Mentana

où l’État italien se construit, et devient un État unifié. Ainsi, l’Italie existe en tant qu’État depuis 1861. En 1870, les Italiens envahissent Rome (avant une sorte d’îlot sur le sol italien), avec Garibaldi (journée d’Aspromonte et bataille de Mentana) qui devient la capitale (Cavour). Au début, l’Italie était un État anticlérical, antireligieux. La Question Romaine est une controverse politique relative au rôle de Rome, siège du pouvoir temporel du Pape. En effet, Pie IX était opposé au Risorgimento

de Chambord publie sa Lettre publique sur les ouvriers, réclamant pour eux, face aux trusts, le droit de s’organiser en corporations libres. 1867 (3 novembre) : Les Chemises rouges de Garibaldi attaquent les Etats de l’Eglise et sont vaincues à Mentana grâce aux troupes pontificales et aux soldats français. 1869 (20 novembre) : inauguration du canal de Suez (160 kilomètres de long sur 52 mètres de large) en présence de l’Impératrice Eugénie. 1870 (17-19 juillet) : dépêche d’Ems et déclaration

l’opposition catholique en France … ⇨ Deux ans plus tard c’est chose faite, mais en 1967, l’armée française doit revenir à Rome pour empêcher les chemises rouges de Garibaldi d’envahir Rome : c’est chose faite après la bataille de Mentana le 3 novembre 1867. Napoléon III est en fait devenu le dernier obstacle à l’unité italienne après en avoir été l’un des principaux artisans 2. L’encyclique « Quanta Cura » et le syllabus « De la Société moderne » ⇨

capture de Maximilien Ier par les partisans de Juárez. 19 juin : exécution de Maximilien par les Juaristes. 26 octobre : envoi d'un corps expéditionnaire pour soutenir les états pontificaux contre Garibaldi. 3 novembre : victoire française de Mentana (Italie) sur Garibaldi menaçant l'état pontifical. 2 décembre : Thiers proteste contre le soutien des armées françaises au pape. 1868 9 mars : loi rétablissant la liberté de la presse. 20 mars : dissolution de la section française de

l’idée de l’infaillibilité pontificale), il ne se sent plus. 1867 : des villes satellite de Rome entrent en insurrection. Garibaldi reprend la route pour libérer la ville de Rome. Mentana : le Pape est alors protégé par une division française dirigée par de Failly. 3 novembre 1867, les français attendent Garibaldi à Mentana. Problème : Garibaldi utilisait la force morale : effrayait les autres en les attaquant à l’arme blanche. Mais en face, ce sont les premiers fusils modernes, qui se chargent par

renoncer à Rome comme capitale était un moyen pour se libérer des français et pour avoir ensuite les mains libres. La capitale est donc transférée de Turin à Florence. En 67, Garibaldi lance une nouvelle expédition sur Rome mais subit une défaite à Mentana par les troupes qui n’avaient pas encore totalement évacuées la ville. Garibaldi est à nouveau arrêté et mis en résidence surveillée à Caprera. Pour pouvoir rentrer à Rome il faudra attendre que la France soit en guerre contre la Prusse et que Napoléon

austro-prussienne de l’Italie pouvait paraître étonnante à cause du contentieux qui existait entre l’Autriche et l’Italie. Mais Rome avait mal accepté la politique menée par la France en faveur du Pape après 1871 et sa participation à la victoire de Mentana (3 novembre 1867). D’autre part, les deux pays étaient en concurrence en Tunisie et les conflits qui opposaient dans le midi de la France les immigrés italiens à la population nationale ne favorisaient guère un rapprochement. L’Italie avait besoin

ardente et d’un amour profond qui en décuplaient la force. L’hiver se passa sans combats sérieux ; quelques faits d’armes, toujours glorieux pour les braves troupes pontificales, ne furent que le prélude nécessaire des deux grandes batailles de Mentana et de Monte Rotondo, qui couvrirent d’une gloire immortelle ces jeunes soldats héroïques et fidèles, toujours un contre dix. 493 Jacques avait plus d’une fois dû quitter Rome pour prendre part à des escarmouches, où il se fit toujours remarquer

Rome avec Mlle Primerose, Pélagie, le fidèle Rame et Azéma. L’hiver se passa sans combats sérieux ; quelques faits d’armes, toujours glorieux pour les braves troupes pontificales, ne furent que le prélude nécessaire des deux grandes batailles de Mentana et de Monte Rotondo, qui couvrirent d’une gloire immortelle ces jeunes soldats héroïques et fidèles, toujours un contre dix. Jacques avait plus d’une fois dû quitter Rome pour prendre part à des escarmouches, où il se fit toujours remarquer par une

competenţă. Faţa lui avea o expresie stranie, de neînţeles, putea da chiar şi impresia că zâmbeşte. Evident, fusese informat cât se poate de amănunţit despre tot ce se întâmplase, şi ordonă locotenentului Mentana, care era de serviciu la acea redută, să se îngrijească să fie ridicat cadavrul soldatului. Mentana era un ofiţer neînsemnat, cel mai vârstnic locotenent din Fortăreaţă; dacă nar fi purtat un inel cu un diamant foarte mare şi n-ar fi jucat atât de bine şah, probabil că nimeni n-ar fi remarcat existenţa