Métapsychologie

(1905), Gallimard 1985. La technique psychanalytique (1904-1918), PUF 1992. Cinq psychanalyses (1905-1918), PUF 1984. Totem et tabou (1912), Payot, 1989. Métapsychologie (1915), Gallimard 1985. Au-delà du principe de plaisir (1920) Psychologie des foules et analyse du moi (1921) Le Moi et le Ça (1923) Inhibition, symptôme

ayant pour rôle d'interpréter les paroles de ses patientes afin d'identifier les désirs inconscient et de leur permettre de le(s) exprimer donc invention de la Psychanalyse. Freud devra justifier son hypothèse. P78-79-80-81 Texte 10 → Freud, Métapsychologie Freud répond à ses détracteurs, c'est-à-dire à toutes les critiques qui nient la valeur de l'hypothèse de l'inconscient. Et en particulier les critiques les plus aboutit qui voit dans l'hypothèse Freudienne, une hypothèse sans valeur scientifique

la sexualité (1905), Gallimard, 1985. Le mot d’esprit et ses rapports avec l’inconscient (1905), Gallimard 1985. La technique psychanalytique (1904-1918), PUF 1992. Cinq psychanalyses (1905-1918), PUF 1984. Totem et tabou (1912), Payot, 1989. Métapsychologie (1915), Gallimard 1985. Au-delà du principe de plaisir (1920) Psychologie des foules et analyse du moi (1921) Le Moi et le Ça (1923)1 Inhibition, symptôme, angoisse (1926), PUF 1986. Malaise dans la civilisation (1929), PUF 1992. 1.2 L’ouvrage

savants. On reconnaîtra dans une image où nous mènera l’autre versant de ce travail, la figure de l’arlequin.   Après avoir en effet mis en valeur l’acquis phénoménologique du freudisme, nous en venons maintenant à la critique de sa métapsychologie. Elle commence très précisément à l’introduction de la notion de libido. La psychologie freudienne poussant en effet son induction avec une audace proche de la témérité, prétend remonter de la relation interhumaine, telle qu’elle l’isole déterminée

L'Energie spirituelle, 1919. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 169 Citation 172 « L'hypothèse de l'inconscient est nécessaire [...], parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires. » Freud, Métapsychologie, 1952 (posth.) http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 172 Citation 173 « Il existe deux variétés d'inconscient : les faits psychiques latents, mais susceptibles de devenir conscients, et les faits psychiques refoulés

Dans les récents travaux de Freud, cette notion ne figure d'ailleurs qu'à titre de vestige d'une phase dépassée de la psychanalyse, et il n'y a en fait plus de place pour elle dans le système psychanalytique, surtout depuis l'élaboration de la métapsychologie. Le plus logique aurait été de reléguer dans un tiroir ce vestige des temps anciens, devenu désormais inutile, et d'abandonner la terminologie affectionnée par la plupart des analystes au profit d'une meilleure compréhension. A la place, on

et quand je promène mon chien je vais pas de ce coté là … Il y en a encore pour longtemps? A. On va s’arrêter là. B. Oui ah je suis fatigué. Bibliographie : Freud S., (1923). Le moi et le ça. Paris. Payot et rivage. Freud S. (1915). Métapsychologie. Folio essais. Le Gouès, (2000). L’âge et le principe de plaisir, Paris, Dunod. Messy J. (1992). La personne âgée n’existe pas : une approche psychanalytique de la vieillesse. Payot & Rivages. Moukouta C. (2010). Vieillissement et migration

|Br(ch.19 à 21) | | |Le rêve et son interprétation |Fo | | | |Métapsychologie, 1915 |Fo | | | |Au-delà du principe de plaisir, 1920 | |

l'inconscient, qui illustre la particularité de sa psychanalyse. Cette instance est à la fois psychique et distincte de la conscience, ayant ses propres lois de fonctionnement et d'action. La psychanalyse freudienne peut se définir comme une métapsychologie, la psychologie au-delà de la conscience. Pour la première fois la conscience n'est pas ce qui défini le psychisme. Freud construit deux topiques, la première est constituée de la conscience, du préconscient et de l'inconscient et la deuxième

philosophique de Jung qui y voit tour à tour l’autoreprésentation de l'énergie psychique ou des archétypes est ici moins importante que la découverte elle-même ; le platonisme psychologique de Jung ne doit pas plus nous embarrasser que la métapsychologie freudienne. L'essentiel est que, dans la thérapeutique jungienne — qui sans cloute s'adresse à un autre type d'individus que la thérapeutique freudienne —, le symbole fournisse des thèmes de méditation capables de jalonner et de guider le « devenir