Matthias Jabs

INTRODUCTIONLa Guerre est une oeuvre d'Otto DIX, peintre allemand, engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. Cette oeuvre est donc celle d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté règnent en maîtres.Otto DIX réalise La Guerre entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période

« La Guerre » de Otto Dix Fiche d’identité : Technique et support : Peinture sur bois Titre : La Guerre Artiste : Otto Dix (allemand) 1891-1969 Date : 1929 – 1932 Dimensions : Panneau central : 204 x 204 cm Panneaux latéraux : 204 x 102 cm chacun. Particularités : Triptyqeue Courant artistique : expressionnisme Contexte historique :

comportant huit panneaux dont un comporte deux peintures, une prédelle et l'équivalent du panneau central et de la prédelle en sculpture. Le Retable a été entamé autour de 1490 par l'artiste Nicolas de Hagueneau qui a sculpté la partie antérieure. Matthias Grünewald a ensuite peint le reste entre 1512 et 1516. Il est exposé au musée Unterlinden, à Colmar, en France. Pour ce polyptique, le peintre utilise plusieurs techniques propres à lui-même comme la combinaison de laques et de pigments pour obtenir

Il peut avoir une prédelle, partie inférieure qui sert de support. Otto Dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retables les plus célèbres : le retable d’Issenheim (Alsace) peint par Matthias Grünewald (XVIe siècle). Chaque panneau de l’œuvre peut être analysé séparément. Chacun représente une scène différente et participe à un ensemble qui décrit la guerre dans tous ses aspects. On peut aussi repérer une composition chronologique de

Mathi(a)s se prend pour saint Antoine, les démons viennent le tenter, mais l'œuvre s'achève dans une apothéose, à la manière d'un Alléluia triomphal. La genèse de l'opéra repose sur l'intérêt que Hindemith portait à la Réforme. Le protagoniste est Matthias Grünewald (de son vrai nom probablement Mathis Gothart Nithart), peintre et ingénieur hydraulique allemand de la Renaissance, contemporain d'Albrecht Dürer et qui a inspiré certains peintres expressionnistes du début du XXe siècle. Le livret situe

travaillant pour la haute bourgeoisie commerçante, il réalisa des portraits,(le Bourgmestre Jakob Meyer et sa femme, 1516, Kunstmuseum, Bâle), des compositions religieuses, décorations murales, cartons de vitraux et des gravures . Influencé par Matthias Grünewald, son style s'ouvrit aux nouvelles conceptions de la Renaissance italienne. En 1519, Holbein devient membre de la guilde des peintres de Bâle, et sa production picturale compte surtout des œuvres religieuses: l'Adoration des bergers et

même avis. Les seuls débats portent sur l'écart qui continue de persister entre les "anciens" et les "nouveaux Lander" et, recul aidant, sur la façon dont s'est déroulé le processus. Le ministre-président du Land de Brandebourg, le social-démocrate Matthias Platzeck, a récemment créé une controverse en parlant d' "Anschluss" pour évoquer la fusion de la RFA et de la RDA. Ce terme qui signifie "rattachement" est surtout celui qu'avait utilisé Hitler à l'occasion de l'intégration de l'Autriche dans le

L’ART DE LA GUERRE : RETABLE DE GRÜNEWALD (1515-1512) ET COMPARAISON AVEC OTTO DIX Le retable de Grünewald Le retable d’Otto Dix La Guerre est une œuvre qu’on peut qualifier d’expressionniste d'Otto DIX, peintre allemand, engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. Cette œuvre est donc celle d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat en représentant un

parties : Le panneau centrale, les panneaux latéraux et la prédelle. Otto dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retables les plus célèbres : le retable d’Issenheim (Alsace) peint par Matthias Grünewald au 18eme siècle. C’est une Œuvre figurative car on reconnaît des éléments du réel : il s’agit de scènes de guerre. Cette œuvre fait le portrait de divers soldats. Ils sont principalement vus en action, pendant la bataille. Il s’agit donc

avec son triptyque une œuvre majeure de la Renaissance : « Le retable d'Issenheim de Mathias GRÜNEWALD » Dans « la Guerre » Dix remplace la croix et jésus part un squelette empalé sur un pilier qui represente la mort. Le retable d'Issenheim de Matthias Grünewald : Dans le retable d'Issenheim il est aussi question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion que GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié