Metternich

royaume de Piémont-Sardaigne retrouve Nice et la Sardaigne, acquiert Gênes et la Ligurie. _La question allemande est résolue par la création de la Confédération germanique (conglomérat de 39 États), solution mise au point par Metternich, et dont le but est "le maintien de la sûreté extérieure et intérieure de l'Allemagne, de l'indépendance et de l'inviolabilité des États fédérés." L'empereur d'Autriche est président de droit de la Confédération, mais ne dispose que d'une voix,

entre Tchèques et Autrichiens de langue allemande. Dès le mois de juin se réunit à Prague un congrès panslave en vue d'émanciper tous les Slaves de l'empire, des Tchèques aux Croates). À Vienne, les libéraux s'insurgent le 15 mars et le prince de Metternich, chancelier d'Autriche, est obligé de s'enfuir. Il ne reviendra plus jamais aux affaires. L'empereur Ferdinand 1er s'incline et sans attendre concède aux insurgés la liberté de la presse, la formation d'une garde nationale bourgeoise et même, le

durable par une concertation permanente entre la quadruple alliance (Prusse, Russie, Grande-Bretagne et Autrich-Hongrie) et d’agir ensemble contre tout ceux qui menaceraient cette paix.Finalement, le congrès de Vienne, dont les idées sont imposées par Metternich, redessine la carte de

façon dont Zola se documente, ce qu’il nous précise dans sa lettre, (annexe 3) afin de traduire la richesse du réel. C’est « l’ illusion référentielle », l’effet de réel. L’inventaire des noms du Tout-Paris est à peine transposé : « La princesse de Metternich » devient « la duchesse de Sternich », la « Comtesse Waleska et ses poneys pie » devient « la comtesse Wanska » « Hussein Pacha » devient « Selim Pacha avec son fez ». Communiquer des sensations : nous faire voir, nous faire entendre. Les moyens

08/03/01821, il rend public une condamnation qui est considérée comme la déclaration de guerre d’indépendance grecque. Mais les populations balkaniques ne répondent pas à l’appel. Ypsilanti est battu par l’empire Ottoman, il se refugie en Autrice où Metternich le fait emprisonner. Cependant, pendant les périodes 1821/1824 et malgré le premières défaites grecques, la révolution se propage en Grèce du sud et dans les iles. Paradoxalement, la défaite de l’insurrection d’Ypsilanti profite aux autres insurgés

est dominé par quatre grandes puissances victorieuses, les quatre grandes monarchies qui ont vaincus Napoléon ainsi que la France de Louis XVIII. a) Les 4 grandes puissances victorieuses : Les 3 puissances continentales : Autriche (pays hôte) : Metternich, chef du gouvernement et ministre des affaires étrangères La Prusse (capitale : Berlin) La Russie (St Pétersbourg) La grande puissance maritime victorieuse : La Grande-Bretagne : Castlereagh, Premier ministre et ministre des affaires étrangères

remettrait en cause l’antilibéralisme. C’est un projet réactionnaire au sens étymologique du terme, clairement dirigé contre le mouvement libéral et national. Dans ce congrès, quelques hommes dominent : Le ministre des affaires étrangères d’Autriche, Metternich Le Tsar de Russie, et son ministre des affaires étrangères, Nesselrod Toutes les dynasties renversées par la révolution de Napoléon sont remises sur le trône. C’est surtout vrai pour les dynasties des bourbons (en France, à Naples et en Espagne)

en question…. Louis XVIII était loin de faire l’unanimité parmi les grandes puissances européennes de l'époque et en particulier l'Autriche qui n'avait pas pleinement confiance en ses capacités.  "Le chancelier autrichien Metternich, homme fort du Congrès de Vienne, qualifiait ainsi les Bourbons de  "race éteinte et sans sujet" rappeler Talleyrand La période des Cent Jours arrivant très tôt, Louis XVI est rapidement soumis à des obstacles majeurs pour installer

ministère de Polignac (1829 ) se veut encore plus autoritaire. · A l’échelle européenne les idées réactionnaires se traduisent notamment par · la réaffirmation des privilèges et du servage en Autriche, Russie et Prusse· le contrôle demander par Metternich des universités et de la presse dans les confédérations germaniques· en Espagne volonté populaire de garder une constitution, celle de Cadix, mais Ferdinand VIII ne la reconnait pas ce qui créer une grande période de tensions contre les « afrancesasdos »

l'Autriche et la Russie qui voulait donner un nouveau lustre à l'ordre international et en réformer le fondement. Metternich, en interprétant les exigences de la Sainte-Alliance et en gérant le système international, y joua un rôle décisif. Il mena une politique subtile dont le succès avait permis à l'Autriche d'enrôler les intérêts conservateurs au service du traité de Vienne. Le départ de Metternich en 1848 entraîna près de vingt années de conflits qui donnèrent naissance à un nouvel équilibre des forces