Méthanisation

où l’on peut développer cette énergie. Enfin, selon le SchémaDirecteur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) on recense un gisement total de 33 MW pour une production estimée à 98GWh. f) Autres sources potentielles d’enr pour l’île La méthanisation : ex : méthaniseur de la distillerie de Bonne-Mère qui produit de la vapeur (mais pas d’élecricité aujourd’hui : il suffirait de rajouter une génératrice) ou les études poursuivies par le lycée agricole sur un projet pilote. Le principe est simple :

valorisation : i) matière vers des unités transformatrices (plasturgie, papeterie, métallurgie,,…) ; ii) biologique (fabrication de compost à partir des déchets organiques) ; iii) « énergie » (incinération en cimenterie et production de chaleur, méthanisation). 8.1 Les déchets de bureaux des entreprises et des administrations (concernés par l’analyse test) Les déchets de bureaux, dont la plupart présente un important potentiel de recyclage et font partie, dans les pays du Nord, des filières de responsabilité

l'essence dans les moteurs à explosion. Le méthane d’origine biologique, dit plus généralement carburant biogaz, est produit par la fermentation de matières organiques animales ou végétales en l’absence d’oxygène. Cette fermentation est aussi appelée méthanisation. Elle se produit naturellement, ou spontanément dans les décharges contenant des déchets organiques. On peut aussi la provoquer artificiellement dans des digesteurs. C/ Où les cultive-t-on ? Les deux plus grands producteurs de bioéthanol

biomasse consommant des granulés de bois, bûches, plaquettes forestières, sciures ou coupeaux. Mélange de méthane et de gaz carbonique additionné de quelques autres composants, le biogaz est un gaz combustible, formé suite à la décomposition ou méthanisation des matières organiques. Il sert à la production de chaleur, d’électricité ou de biocarburant. Les biocarburants, parfois appelés agrocarburants, sont issus de la biomasse. Il existe principalement deux filières industrielles : l’éthanol et le

nucléaire avec l’immense projet ITER à Cadarache, en France, mais ils ont déjà mis au point des énergies plus écologiques que les éoliennes comme l’hydroélectricité, le solaire photovoltaïque, le solaire thermique, le bois énergie, la bio méthanisation, les biocarburants, la géothermie et les pompes à chaleur. Dès lors, refusons ces nouveaux projets inutiles, polluants, coûteux et nuisibles pour les riverains. Mais nous ne devons pas compter que sur les chercheurs pour ralentir le

incinérés. Sinon, les sous-produits animaux peuvent également être directement incinérés sans transformation préalable en farines animales ou être utilisés comme support énergétique grâce à un procédé relativement nouveau, la biofermentation ou méthanisation. Les sous-produits animaux sont les « matières crues » d’origine animale prises en charge par les industriels sur leur lieu de production : en abattoirs ou ateliers de découpe, les parties de l’animal non consommées par l’homme, dans les exploitations

d'énergie. Dans le cas des végétaux, elle est une forme de stockage de l’énergie solaire : les matières organiques sont issues du CO2 capté lors de la photosynthèse. La biomasse peut être utilisée soit directement (bois énergie), soit après une méthanisation de la matière organique (biogaz) ou de nouvelles transformations chimiques (biocarburant). Toutefois, ce processus de stockage d'énergie est long, de l’ordre de plusieurs mois, et d'un rendement faible. En effet, seul 1% des rayonnements solaires

l'eau pour faire tourner des turbines qui produisent de l'électricité dans les barrages etc. d. Biomasse : On utilise les matières organiques végétales ou animales pour produire de la chaleur e. Déchets : Par la méthanisation , les déchets ménager sont transformé en biogaz f. Geothermie : On utilise la chaleur et la pression du coeur de la terre pour en tirer la vapeur, ou l'eau, ou la chaleur , qui aideront a faire de l'electricité et du chauffage

% de l’électricité biomasse en 2012) a augmenté de 7,9 % par an en moyenne. La croissance de l’électricité biogaz a été beaucoup plus importante (+13,4 % par an en moyenne) en raison du développement de la méthanisation comme moyen de traitement des déchets, mais également de la méthanisation de cultures énergétiques (le maïs en Allemagne par exemple). La valorisation électrique des déchets ménagers organiques dans des centrales d’incinération est également en croissance sur la période (+4,3 % par

entretenu pourrait être amorcé par la fonte du pergélisol avec évaporation d'hydrates de méthane, s'ajoutant à celui qui pourrait aussi être libéré en mer, ainsi que par l'augmentation des incendies de forêts et d'inondations se traduisant par la méthanisation de matière organique immergée, qui sont autant de facteur de réchauffement. Les scientifiques prévoient une augmentation de 1,5 °C à 6 °C pour le siècle à venir en supposant que l'augmentation des rejets de GES continue au rythme des 20 dernières