Mathilde De La Mole Description

contradictoires : une tendance lyrique, héritée du romantisme, et une tendance réaliste, c’est-à-dire une obsession de dire le réel. Le réalisme de Flaubert se manifeste de diverses façons : recours à une importante documentation, goût prononcé pour la description, refus des facilités du « romanesque » allant de pair avec l’usage d’une ironie féroce. Pourtant, il se distingue des autres romanciers réalistes par son souci du style : en effet, s’il veut comme eux « peindre le dessus et le dessous des choses

Stendhal fait paraître en 1830 Le Rouge et le Noir, l’un de ses premiers romans, dont la gloire sera posthume. En effet, peu apprécié lorsqu’il parut, l’ouvrage a remporté un immense succès à notre époque, si l’on en juge par ses multiples versions cinématographiques, dont celle de Claude Autant Lara et de J.D.Verhaeghe en 2002. Cette chronique de 1830, d’ailleurs sous-titre du roman, a beaucoup plu aux lecteurs de la fin du 19° et à ceux du 20° siècle, car elle est animée par un mouvement en avant

un tableau de la société. Ce que Flaubert décrit, ce ne sont ni des événements, ni des caractères : c’est la trame obscure, le « presque rien » qui tisse une existence. Et l’ambition de Flaubert - « un livre sur rien » – se réalise dans ces descriptions immobiles, cette écriture du silence. Alors, ce n’est le message lancé par l’auteur, le sens qui importe, mais bien le style, qui devient une manière de voir les choses. En ce sens, Flaubert est un précurseur de notre modernité. C. Le

Diérèse s/ “mystérieux” -> exaltation du mystère + mise en valeur de la rime et donc des “yeux”BREF : ♀ sublimée + vue comme un moyen de salut, de se transporter dans un monde idéal · II - Tableau d’un intérieur idéal“Description” d’une chambre idéale/imaginaire : vision utopique· Sens beaucoup évoqués : toucher, odorat, vue, ouïe -> rendu doux· “Meubles luisants polis par les ans” : idée de durée (indéterminée), du temps qui embellit les choses · Sentiment de calme :

avoir vent de la liaison adultère, et chasse Sorel de la ville. Celui-ci ne cessera d’aimer celle qu’il quitte. Il entre au séminaire de Besançon, où l’abbé Pirard lui proposera le poste de secrétaire du marquis de la Mole, à Paris. Il ne tardera pas à séduire la fille du marquis, Mathilde, qui, enceinte, convaincra son père de la marier à Sorel. Le marquis finit par céder, et le fait anoblir. Sorel est sur le point de se marier lorsque le Marquis reçoit une lettre de Mme de Rênal qui le met en garde

l'écrivain aussi a un rapport ambiguë avec la réalité. Il cherche à présenter son époque le plus réellement possible, mais cela rend impossible de créer des personnages parfaits. L'autre élément très important dans les œuvres réalistes est la description de la société. Les figures sont en générale les représentants typique de la société. Ce sont les circonstances qui déterminent les actions, les pensées et les décisions des personnages. La volonté de donner un image fiable de la société aide à montrer

est remarquable. Stendhal envisage tour à tour Julien et Mme de Renal: cette alternance marque le lien étroit qui unit les deux personnages et fait dépendre le sentiment de l’un des démarches ou des paroles de l’autre.Stendhal s’en tient à une description minutieuse des gestes d’un part, de réactions psychologiques de l’autre, sans aucun commentaire qui puisse briser le fil et détourner l’attention.Pourtant dans deux cas l’auteur s’éloigne de cette narration volontairement objective; dans les deux

le personnage féminin du récit, ce qui montre bien la médiocrité d'un personnage pour lequel l'auteur ne juge pas utile de trouver un nom : « L'époque actuelle est plutôt celle du numéro matricule » , écrit-il. Ce roman fait donc l'objet d'une description très poussée d'un défaut, voire d'une pathologie, cassant ainsi avec la « tradition » romanesque qui donnait aux héros le monopole de l'attention du lecteur. Enfin, le personnage médiocre peut contribuer à une remise en cause du lecteur

amantes madame Rénal et de mademoiselle Mathilde de la Mole alors que Fabrice Del Dongo est aidé par sa tante. Stendhal nous révèle ici comment il précipite la déchéance de ses deux héros au faîte de leur gloire, de manière émouvante et avec maestria. En effet Julien Sorel était sur le point d’être le gendre du tout puissant marquis de la Mole confident et favoris du roi du France. Ne voulant pas d’un gendre prolétaire sans distinction pour sa fille Mathilde, il le pousse dans l’armée et change même

amantes madame Rénal et de mademoiselle Mathilde de la Mole alors que Fabrice Del Dongo est aidé par sa tante. Stendhal nous révèle ici comment il précipite la déchéance de ses deux héros au faîte de leur gloire, de manière émouvante et avec maestria. En effet Julien Sorel était sur le point d’être le gendre du tout puissant marquis de la Mole confident et favoris du roi du France. Ne voulant pas d’un gendre prolétaire sans distinction pour sa fille Mathilde, il le pousse dans l’armée et change même