Merteuil Une Femme Libre Ou Libertine

de bonnes, et je crois que ces Lettres pourront concourir efficacement à ce but. On y trouvera aussi la preuve et l'exemple de deux vérités importantes qu'on pourrait croire méconnues, en voyant combien peu elles sont pratiquées : l'une, que toute femme qui consent à recevoir dans sa société un homme sans moeurs, finit par en devenir la victime ; l'autre, que toute mère est au moins imprudente, qui souffre qu'un autre qu'elle ait la confiance de sa fille. Les jeunes gens de l'un et de l'autre sexe

peut être simplement banal, sans qualités. En effet, certains romans ont pour héros (protagoniste) un être médiocre, qui ne fait rien de spécial, ou n'a aucune qualité admirable. C'est le cas d'Emma, dans le roman Madame Bovary de Flaubert. Cette femme n'a rien fait d'exceptionnel dans sa vie, et même sa mort est médiocre : Emma meurt au milieu de personnes qui ne paraissent attendre qu'une chose : la fin rapide de l'héroïne (je remplacerais par : l'épouse de Charles pour arriver à la notion d'anti-héroïne

quelques personnes de connaissance. Elle me répondit ingénument qu’elle y était envoyée par ses parents pour être religieuse. » et « C’était malgré elle qu’on l’envoyait au couvent » est un changement de discours (du discours indirect et indirect libre), le dialogue s’établit très facilement entre les deux que DG en perd sa timidité. 3. Manon est aussitôt identifiée comme l’objet de son amour « la tendresse infinie qu’elle m’inspirait déjà », le terme déjà montre d’emblée les sentiments

totalité ou d'une partie du texte à étudier, avant son exposé ou au cours de son exposé, au choix de l'examinateur. L'exposé est ordonné. Il prend constamment appui sur le texte proposé mais ne peut consister en un simple relevé. Il présente, de façon libre mais adaptée, les éléments d'une réponse organisée à la question posée. L'examinateur n'intervient que de façon très exceptionnelle : – pendant la durée de l'exposé, seulement si le propos du candidat tourne court ; – à la fn de cet exposé, s'il juge

première visite, où je compte bien la demander, qu’elle n’a cru nous en faire toutes les fois qu’elle est venue nous voir dans son in fiocchi. Maman m’a consultée sur tout, et elle me traite beaucoup moins en pensionnaire que par le passé. J’ai une femme de chambre à moi ; j’ai une chambre et un cabinet dont je dispose, et je t’écris à un secrétaire très-joli, dont on m’a remis la clef et où je peux renfermer tout ce que je veux. Maman m’a dit que je la verrais tous les jours à son lever ; qu’il suffisait

Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, 2. Ce beau matin d'été si doux : 3. Au détour d'un sentier une charogne infâme 4. Sur un lit semé de cailloux, 5. Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, 6. Brûlante et suant les poisons, 7. Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique 8. Son ventre plein d’exhalaisons. (…) 13. Et le ciel regardait la carcasse superbe 14. Comme une fleur s’épanouir. 15. La puanteur était si forte, que sur l’herbe

bien mieux que dans mes froids caveaux.Entends-tu retentir les refrains des dimanchesEt l'espoir qui gazouille en mon sein palpitant ?Les coudes sur la table et retroussant tes manches,Tu me glorifieras et tu seras content ;J'allumerai les yeux de ta femme ravie ;A ton fils je rendrai sa force et ses couleursEt serai pour ce frêle athlète de la vieL'huile qui raffermit les muscles des lutteurs.En toi je tomberai, végétale ambroisie,Grain précieux jeté par l'éternel Semeur,Pour que de notre amour naisse

XIXe au XXIe siècle Parcours associé : Les mémoires d’une âme Extrait – Alphonse de Lamartine, « Le lac », Les méditations poétiques, 1820 Ce poème fut inspiré à Lamartine par la liaison amoureuse qu’il eut en 1816-1817 avec Julie Charles, une femme mariée atteinte d’un mal incurable qui l’emporta en 1817. Lamartine revient seul revoir les lieux qu'il a visités autrefois avec elle. Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous

cour élégante ». On appelle esprit courtois et l’art de vivre propre à cette cours notamment les conventions telles que l’élégance, la civilité et le raffinement tant dans les comportements que dans l’expression des sentiments. De plus le rôle de la femme à la cours est beaucoup plus important et ces facteurs combinés vont amener à de nouvelle conception de l’amour et même à des doctrines amoureuses. C’est la naissance de l’amour courtois. On distingue ainsi le service d’amour qui est un sentiment noble

Paragraphes des Repères littéraires Aux origines de l’argumentation : la rhétorique PISTES D’EXPLOITATION Le tableau d’Anicet Gabriel Lemonnier, Le Salon de madame Geoffrin, peut être mis en relation avec la séquence intitulée « La question de la femme au XVIIIe siècle » (p. 349 ES/S et Techno / p. 351 L/ES/S). Une recherche sur les salons aux XVIIe et XVIIIe siècles peut être proposée aux élèves. Les genres évoqués dans ces pages trouvent leur écho dans les fiches « Outils d’analyse » consacrées