Maurice de Guérin

dans la maison de santé du Docteur Blanche. Il y meurt en juillet 1893. Maurice et Eugénie de Guérin Maurice de Guérin et sa sœur Eugénie de Guérin vécurent ensemble à Andillac dans le Tarn, au château du Cayla. Maurice de Guérin est l'auteur « du Centaure », de « la Bacchante » et de nombreux poèmes qui se situent de l'histoire littéraire au début romantisme. À partir de 1834, Eugénie de Guérin rédiga un journal destiné à son frère. Elle l'achèvevaen 1841, notant ses impressions

Ossian seront suivies par plusieurs recueils de poèmes en prose qu'ils voulaient des traductions de poèmes étrangers ou anciens : les Chansons madécasses d'Évariste Parny (1787), La Guzla de Mérimée (1827). Le genre se constitue ; Le Centaure de Maurice de Guérin, écrit en 1836, est publié en 1840, La Bacchante, écrit peu de temps après, sera publié plus tard, en 1862 ; Xavier Forneret publie en 1838 un recueil au titre exemplaire, Vapeurs, ni vers, ni prose, Jules Lefèvre-Deumier, Le Livre du promeneur

26 avril 1798 à Charenton-Saint-Maurice (Seine), 2 rue de Paris (actuelle Grande Rue) et meurt de la tuberculose le 13 août 1863, au 6 rue de Furstemberg à Paris. Il repose au cimetière du Père-Lachaise (division 49). C'est un peintre majeur du romantisme, apparu au début du XIXe siècle, en France. Jeune, il habitait une grande demeure bourgeoise du XIXe siècle. Elle a été transformé depuis 1988 en batiment municipal et abrite à présent la médiathèque de Saint-Maurice. Puis a la mort de son père, Eugène

Charles Guérin, né le 29 décembre 1873 à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), où il est mort, le 17 mars 1907 est un poète français. Il appartient à une grande dynastie d’industriels lorrains, propriétaire de la célèbre Faïencerie de Lunéville-Saint-Clément, connue aussi sous le nom Keller et Guérin. Au sein de sa famille, où il est l’aîné de huit enfants, il reçoit une solide éducation humaniste et religieuse, dont l’influence sur l’œuvre poétique a été déterminante. Il fait ses études à Saint-Pierre-Fourier

soucieux du sort de ses enfants. Riche, il n’attache toutefois pas beaucoup d’importance à l’argent et n’intervient pas dans les affaires dont s’occupe le père Maurice. Il est serviable et honnête, comme le souligne son beau-père : « tu es un honnête homme. » (chapitre 4, p. 28) Peu enthousiaste à l’idée de rencontrer la veuve Guérin, il consent néanmoins à aller la voir pour faire plaisir à son beau-père qui souhaite qu’il se remarie. Mais il fait preuve de bien peu d’initiatives dans l’organisation

Daniel GUERIN, Front populaire, révolution manquée, Paris, Maspero, 1970 Daniel Guérin, l’auteur de l’ouvrage Front populaire, révolution manquée a appartenu au milieu des années 30 au mouvement de Gauche Révolutionnaire (tendance de la SFIO) de Marceau Pivert, puis plus tard à la création de la PSOP (Parti Socialiste Ouvrier et Paysan). Dans son œuvre, il cherche une synthèse du marxisme et de l’anarchisme souhaitant ainsi trier le meilleur des deux idéologies. En 1920, 15 ans après la création

père, Charles-Francois Delacrois, commença sa carrière comme secrétaire de Turgot, pour Préfet de Gironde et dont sa mère, Victoire Oeben, était la descendante d'une célèbre famille d'ébénistes. Il grandit dans une grande demeure à Charenton-Saint-Maurice, toujours existante aujourd'hui. Delacroix avait deux frères Charles et Henry ainsi qu'une sœur Henrillette. À la mort de son père en 1805, E. Delacroix n'avait que 7 ans. Il monta alors avec sa mère à Paris. Ils habitaient en janvier 1806 dans l'appartement

Montaigne, Essais, (1580-1588), Chapitre LVII, « De l’aage », Librairie Gallimard, 1950. SOCIOLOGIE, ECONOMIE : Vincent Caradec, Sociologie de la vieillesse et du vieillissement, Armand Colin, 2008. Serge Guérin, Vive les vieux, Michalon, 2008. Serge Guérin, La société des seniors, Michalon, 2009. Maurice Godelier, François Jullien, Joseph Maïla, Le grand âge de la vie, PUF, 2005. COMMENTAIRES PHILOSOPHIQUES, ARTICLES : « Montaigne et la vieillesse : une philosophie de la vie ». Thierry Gontier, L’encyclopédie

Travail :la peinture Romantique L’artiste : Ferdinand-Victor-Eugène Delacroix, est né le 26 avril 1798 à Charenton-Saint-Maurice (Seine) et est mort de la tuberculose ,le 13 août 1863, à Paris. Il est un peintre majeur de la peinture du romantisme, apparu au début du XIXe siècle, en France. Ses peintures majeures sont : - La mort de Sardanapale. - Le 28 juillet: La liberté guidant le Peuple - Scène de massacre de Scio -Dante et Virgile aux enfers Formation : D'octobre 1806

candidats à la vaccination se mettent à affluer. * * Après plus de dix années de recherches interrompues par la Première Guerre mondiale, les Français Albert Calmette et Camille Guérin mettent au point un vaccin contre la tuberculose, à l’Institut Pasteur de Paris. Le premier vaccin BCG (bacille de Calmette et Guérin) est administré en 1921. * Huit ans plus tard, dans la petite ville allemande de Lübeck, 71 enfants meurent après avoir reçu le vaccin. Le gouvernement allemand intente un procès