Merton Deviance

comparez les approches de Merton, Becker et Davis sur la déviance, en soulignant leurs principales similitudes et différences. Textes MERTON, Robert K., « Structure sociale, anomie et déviance », in Eléments de théorie et de méthode sociologique, (trad. de l’américain et adapté par Henri Mendras), Paris : Ed. Armand Colin, 1997, pp. 163-187. BECKER, Howard S., « Le double sens de “outsider” » suivi de « Types de déviance », in Outsiders, études de sociologie de la déviance (traduit de Outsiders

LE CONTROLE SOCIAL PEUT-IL SUPPRIMER LA DEVIANCE ? Selon H.Becker, né en 1928, sociologue américain de lʼécole de Chicago, “la déviance est créée par la société”. “Les groupes sociaux créent la déviance en instituant des normes dont la transgression constitue la déviance”. Dans notre société, il existe des normes qui peuvent être propres à une institution, ou bien, codifiées par une loi. Les comportements de délinquance, de déviance et de variance, sont trois comportements qui

déclaré le 14 février 2012 , en référence aux déclarations de Nicolas Sarkozy "Quand on parle de l'homoparentalité en présentant cela comme une déviance, je voudrais qu'on songe qu'il y a en France des centaines de milliers d'enfants, d'adolescents dont le père ou la mère est dans la situation d'avoir cette orientation sexuelle" Définition : La déviance est une transgression des normes sociales et juridiques en vigueur dans une société, plus ou moins tolérée, et qui implique des sanctions. .

F.1 STRUTURE SOCIALE 1. Le premier élément composant la structure sociale désigne les buts fixés par la société, ce qu’appelle Merton « les objectifs légitimes » ou bien « culturels ». On entend par-là les désirs suscités par la société proclamant des buts qui font appel à des valeurs moralement bien perçus par l’ensemble de la société et que l’individu a le devoir d’assimiler, à des fins donc sociétaires. Le deuxième élément faisant partie de la structure sociale et, en étroite relation avec

2004 - 1 - Merton : Dans quelle mesure peut-on considérer qu'une société est anomique ? - Crozier : Les sources de pouvoir sécrétées par l'organisation ? - Boudon : Peut-on considérer tout phénomène social comme un effet émergent ? - T1 : Peut-on se contenter d'une vision purement adaptative des comportements sociaux ? - T2 : La rationalité de l'acteur est-elle limitée ou générale ? - T3 : Comment relier comportements individuels et phénomènes collectifs ? 2004 - 2 - Merton : La distinction

le changement radical d’une société, pourtant, cette dernière continue quand même d’évoluer. Il existe tout d’abord le phénomène de la déviance, qui entraine parfois une révision du contrôle formel, voir même informel. Puis, nous verrons que le contrôle social apparaît comme un processus pouvant être flexible. A/ La déviance existe toujours. - La déviance peut être définit à l’aide de trois éléments : l’existence d’une norme, un comportement de transgression de cette norme, et un processus

CONTROLE SOCIAL ET DEVIANCE I. Le contrôle social A. Définition Le contrôle social : c'est l'ensemble des sanctions formelles (énoncées dans les lois) et informelles (la pression du groupe), négatives et positives, qui visent à assurer la conformité des conduites sociales afin de préserver la cohésion entre les différents membres de la société et de maintenir les règles communes. Mode de conformité : - par complaisance : soumission aux normes par peur de désagréments (peur) - par

Chapitre 4 : Contrôle social, normes et déviance mardi 2 décembre 2008, par Anne Revillard Résumé : Contrôle social, normes sociales et déviance sont trois concepts étroitement liés en sociologie. Les normes sociales peuvent être généralement définies comme les principes et modèles de conduites acceptés et valorisés dans une société ou un groupe social donné ; le contrôle social désigne les dispositifs permettant d’assurer le respect des normes sociales ; la déviance, enfin, correspond à la transgression

théories criminologiques américaines et notamment la prédominance de la théorie de l’anomie de Merton (1932). Plusieurs auteurs, dont Cohen et ses sous-cultures délinquantes en 1955, vont contribuer à la poursuite et au développement de la théorie de Merton. Cloward & Ohlin vont en 1960, développer leur théorie des opportunités différentielles toujours en se basant sur la théorie de l’anomie de Merton. Leurs travaux vont favoriser l’adoption d’un programme de prévention de la délinquance « Mobilisation

rend vraiment humain, plus noble. En me soumettant à la contrainte sociale, j’accepte des règles morales et spirituelles supérieures à moi. Pour Durkheim, la socialisation contraint mais humanise aussi. B. Idée de la frustration relative de Merton Il va montrer que des individus socialisés peuvent être déviant. Il s'intéresse au concept d'anomie de Durkheim, mais il va le reprendre en le transformant. Chez Durkheim ce concept est lié au désir infini. Désir illimité qui crée une frustration