MD5

Authentication and Authorization Service (JAAS) » qui gère  l’authentification des utilisateurs dans un environnement Web  Java EE 6.  L’information utilisateur sera stockée dans une base de  données en utilisant un mot‐de‐passe stocké comme digeste MD5  ou SHA1. Le plug‐in doit vérifier des règles de formation de mot‐ de‐passe, vérifier la « force » d’un mot‐de‐passe et inclure un  mécanisme de récupération de mot de passe oublié. Le plug‐in  doit être conçu d’une manière à supporter l’authentification 

une méthode d'authentification basée sur des certificats ➢ L'EAP (Extensible Authentification Protocol) n'est pas un protocole d'authentification à proprement parler, mais un protocole de transport de protocoles d'authentification tels que TLS, MD5, PEAP, LEAP, etc. En effet, avec cette méthode, les paquets du protocole d'authentification sont encapsulés dans les paquets EAP. Son but est l'authentification d'un utilisateur sur un réseau non ouvert, car dans un premier temps, dans ce type de réseau

d’é tablissement de la liaison PPP terminée, le routeur local envoie un message de demande de confirmation au nœud distant. Le nœud distant répond par une valeur calculée au moyen d’une fonction de hachage unidirectionnelle, généralement l’algorithme MD5. Le protocole CHAP protège contre les attaques de lecture répétée des informations passant par le modem en utilisant une valeur de confirmation variable, unique et imprévisible. Les demandes de confirmation répétées visent à limiter la durée d’exposition

régulière de l’identité du nœud distant (A l’établissement puis à tout moment). o Authentification dans les deux sens. o Impossibilité de tenter une authentification sans avoir reçu une demande de confirmation. o Authentification cryptée via l’algorithme MD5 lors du transit sur la liaison. • Efficacité contre le piratage : o Utilisation d’une valeur de confirmation variable, unique et imprévisible. o Répétition des demandes de confirmation visant à limiter la durée d’exposition aux attaques. o Chaque côté

ayant la même empreinte : H(M’) = H(M) ; si on connait H(M) Remarquons que les fonctions de hachage ne reposent sur aucun secret. Toutefois, c’est grace aux methodes la cryptologie que c’est possible de créer de bonnes fonctions de hachage, telles que MD5 et SHA-1, qui sont actuellement les deux fonctions les plus utilisées. Signature et contrôles d’intégrité La signature permet d’assurer l’intégrité d’informations. Elle est obtenue en appliquant à un texte une fonction de génération de signature en

approprié à chaque type de sécurité, nous pouvons citer entre autres: L'EAP (Extensible Authentification Protocol) n'est pas un protocole d'authentification à proprement parler, mais un protocole de transport de protocoles d'authentification tels que TLS, MD5, PEAP, LEAP, etc. En effet, avec cette méthode, les paquets du protocole d'authentification sont encapsulés dans les paquets EAP. Son but est l'authentification d'un utilisateur sur un réseau non ouvert, car dans un premier temps, dans ce type de réseau

en train d’être transmises à travers un réseau public Internet ne sont pas altérées ou modifiées durant leurs transfert. Les VPN utilisent typiquement une de ces trois solutions pour assurer l’intégrité : - fonctions de hachage : le plus connu est MD5 - codes d’authentification des messages (MAC) : une clé associée aux fonctions de hachage. - Signatures digitales : repose sur le principe de cryptographie à clé publique et privée. Le propriétaire signe les données avec sa clé privée et le destinataire

d’authentification crypté qui évite la transmission du mot de passe en clair sur la connexion. Le NAS envoi au client distant une épreuve (identificateur de session + chaîne de caractère generée aléatoirement) , le client distant emploi l’algorithme de hachage MD5 pour renvoyer un chiffrement du trio (id session, chaine de caractère, mot de passe du client), ainsi que le nom de l’utilisateur en clair. C’est un protocole plus fiable que PAP car le mot de passe est envoyer en crypté. Pas d’usurpation d’identité

lequel authentifie les éléments homologues d'une connexion. Il repose sur l'utilisation d'une clé de sécurité similaire à un mot de passe. L'initiateur combine cette clé secrète avec d'autres informations, puis il utilise l'algorithme Message Digest 5 (MD5) pour calculer une valeur de hachage partagée entre les acteurs d'une session de communication. Les autres informations de sécurité incluent notamment une valeur d'identification qui est incrémentée à chaque dialogue CHAP afin de fournir une protection

signature MD5 du certificat utilisé pour signer vos applications en mode debug (voir ci-après). 1. http://code.google.com/android/toolbox/apis/mapkey.html. 336 L’art du développement Android 4. Sur la page d’inscription pour la clé de l’API, collez cette signature MD5 et envoyez le formulaire. 5. Sur la page de réponse, copiez la clé de l’API et collez-la dans la valeur de l’attribut android:apiKey du layout de votre MapView. La partie la plus compliquée consiste à trouver la signature MD5 du