Matin Brun Commentaire

sous le plein jour ; et les paysans, et les bêtes, et les campagnes !...On verra, on verra, si je suis pas une brute ! Oui ! toute la vie moderne ! Des fresques hautes comme le Panthéon ! Une sacrée suite de toiles à faire éclater le Louvre !" Commentaire : Pistes de lecture : Situation : Claude Lantier travaille à son tableau Plein Air. Pour lui économiser les frais d'un modèle, son ami Pierre Sandoz accepte de poser pour lui. Pendant les longues heures de pose, les deux amis échangent leurs espoirs

Maupassant s’est inspiré de la maison de Flaubert, à Croisset, qu’il a beaucoup fréquentée dans sa jeunesse. Le journal s’ouvre sur une journée de printemps. 3. Le début et la fin du texte renvoient à la matinée (l. 1 et 23). Le déterminant employé (« ce matin ») permet de comprendre que le narrateur a tenu son journal l’après-midi ou le soir du même jour. 4. a. et b. Le narrateur retranscrit un état d’apparente sérénité. Rien ne se passe, ou si peu : le seul événement mentionné est le passage du convoi

leur en fallut le spectacle. Aucune qualification n’était nécessaire pour être arrêté. Les rafles se produisaient n’importe où : on emportait tout le monde, sans dérogation possible. Être humain était le critère unique. Ce matin-là, Pannonique était partie se promener au Jardin des Plantes. Les organisateurs vinrent et passèrent le parc au peigne fin. La jeune fille se retrouva dans un camion. C’était avant la première émission : les gens ne savaient pas encore ce

leur suffit plus ; il leur en fallut le spectacle. Aucune qualification n’était nécessaire pour être arrêté. Les rafles se produisaient n’importe où : on emportait tout le monde, sans dérogation possible. Être humain était le critère unique. Ce matin-là, Pannonique était partie se promener au Jardin des Plantes. Les organisateurs vinrent et passèrent le parc au peigne fin. La jeune fille se retrouva dans un camion. C’était avant la première émission : les gens ne savaient pas encore ce qui

point l’emplacement du chantier. [pic] La durée du trajet était en général de plus d’une heure alors que sans embouteillage il était de 45 minutes. Régulièrement, nous étions confrontés à une densité de circulation importante que ce soit le matin ou le soir. De nombreuses personnes se rendaient ou quittaient leur travail dans cette ‘plage horaire’. Nous perdions énormément de temps sur la route et donc on devait partir de très bonne heure, l’entreprise a pour exigence que tous les employés

manière implicite. C’est ce dernier cas qu’évoque Goffman lorsqu’il écrit : « Dès lors que les autres nous ont tacitement promis un certain temps de scène pour nous permettre de développer un argument, nous pouvons tolérer, voire susciter les commentaires, sachant que l’on peut écouter un moment sans trop risquer de perdre sa place de locuteur, tout comme les autres peuvent interrompre momentanément sans cesser d’être les auditeurs » (Goffman 1987 : 156). Précisons qu’il n’y a pas toujours de

tôt, nous devions nous rendre chez un oncle qui séjournait loin, il me demanda en se rasant : — Alors, mon fils, tel le divin Ulysse, tu frémis devant l’aurore aux doigts de rose, non ? — Pardon, Papa ? — Tu ne te gèles pas le cul à cinq heures du matin ? Résultat : j’adorais la compagnie de notre père car il s’exprimait toujours de façon imagée. À ma mère, je n’avais pas l’impression d’obéir ; je l’aimais tant que, quoi qu’elle décidât, je tombais d’accord. Nous constituions une personne avec deux

Scaphandre et le papillonJean-Dominique Bauby Le scaphandre et le papillon Robert LaffontJEAN-DOMINIQUE BAUBY Né à Paris en 1952, Jean-Dominique Bauby apprend le journalisme en autodidacte. Il signe dans le journal Quotidien de Paris, puis rejoint Le Matin de Paris, où il tient une chronique de télévision. En 1991, il devient rédacteur en chef de Elle jusqu’au cinquantenaire du magazine. Il publie également un essai : Raoul Lévy, un aventurier du cinéma, et commence un roman, une version moderne

(1931). - Les portraits dans le roman : entraînement au commentaire comparé. Comparaison des portraits de Jérôme Seita (étudié en lecture analytique) et de François Deschamps. - Extraits de l’Apocalypse de Jean 6, 8-9 (traduction de J. Brault et J.-P. Prévost) : textes tirés de la Bible, décrivant les quatre cavaliers de l’apocalypse ainsi que les fléaux déversés sur terre. Définition du terme « apocalypse ». - Commentaire composé portant sur un extrait du chapitre « Le chemin de cendres »

nerveux et un brun à lunettes. Un jeune homme pâle les écoute sans broncher. Je reste plantée à côté du bureau, sans rien dire ni faire. L’un d’eux interrompt enfin son propos: --Asseyez-vous, mademoiselle, n’ayez pas peur. --C’est que je suis intimidée. --Faut pas, allez, qu’est-ce qu’il vous faudrait? Alors, d’une traite, comme on se débarrasse d’un poids trop lourd, je leur demande comment procéder pour adhérer. Aussitôt, les 3 visages s’illuminent d’un sourire radieux et le brun à lunettes s’exclame: