Médecine légale

Introduction à la médecine légale La médecine légale est une branche de la médecine qui a pour principale mission d'apporter a la justice des connaissances médicales. C'est la médecine au service de la justice, à distinguer du champs de la criminalistique (complémentaire) et de la criminologie (science qui étudie les facteurs et les processeurs de l'action criminelle). Le médecin légiste est auxiliaire de la justice, il éclaire le juge sur : La matérialité des faits criminels ou délictueux

La médecine légale La mort est un phénomène progressif. Au stade réversible, aucun signes de vie et au stade irréversible, signes de mort. On se rend sur place pour noter tous les signes qui vont disparaitre (position, taches de sang…). Comment diagnostiquer la mort ? * Les lividités = taches de coloration sur la peau (rose à violet foncé) qui varient selon la stagnation su sang, tout ceci est soumis aux lois de la pesanteur. On ne les trouve que sur les points déclives, c’est-à-dire en bas

INTRODUCTION A LA MEDECINE LEGALE I. Introduction : La médecine légale :  Un titre : Une discipline et une spécialité à part entière depuis 1994 au Maroc  Médecin légiste : Spécialiste en médecine légale  Une qualité : Activité médicale mandatée par la justice  Médecine légale : Pont dressé entrée la médecine et le droit  « C’est l’application des connaissances médicales à la résolution de problèmes légaux pour les individus et la société »  La médecine légale empreinte les connaissances de

réaction quand la personne est vivante et non qui entraîne la mort. Toutes les lésions vitale tel que la coagulation n'arrive que durant le vivant de la victime. Si après un coup pas de reaction vitale alors le coup est post mortem. C'est ce que le médecin légiste va chercher avec après des analyses au microscope. Quand un corp est retrouvee il peut etre grignoter par des rongueurs donc savoir differencie les blessures post et ante mortem. Savoir si un demanbrement est post mortem. Elle s'installe

l’exercice des missions de la médecine légale. LOUANGE A DIEU SEUL ! (Grand Sceau de Sa Majesté Mohammed VI) Que l’on sache par les présentes – puisse Dieu en élever et en fortifier la teneur ! Que Notre Majesté Chérifienne, Vu la Constitution, notamment ses articles 42 et 50, A DÉCIDÉ CE QUI SUIT : Est promulguée et sera publiée au Bulletin officiel, à la suite du présent dahir, la loi n°77-17 relative à l’organisation de l’exercice des missions de la médecine légale, telle qu’adoptée par la Chambre

Il existe 2 types d’autopsie: 1) L’autopsie « médico-légale » est un examen obligatoire mis en œuvre dans un cadre judiciaire à la demande d'un juge d'instruction. L’autopsie est réalisée par un médecin légiste, il réalise une série d'examens pour rechercher la cause d'une mort considéré comme suspecte. 2) L'autopsie « clinique » (appelée aussi autopsie « médico-scientifique ») est un examen facultatif (demandé par la famille ou le médecin) réalisé le plus souvent par un spécialiste d'anatomo-pathologie

2014. Les médecins légistes ont retrouvé sur place des larves de mouches bleues. Problématique : Comment les larves contribuent-elles à dater la mort ? Plan : 1) L’entomologie médico-légale. 2) La mouche bleue (Calliphora vicina). 1. Présentation 2. Cycle de vie 3) Mise en relation avec le meurtre. 1) Définition de l’entomologie Lors de la découverte d’un cadavre, les enquêteurs ont besoin de connaître précisément la date et l’heure du décès : habituellement, la médecine légale fournit

modernes et les plus avancées, et les mettent au service de la justice. C’est pourquoi on regroupe leurs activités sous le terme de Sciences Légales. Leur mission est d’apporter un maximum de preuves matérielles de l’innocence ou de la culpabilité d’un individu. Nous avons choisi de présenter les 2 branches fondamentales des Sciences Légales : la médecine légale et la biologie génétique. Nous étudierons donc les méthodes employés lors de l’analyse post-mortem ainsi que les méthodes d’étude des traces

à l'instar d'Auguste Comte et sa philosophie positiviste, croit fermement aux vertus des sciences. Comment pourrait-on imaginer une police judiciaire moderne sans les découvertes en biologie, chimie ou médecine qui se multiplièrent durant ce siècle de savants? Déjà, au début du siècle, un médecin, Mathieu-Joseph Orfila (1787-1835) avait écrit le premier traité de toxicologie, suivi en 1836 par James Marsch qui mit au point le premier appareil de dépistage de l'arsenic dans les tissus humains. On

– Le groupe composé de sciences auxiliaires : les sciences auxiliaires par rapport aux sciences normatives et aux sciences constatatives portent leur concours et leur aide (la criminalistique, la police scientifique, la police technique et la médecine légale). B- Conception étroite : Ces conceptions sont généralement adoptées par la doctrine française qui distingue tout d’abord le droit pénal de la criminologie, la criminologie de la pénologie et elle considère que la criminologie doit s’entendre