Matsuo Bashō

Fiche de présentation de l’auteur japonais Bashō Matsuo (XVIIe siècle) : biographie, bibliographie, thèmes, forme, extraits, particularité de ses œuvres. | Bashō Matsuo(1644-1694) Auteur Japonais de la seconde moitié du XVIIème siècle. Biographie de l’auteur : De son vrai nom Kinsaku Matsuo, il se fait appeler, après l’enfance, Munefusa Matsuo. Il est issu d’une famille de bushi (guerriers japonais). Il se lie d’amitié avec le fils de son seigneur, Yoshitada, mais la mort de son ami le contraint

en 5/7/5 syllabes de cet enchaînement (renga) constituait le hokku. 2) L'émergence progressive du haïku. Au XVIIe siècle, Matsuo Bashô fractionna la forme ancienne et fit exister le hokku indépendamment. Libre, il était cependant assorti de contraintes telles que l'allusion à la saison ou la césure fréquemment soulignée par un tiret. Exemple de haïku de Matsuo Bashô : « Nuit d'été- Le bruit de mes socques

mélange parfait entre l'équilibre et le vertige. Le 7 : les 7 premiers ‘chapitres’ commencent par un haïku. le premier, de l’auteur même, pour introduire le livre deuxième et le quatrième sont de Kobayashi Issa (1763-1828) troisième est de Bashô Matsuo (1644-1694), cinquième est de Chôsui ( ? – 1769) sixième est de Taigi (1709-1772) le septième est de Sôseki (1867 - 1916) ‘chapitre’11 : haïku de Den Sutejo (1633-1698), femme haïkiste. Le haïku de l’unique femme haïkiste du livre est placé

"L'art du haïku" de Vincent Brochard et Pascale Senk Que c’est beau un haïku de grands maîtres ! Je ne me lasse pas de lire ces petits poèmes de trois lignes rédigés il y a longtemps par des poètes tels que Bashô, Issa et Shiki. Cela semble tout simple d’écrire trois petites lignes mais il est plus compliqué qu’il n’y paraît car pour être bon, un haïku doit rassembler un certain nombre de caractéristiques comme par exemple, comporter au moins un mot qui évoque une saison, être bien balancé, avoir

le haïku (俳句, haiku), terme créé par Shiki Masaoka (1867-1902), est une forme poétique très codifiée d'origine japonaise, à forte composante symbolique, et dont la paternité est attribuée à Bashō (1644-1694). Le haïku tire son origine du tanka terme de poésie traditionnelle japonaise. Il s'agit d'un petit poème extrêmement bref visant à dire l'évanescence des choses. Encore appelé haïkaï (ou hokku, son nom d'origine), ce poème comporte traditionnellement 17 mores écrits verticalement. Les haïkus

nouveau genre poétique: le haïkai (le mot haïku est du XXe siècle), qui signifie badinage. Cette espèce d'épigramme amusante est vite devenue un divertissement, une sorte de jeu de société pour la bourgeoisie japonaise de l'époque. Ce n'est qu'avec Bashô, au XVIIe siècle, que ces trois vers acquerront le statut de genre poétique sérieux. Postérité.Le haïku est encore pratiqué au XXe siècle, mais d'une manière différente. La plupart des haïkistes ont rejeté les règles traditionnelles du genre, comme

Eléments biographiques / Culture japonaise Dans son roman, l’auteur cite l’empereur japonais de la cour Meiji. Il parle de la cour japonaise lorsque Yuko se voit proposé d’y aller afin de devenir un des poètes attitrés de l’empereur. Il cite également Bashô, un des plus grands maîtres de haïku. On apprend de la culture japonaise le grand respect pour la religion et l’immense amour de la nature qui les entoure. Avis Personnel

Littérature comparée Commentaire Bashô, René Char, Héraclite Par ces vers, « L’état d’esprit du soleil levant est allégresse malgré le jour cruel et le souvenir de la nuit. La teinte du caillot devient la rougeur de l’aurore. » René Char définie le soleil comme une entité magique et merveilleuse qui, en se levant, efface le trouble laissé par la nuit. Le caillot, sous-entendu le caillot de sang, représente le ventre de l’astre qui s’éveille à la vie chaque matin. Héraclite, dans les mots suivants :

Alexandre Bain à la grenouillère, 1869, Claude Monet(1840-1926), Metropolitain Museum of Art, New York City. Charles d’Orléans……………………….Le Printemps (1444) Jean de la Fontaine…………………… Le Chêne et Le Roseau (1668) Matsuo Bashô........................................ Vieille mare (1681) Alphonse de Lamartine……………… L’automne (1820) Alphonse de Lamartine………………. La branche d’amandier (1823) Georges Sand……………………………À Aurore (1873) --- Guy de Maupassant……………………. La chanson

passa de longues périodes de sa vie seul à Saga, Ise (où il s’investit dans la rénovation du Tōdai-ji[2]), aux monts Kōya et Yoshino, et de nombreux autres lieux, mais il était surtout connu pour ses longs voyages poétiques dans le nord de Honshū – Matsuo Bashō s’en inspirera d’ailleurs dans sa Sente étroite du Bout-du-Monde[6]. Ami de Fujiwara no Teika, plusieurs de ses recueils furent inclus dans les collections impériales Sankashū, Shin kokin wakashū et Shika wakashū. Il mourut finalement à l’âge de