de regagner la tranchée et de porter le masque protecteur pendant de longues périodes. « J’ai vu alors un nuage opaque de couleur verte, haut d’environ 10 mètres et particulièrement épais à la base, qui touchait le sol. Le nuage s’avançait vers nous, poussé par le vent. Presque aussitôt, nous

Ceux qui jugent et qui condamnent disent la peine de mort nécessaire. D’abord, - parce qu’il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. - S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit

Le Libraire peut être classé parmi les romans dits « picaresques », un sous-genre du roman. « Au sens large, le picaresque désigne les œuvres où domine le thème du marginal rusé qui, face à une société hostile, a recours à différents masques pour s’adapter aux situations auxquelles sa vie itinérante le confronte. » (Le Dictionnaire du littéraire, p. 457). Hervé Jodoin incarne de la sorte le « picaro » ou l’antihéros par excellence. En considérant cette assertion et l’ensemble du roman, peut-on

simplement de la communauté sociale dans laquelle l’Homme évolue), il perd du même coup la protection contre toutes sortes de dangers ; et le principal auquel il s’expose est que cette personne toute-puissante lui démontre sa supériorité sous forme de châtiment. On nomme cet état « mauvaise conscience », mais à proprement parler il ne mérite pas ce nom car, à ce stade, le sentiment de culpabilité n’est évidemment qu’angoisse devant la perte de l’amour, qu’angoisse « sociale ». Chez le petit enfant

est particulièrement décuplé chez Mme de Merteuil, qui n'imagine la vie sociale qu'en termes de lutte. Mais il s'agit dans tous les cas d'une lutte intellectuelle où les victoires sont savourées en silence. La duplicité, présentée ici comme un art de vivre, vient enrichir les jugements sommaires ou platement moralisateurs que pourrait inspirer le personnage. Héroïne de la volonté, Mme de Merteuil tire sa grandeur des masques qu'elle oppose cyniquement à la comédie mondaine où le regard de l'autre

réalité. Enfin le document iconographique présente la génération des « Hippies à Paris, place de la Contrescarpe ». Les générations peuvent être sociales ou historiques, mais elles sont avant tout le regroupement de personnes ayant des choses en commun. Cependant elles sont composées de personne venant d’horizons différents et donc présentent de la diversité sociale et culturelle. Malgré les différences, qu’est-ce qui favorise ces générations ? Pour cela nous verrons dans un premier temps qu’elles sont

la société dispose devant lui. Le personnage de roman est un être social. Il a besoin des autres, il doit compter ses alliés ou ses adversaires.      Le personnage dépend de la manière dont le narrateur conçoit l'homme, la réalité sociale, les rapports humains : le personnage (du moins le ou les figures principales du texte) a pour mission primordiale de traduire le sens qu'un écrivain attribue à une réalité historique et sociale, si fictive soit-elle. Un personnage de roman représente une conception

diligence, tout en respectant les hiérarchie sociales : ils décrient d’abord la haute société, puis les « réprouvés », les « hontes de la société ». 4- les « honnêtes gens » se regroupent dans la diligence, solidaire et fermé aux autres occupants. 5- Dans la diligence reste séparé les hommes et les femmes d’un coté et de l’autre de la diligence. 6- l’importance de la structure binaire pour montrer leur poids dans la société. 7- microcosme social dans la diligence La haute société ne s’abaisse

critique Le Libraire peut être classé parmi les romans dits « picaresques », un sous-genre du roman. « Au sens large, le picaresque désigne les œuvres où domine le thème du marginal rusé qui, face à une société hostile, a recours à différents masques pour s’adapter aux situations auxquelles sa vie itinérante le confronte. » (Le Dictionnaire du littéraire, p. 457). Hervé Jodoin incarne de la sorte le « picaro » ou l’antihéros par excellence. En considérant cette assertion et l’ensemble du roman

conflit entre individu Le corpus présente des conflits qui mettent face à face plusieurs personnages unis par des liens de différentes natures. Pour commencer, nous pouvons citer le lien social. Dans la pièce de Marivaux, L'île des esclaves le conflit se tient entre un maître et son valet, leurs situations sociales se retrouvent inversées . Arlequin va alors dénoncer tous les méfaits de son maître, Iphicrate, à partir d'une tirade. Nous pouvons également trouver un conflit de lien familiale, comme