Métaphysique

entendre ce que la conscience peut imaginer mais sans parvenir à une connaissance certaine. C’est par exemple le cas des questions métaphysiques. La métaphysique, c’est ce qui vient après la physique, c’est-à-dire ce qui dépasse le monde physique et la connaissance qu’on peut en avoir. Par exemple, la question de l’origine et la destination de l’Univers est une question métaphysique. L’existence d’une âme, de Dieu. Le problème de la mort et de sa signification. La première manière d’y répondre est la réponse

de ce qui est propre à un sujet, il est aisé de passer ensuite à une question constitutive du sujet : par quoi ou pour qui le propre est-il dit propre ? En résumé, le sujet est une réalité tout à la fois métaphysique, existentielle, morale et politique. Mais son sens fondamental est métaphysique. En tant que tel, le sujet est la notion fondatrice de l'humanisme, de la modernité et de l'ensemble des valeurs occidentales. Nous verrons pourquoi, sans sujet, il n'y a - entre autres exemples, ni science

nihilo tandis que la science, elle, conçoit l'origine du monde via un processus scientifique clair et précis, dénué de toute conception métaphysique : la théorie du Big Bang. Définir Dieu pose problème dans la mesure où étant impalpable et invisible pour l'œil humain, nous devons nous contenter d'étoffer sa définition par une série d'attributs, qu'ils soient métaphysiques : l'omnipotence et l'omniscience, ou moraux : amour, souveraineté, bonté et suprême justice. Néanmoins, admettre Son existence suppose

A travers l'étude de grands textes classiques de Descartes a Heidegger, nous nous interrogerons sur le statut du sujet. Posté comme vérité première de la métaphysique chez Descartes, le sujet sera néanmoins contesté comme illusion (Hume, Kant), ou même comme superstition (Nietzche), avant d'etre réintroduit comme condition transcendantale de la connaissance ou de la constitution du monde qui s'accomplit dans l'histoire (Hegel). La question du statut du sujet nous donnera donc l'occasion de comprendre

organisateur. L'écriture de la différance se réfère à elle-même car elle rompt avec le signifié et le référent. L'accentuation du thème de l'écriture fonctionne comme un antidote contre l'idéalisme, la métaphysique, l'ontologie. Le logocentrisme ou phonocentrisme, en tant que fondement de la métaphysique occidentale, implique, à en croire Derrida, la domination du langage parlé : de la parole ou de la phoné qui est censée garantir la présence du sens. Car les principaux discours philosophiques de Platon

sortes de mal : Le mal métaphysique : il concerne la constitution du monde, l’arrangement des choseset des événements dans le monde. En l’occurrence, il s’agit de l’imperfection du monde. Le mal moral : il qualifie l’action des hommes, et plus particulièrement, l’action non conforme à ce qu’il est"bien " de faire (= action non conforme à la "loi morale "). Péché, crime. Le mal physique : qualifie les sentiments des hommes, face à la fois au mal moral et au mal métaphysique : souffrance,tristesse

donner lieu à aucune ambiguïté. Elle peut risquer de devenir une spéculation métaphysique sur l'essence du monde, le « fond du réel ». Elle peut encore être lue de manière douteuse par d'autres, comme on a pu le voir au cours de l'histoire pour le concept de sélection naturelle. Mais le danger ne vient-il que de l'extérieur ? De ceux qui s'opposent à la vérité scientifique à ceux qui la transforment en vérité métaphysique ou anthropologique ? N'y-a-t-il pas des écueils à éviter pour le scientifique

(a expliquer) après lui. Jaspers rejette toute ontologie dans le domaine de la démonstration de l'existence, mais il pratique aussi une métaphysique et emploie une méthode assez libre." grande méfiance à l'égard de la philosophie, si philosophie est synonyme su pouvoir du'aurait l'esprit de s'autodéterminer comme sujet-object Moi= moi métaphysique, ou encore fondement. exprime une grande méfiance à l'égard de la philosophie, si philosophie est synonyme du pouvoir qu'aurait l'esprit de s'autodéterminer

n’est plus sensible qu’à l’invraisemblable, qu’à l’étrange. La « rupture insurmontable » entre le héros et le monde prend ici une dimension psychologique sinon métaphysique. Avec ces exemples tirés de l’œuvre de Sartre et de Camus, on a donc représentée l’idée d’un personnage en « rupture » avec le monde, rupture psychologique voire métaphysique. Le roman est donc historiquement le genre de l’individualité par opposition avec l’épopée ou le conte. Le personnage de roman est un personnage qui n’hésite

= recherche de la vérité Mais frustrant de ne pas trouver la cause première f. La métaphysique De méta = au-delà et physis = nature : recherche de l’absolu, des principes premiers des choses Aristote (-IV) : physicien et métaphysicien Leibniz (XVIII) : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? » H. Reeves (XX) : « Pourquoi ce quelque chose s’est-il organisé plutôt que de ne pas s’organiser ? » Métaphysique basée sur la philosophie, mais pas forcément réciproque (Philosophie peut concerner