Médée

Eugène Delacroix. Dans sa peinture Médée furieuse, nous voyons une femme, Médée, armée d'un couteau avec ses deux enfants. Le visage de Médée est de profil et nous ressentons dans son regard une grande détresse, un sentiment de panique. A ce moment-là, selon la légende, Médée a déjà tué l'épouse de son ex-mari et elle sait que ses enfants n'auront aucune protection ni aucune aide. Ils seront au mieux esclaves. Elle décide alors de les tuer. Les enfants de Médée et Jason sont terrifiés, leurs visages

sentiments et ses émotions avec une cause bien déterminé et qui n’a aucune intensité ; dans le roman Médée écrit par Corneille, Médée le héros tragique, adresse ses supplies aux dieux quand elle est en exile cela montre l’innocence de celle-ci. Le personnage n’est pas seulement innocent mais en même temps aussi responsable de son destin : s’en débarrassé de Jason. Dans le même roman vers la fin Médée prend une grande décision qu’elle a faite était responsable de son avenir puisque ces enfants appartiennent

                                                          Médée la magicienne Médée était la fille de Eétès, l’un des des fils du Soleil. Il possédait la toison d’or qui assurait bonheur  et prospérité à son royaume. Un jour, des grecques dont le chef était Jason, vinrent sur l’île, prendre la toison d’or. Or Médée était tombé amoureuse de Jason mais elle voulait ignorer cette amour qu’elle avait pour lui pour ne pas trahir son père. Médée partit alors dans la forêt et elle croisa Jason. Il lui prit

de Racine. Neron est un personnage confronté à son destin, car il est victime de l'hérédité de ses parents, ce qui le perdra. De plus, le personnage tragique peut être également soumis à ses passions, tels que l'amour, la haine... Dans Médée, de Corneille, Médée, trompée par son mari, tue ses deux enfants. Mais le personnage tragique est aussi dicté par l'honneur, le pouvoir. C'est ce qui se passe dans Horace, de Corneille. Horace tue le mari de sa soeur, pour sauver l'honneur de Rome. Ensuite

Synthésis, évoquant la souffrance et les barbaries humaines. Ce ballet, d'une dureté et d'une violence physique poussées, est relativement éprouvant pour le spectateur. La même année, il crée, pour l'Opéra de Paris, "Le Songe de Médée", un huis-clos inspiré du mythe de Médée. La création des "4 Saisons", en 2005, en collaboration avec le plasticien Fabrice Hyber, s'oriente vers plus de sérénité avec un spectacle placé sous le signe de l'exaltation et de la joie sur la musique de Vivaldi. En 2009

PREMIERE SEQUENCE: Tragédies et héros mythique 4 lectures analytiques : 1. "L'exode", Œdipe Roi, Sophocle, (421 av J-C), page 3 2. "Le dénouement", La Machine Infernale, Cocteau, (1934), page 4 3. "La Terrible Révélation", Médée, I, 4, Corneille, (1635), page 5/6 4. Scène III, Médée Kali, Laurent Gaudé, (2003), page 7/8 et page 479 dans le manuel Texte n°1 : (LA n°1) "L'exode", Œdipe Roi, Sophocle, (421 av J-C), page 3 Le Valet Le mot le plus bref qui soit à dire et à entendre : la mort de Sa

ce dernier n'hésite pas à écrire des pièces aux implications politiques claires, plus encore qu'Eschyle. Plus anciennes, Les Héraclides et Les Suppliantes sont tournées vers le patriotisme, que l'on retrouve aussi dans le personnage d'Égée de Médée), et dans Thésée (et que l'on devait retrouver dans certaines pièces perdues). À l'inverse, des pièces plus récentes déplorent les conséquences de la guerre, la ruine, le deuil et la captivité, sur un ton presque pacifiste ; c'est le cas d’Andromaque

réponse en exploitant des passages de l’œuvre. Le Misanthrope, Molière (1°ST2S) Comment définiriez-vous la « misanthropie » à partir de l’expérience d’Alceste ? Le mythe de Médée (1°L) Médée de Sénèque, de Corneille, d’Anouilh 1) Comment les auteurs représentent-ils le crime de Médée ? 2) Comment évolue l’image dramatique du personnage ? 3) Quelles questions pose ce dénouement en fonction des époques et des auteurs ? L’humanisme

tournoiements d'identité qui reflètent la complexité de l'individu et l'impossibilité d'échapper à son destin. Le groupement de textes qui nous est proposé, est composé d'un extrait de Les Choéphores (458 av. J.C) écrit par Eschyle, d'un extrait de Médée (49 – 62 ap. J.C) écrit par Sénèque, d'un extrait de La vie est un songe (1635) écrit par Pedro Calderón De La Barca et d'un extrait de Rouge noir et ignorant issu de Les Pièces de guerre (1985) écrit par Edward Bond. Nous pouvons alors nous demander

qualité. Si, à travers le temps, l'histoire de tel héros ou de telle héroïne s'est diversifiée, il /elle demeure dans l'imaginaire collectif un symbole. Le symbole de tel vice ou de telle vertu. Ainsi, Hélène / la beauté infidèle, 'Edipe / l'inceste, Médée / l'infanticide, Oreste / le matricide, Antigone / le devoir... Le personnage qui dit «Je» est ambivalent puisqu' apparemment c'est le héros /l'héroïne qui parle, tandis qu' en réalité c'est u n créateur ancré aussi bien dans son siècle que dans les