Mcdonald S Hofstede

orientation, and orientation to nature. Trompenaar’s concept of culture is defined as a way in which a group of people solves problems. Hofstede: Later, Geert Hofstede developed five independent dimensions of national culture: power distance, individualism/collectivism, masculinity/femininity, uncertainty avoidance, and long-term orientation. Hofstede is interested in manifestations of culture. He classified four manifestations of culture in the Onion model: symbols (words, gestures, pictures

sous-cultures. Celle-ci s’impose donc à l’entreprise dans l’élaboration de la propre culture : A)  La culture national est une ‘’sorte de moyenne de croyance et de valeur autour de laquelle se situe les individus qui habitent un pays’’ de Geert Hofstede, ce qui explique la façon d’agir et de penser d’un groupe. Par exemple la culture française est caractérisée par la défiance par rapport au pouvoir, l’individualisme, la valorisation du mérite. Les sous B) Les sous-cultures sont propres à chaque

thousands of French cafés that serve ham-and-butter sandwiches, the bottles of Evian and Badoit, the French Films featuring Gerard Depardieu, or the regional press.11 Les Français voient toutes ces choses, particulièrement les Américaines comme McDonalds qu’on va examiner plus tard, comme une menace, une menace à leur culture, leur identité, et leur langue. Pour eux, la mondialisation ne défie pas seulement leur leurs traditions politiques et économiques, mais aussi leur culture. As French writer

Guerlain Année de réalisation : 2008 1 SOMMAIRE Introduction Générale 3 Partie I – Revue de littérature 5 I Différences culturelles et comportement du consommateur face au luxe 9 1 Différences culturelles 9 1.1 Dimensions culturelles d‟Hofstede 9 1.2 Intégration mondiale vs sensibilités nationales 13 1.2.1 Stratégies de mondialisation d‟une marque 13 1.2.2 Analyse conceptuelle du conflit intégration / adaptation 14 1.2.3 Les implications des 4 stratégies 15 2 Consommation des produits de

économiques ou civilisationnelles. Nombreux sont les échecs et les exemples ne manquent pas, que ce soit des produits alimentaires, vestimentaires, artistiques,…. D’autre en revanche ont su conquérir un marché qui pourtant ne s’y prêtait pas comme McDonald qui transforma ses hamburgers en un plat végétarien spécialement pour l’Inde, respectant ainsi leur régime alimentaire. Cependant, mis à part les changements liés à la traduction et certaines modifications techniques, le manga est publié en France

culture définition : L'identité de l'entreprise : c'est l'ensemble des éléments qui permettent de distinguer l'entreprise aussi bien à l'intérieur (pour les salariés de l'entreprise) qu'à l'extérieur (les consommateurs,partenaires,etc). Ex : pour Mcdonald : Le nom, le logo, code couleur, l'organigramme, l'architecture font l'identité de l'entreprise. L'identité d'une entreprise regroupe les éléments suivants : l'organigramme, tout ce qui participe à l'identité visuelle (logo,nom,code couleur

support logistique • Bureaucratie mécaniste : force dominante est la technostructure qui cherche la rationalisation à travers des procédés déterminés. Adaptée à un environnement stable avec une structure de travail routinière et standardisée. Ex : McDonald • Bureaucratie professionnelle : force dominante du côté du centre opérationnelle, cette forme réalise sa coordination à travers la standardisation des savoirs et des qualifications. S’appuie sur la compétence de professions opérationnelles

inégal (soumission à l'autorité, forte hiérarchisation : Chine) 2. Cultures nationales et management 2.3. Autres modèles Le modèle de Schwartz : la théorie des Valeurs (2006-2009-2012) ● Modèle multiimensionnel ● Evidences empiriques > Hofstede ● Enquête: > 60 000 ind., 72 pays, 81 groupes culturels Modèle des valeurs exprimées dans toutes les cultures 6 caractéristiques 10 valeurs connectées par paire 4 dimensions 2. Cultures nationales et management 2.3. Autres modèles

scientifique. Effectivement, au cours des trente dernières années, bon nombre d’études ont tenté d’une part de définir ce concept et, d’autre part, d’identifier ses fonctions (Deal et Kennedy, 1982; Denison et Mishra, 1995; Deshpande et Webster, 1989; Hofstede, 1993; Lee et Yu, 2004; Siehl et Martin, 1990). Nonobstant l’existence d’une quantité appréciable de définitions différentes, il est possible de dégager des éléments définitionnels communs émergeant de la tentative des principaux chercheurs de

adhocratie ») : basé sur l’innovation et la résolution des problèmes, elle regroupe les entreprises de technologies de pointe. - L’« organisation missionnaire » : basé sur l’idéologie et la culture, pour des entreprises principalement décentralisé (ex : McDonald, IBM, Toyota…). Dans d’autres travaux, Minstberg explique qu’il y a une différence entre la « stratégie intentionnelle » et la « stratégie délibérée ». 3.4- « Le poids des technologies » Les technologies influent sur les organisations et le changement