Matin Brun Commentaire

Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets

Microsoft Word - 1553 Les Amours de Ronsard - Commentaires de Muret.docLes Amours de P. de Ronsard vandomois, nouvellement augmentées par lui, & commentées par Marc Antoine de Muret. Plus quelques Odes de L’auteur, non encor imprimées. Avec privilege du Roy. A Paris. Chez la veuve Maurice de la Porte. 1553. Source : Ronsard & Muret, Les Amours, leurs Commentaires (1553), éd. Christine de Buzon et Pierre Martin, Didier Érudition, 1999, 537p. p. 20-21, Sonnet « Ces liens d’or

caractéristique de la condition de l’homme : qu’est-ce qui vous indigne aujourd’hui ? Lecture personnelle  Au choix : Stéphane Hessel, Indignez-vous ! Jean Anouilh, Antigone Voltaire, Candide Documents complémentaires et activités : - Matin brun, Franck Pavloff (lecture en classe) : du laisser-faire à l'indignation tardive. - Corpus – sujet du bac : La révolte face à la misère Lectures analytiques d’extraits courts : Texte A : Jean de La Bruyère, Caractères, « De l'homme », 1688 Texte

BAUDELAIRE…………………………………………………………………………………..16 A une passante…………………………………………………………………………………….17 Arthur RIMBAUD………………………………………………………………………………………….18 Voyelles……………………………………………………………………………………………...19 Jacques PRÉVERT………………………………………………………………………………………..20 Déjeuner du matin……………………………………………………………………………….21 Jean de la FONTAINE Jean de La Fontaine né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, mort le 13 avril 1695 à Paris, est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les

une simple dent d’or qui n’est qu’une rumeur : « le bruit courut » l.8, « écrivit en 1595, l’histoire de cette dent » l.11, « Rollandus en écrivit encore l’histoire » l.17. Ridicule par opposition : « naturelle » l.12 et « miraculeuse » l.12. Commentaires ironiques de l’auteur qui illustre la bêtise des savants et leur stupidité : « docte » l.19, l’épithète « un autre grand homme » l.20, « de beaux ouvrages » l.22 (valeur hyperbolique), « ramasse tout ce qui avait été dit » l.20 dévalorise la démarche

provoqua sa fuite. NOUVEAU DÉPART 7 novembre 2008 Voilà donc où elle en est aujourd’hui, secrétaire dans une grande agence de mode nommé " Moda fine". Durant ces deux longs mois, elle avait radicalement changé. Elle s’était teint les cheveux en brun, portait des lunettes et elle avait perdu du poids. Dorénavant, à la place de vivre dans un manoir, Élisa vivait dans un simple condo avec sa colocataire Melrose. Depuis sa fuite, elle n’a laissé aucune nouvelles à sa famille, pas même à Hector.

30 minutes de préparation : c'est relativement court, il ne faut donc pas perdre son temps. Il est important de bien connaître le texte et les éléments permettant de l'analyser. Vous présenterez votre texte sur 10 minutes. Pour préparer votre commentaire : -Ecrivez le plan vu en cours -Retravaillez-le en fonction de la problématique Rassurez-vous, en général, il est rare que la problématique s'éloigne de celle du cours. -Une fois que vous avez votre plan, notez tout ce qui correspond à vos grande

D'ambre (3), de musc (4), baiser d'une Déesse. Je veux mourir pour cette blonde tresse, Pour l'embonpoint (5) de ce trop chaste sein, Pour la rigueur de cette douce main, Qui tout d'un coup (6) me guérit et me blesse. Je veux mourir pour le brun de ce teint, Pour ce maintien qui, divin, me contraint De trop aimer: mais par sus toute chose (7), Je veux mourir en amoureux combats, Souffrant l'amour, qu'au coeur je porte enclose (8), Toute une nuit, au milieu de tes bras. Notes:

entourent. Nous remarquons qu’il y a plus que de simples commerces aux alentours, il y a également des théâtres et des restaurants (Tim Horton, Sushi Shop, McDonald). Les bâtiments sont de couleurs brunes, elles comportent des briques de différentes nuances de bruns comme le brun foncé, le brun clair, le brun orangé, le beige et le rouge bourgogne. De plus, les bâtiments semblent mesurer environ quinze mètres de longueur et trente mètres de largeur.  De l’angle où on se situe, nous pouvons apercevoir

monotone, déchirante, horrible. Elles restèrent là, toutes les deux, la femme et la bête, jusqu'au matin. Antoine Saverini fut enterré le lendemain, et bientôt on ne parla plus de lui dans Bonifacio. <!-- athena texte --> Il n'avait laissé ni frère ni proches cousins. Aucun homme n'était là pour poursuivre la vendetta. Seule, la mère y pensait, la vieille. De l'autre côté du détroit, elle voyait du matin au soir un point blanc sur la côte. C'est un petit village sarde, Longosardo, où se réfugient