Mesure produit

1.2) Que produit-on et comment le mesure-t-on ? (Notions : production marchande et non marchande, valeur ajouté) « Pourquoi produire ? » Pour commencer produire c’est exploiter la nature pour créer un produit pour satisfaire un besoin humain. Il y a des limites à se que la nature peut produire donc il n’y aurait surement pas assez de ressources pour satisfaire tous nos besoins, de plus nos besoins sont trop pointu pour être satisfait par la nature. Plus précisément produire c’est même transformer

Que produit-on et comment le mesure t-on ? La science économique se préoccupe de la production, de la consommation et des échanges de biens et de services rares. 1. Que produit-on ? A) La production a. Quelques définitions • Produire signifie en économie fabriquer, créer des biens ou des services. Les agents économiques qui produisent sont donc en priorité les entreprises (L’Oréal fabrique des produits cosmétiques), mais cela peut être aussi une administration (la police produit

QUE PRODUIT­ON ET COMMENT MESURE T­ON LA RICHESSE? I) Que produit­on ?  A) Qu’est ce que la production ?  production  rémunérés : facteurs de P= W et K les activités illégales les activités non déclarées le travail domestiques ne sont considérées comme de la production  B) Biens et services cette Production crée : ­des biens et services de consommation utilisés par les ménages ­des b et s de p utilisés par les E à savoir des CI et K fixe Bien= produit matériel (table) Service=produit immatériel (transport)

droite achev´ee Applications mesurables Espaces produits Subdivisions et fonctions ´etag´ees Mesures L’int´egrale de fonctions positives Le th´eor`eme de convergence montone de Beppo-Levi L’int´egrale de fonctions r´eelles ou complexes Le th´eor`eme de convergence domin´ee de Lebesgue Unicit´e de mesures La mesure produit Le th´eor`eme de Fubini Int´egrales multiples ´ Evaluation, mesures de comptage et s´eries Existence de mesures Mesures sur R et la mesure de Lebesgue sur Rd L’int´egrale de Riemann

. . . . . . . 14 3 Mesures et int¶egration 16 3.1 Mesures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 3.2 Int¶egration des fonctions positives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 4 Th¶eorµemes de convergence et fonctions int¶egrables 26 4.1 Th¶eorµemes de convergence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 4.2 Fonctions Int¶egrables et ensembles de mesure nulle . . . . . . . . . . . . . . 31 5 La mesure de Lebesgue sur R 36

de Windsor (1599), Comme il vous plaira (1599), la Nuit des rois (1600-1601). Dès 1600, les tragédies sombres alternent avec quelques comédies : Hamlet (1600), Troïlus et Cressida (1601), Tout est bien qui finit bien (1602), Othello (1604), Mesure pour mesure (1604), Macbeth (1605), le Roi Lear (1606), Antoine et Cléopâtre (1606), Coriolan (1607), Timon d’Athènes (1607). L’approche de la vieillesse apporte à Shakespeare tolérance et apaisement : Périclès (1608), Cymbeline (1609), le Conte d’hiver

catégories : les tragédies : Hamlet, Othello, Le Roi Lear Les comédies : La Mégère apprivoisée, Le Marchand de Venise, Comme il vous plaira Les tragi-comédies : Tout est bien qui finit bien, Mesure pour mesure Les pièces historiques : Richard II, Richard III, Henry VIII Les pièces « historiques » le sont dans la mesure où leur intrigue est basée, plus ou moins fidèlement, sur les événements tels que les rapportaient les chroniques de l'époque de W. Shakespeare. Ces pièces mettent en scène, de façon discontinue

d'Athènes (Timon of Athens) . Comédies : Tout est bien qui finit bien (All's Well that Ends Well), Comme il vous plaira (As You Like It), Le Songe d'une nuit d'été (A Midsummer Night's Dream), Beaucoup de bruit pour rien (Much Ado About Nothing), Mesure pour mesure (Measure for Measure) , La Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew), La Nuit des rois (Twelfth Night), Le Marchand de Venise (The Merchant of Venice) , Les Joyeuses Commères de Windsor (The Merry Wives of Windsor), Peines d'amour perdues

droit », mais celui-ci n'existe pas, sinon « nous ne prendrions pas pour règle de justice de suivre les mœurs de son pays » (frag. 79). Par ailleurs, « Summum jus, summum injuria » (frag. 78 : « Le droit extrême est une extrême injustice » cf. Mesure pour mesure, Shakespeare). « Ne pouvant [donc] faire qu'il soit forcé d'obéir à la justice, on a fait qu'il soit juste d'obéir à la force » (frag. 76). Ce qui est vrai de la justice l'est de la coutume: moralement, elle n'est pas plus justifiable que la

trente-sept œuvres dramatiques entre les années 1580 et 1613. Mais la chronologie exacte de ses pièces est encore sujette à discussion. Cependant, le volume de ses créations n'apparaît pas comme exceptionnel en regard des critères de l’époque. On mesure l’influence de Shakespeare sur la culture anglo-saxonne en observant les nombreuses références qui lui sont faites, que ce soit à travers des citations, des titres d’œuvres ou les innombrables adaptations de ses travaux. L'anglais est également surnommé