Meursault Personnage Absurde

camusienne: l'absurde. Meursault, étant le personnage principal, nous raconte au fil de ce roman les épisodes successifs qui les ont conduit à sa mise à mort. Camus créé un personnage étranger à la vie, au monde qui l'entoure. Un personnage qui cherche à fuir le malheur en étant indifférant à l'amour, à la mort, etc. Nous pouvons alors nous demander comment Camus dans son roman justifie son titre L'Étranger. Nous verrons donc dans un premier temps de quelles manières Meursault est étranger à lui-même

contraste avec le fond vert peu éclairé qui l'entoure. Nous distinguons des lignes de forces autour du personnage ; elles forment un triangle qui pourrait représenter la lumière qui éclaire l'individu, ce dernier étant situé au centre de l'image. Les lignes sont en diagonale et attirent l'attention sur le personnage. Cette représentation a un lien particulier avec L'Etranger : le personnage est étrange, seul et vit dans son propre monde, dans sa « cage » tout comme l'homme sur la photographie

le perso principal, Meursault ; passé composé ; pas de réponse claire sur la psychologie du personnage ; refus du pathétique ; pas d'intrigue véritable ; roman du quotidien. Roman aux multiples interprétations : critique de la justice, de la peine de mort ; Algérie française divisée en deux communautés ; roman raciste ou au contraire, antiraciste ; sensualité de l'Algérie ; thèse de l'absurde qui rejoint la conception de Jean-Paul Sartre dans « La Nausée ». I/ Meursault, un homme insensible

l’exaltation de la vie, la passion de l’homme absurde. Ce dernier n’abdique pas, il se révolte. Une réponse, la révolte : Oui, il faut maintenir l’absurde, ne pas tenter de le résoudre, car l’absurde génère une puissance qui se réalise dans la révolte. L’homme absurde habite une monde dans lequel il doit accepter que « tout l’être s’emploie à ne rien achever », mais ce monde dont il est le maître. Et à Camus, qui fait de Sisyphe le héros absurde, d’écrire : « Il faut imaginer Sisyphe heureux

Une scène étrange Discours direct Meursault ; discours rapportés l. 12 et 16→ décalage entre la question et la réponse +l. 29-32 → pas réelle Marie : 2 paroles : l.6, 40-41 → son étonnement ; verbes introducteurs traditionnels : répondre, dire ; aucune expression dans la façon dont les personnages réagissent, parlent… l.9-10 ; l.38-39 : discours indirect libre ; l.26→ récit de paroles Dialogue essentiel, raconté de façon neutre, introduit par des termes plats, structure de phrases courtes,

livre d’Albert Camus publié en 1942. Dans cette œuvre, Camus donne la parole à un personnage solitaire appelé Meursault. Dans ce passage, après s’être rendu compte de l’absurdité de la vie, Meursault, apparaît comme soulagé. C’est la situation finale de ce livre. Nous pouvons donc nous interroger : Comment Meursault attend t-il sa mort ? Tout d’abord laissez-moi-vous lire ce passage Dans cette situation finale, Meursault vie ses derniers instants. Il y a une omniprésence du pronom personnel « je »

reprise des événements de la 1ère partie (par exemple: l'épisode du témoignage du procès nous fait retrouver tout les amies de Meursault). De même le roman est parcouru par le thème du malentendu. B- Une écriture déstabilisante exprimant l'absurde Le récit a un ton neutre et sec qui n'explique rien. Camus ne se justifie pas où ne condamne pas l'acte de Meursault, mais se borne à décrire son comportement et à relever ces paroles. Cependant le lyrisme et la poésie trouvent une place dans

nous décrit le personnage de Meursault comme une âme perdue, un homme vide et dénué d’empathie au point que le lecteur fini par lui-même ressentir de l’empathie pour ce personnage qui jette sur le monde un regard sans pitié voir inhumain, même sur sa défunte mère. Mais d’une certaine manière Meursault est un personnage intéressant par sa vision sans artifice de notre monde, son honnêteté, sa modestie et son courage. On comprend dès le début du roman que Meursault est un personnage étrange ce qui

Le personnage de Meursault Le roman d'Albert Camus, "L'étranger" est absurde et effronté. Cela devient apparent dans les premières lignes de l'histoire où Meursault ne connaît pas exactement quand sa mère est morte. Evidemment, après avoir lu ce livre et regardé en arrière, c'est facile et peut-être même agréable d’appeler un perdant cet homme irrégulier et étrange. L'acte simple de sauter à une conclusion, sans éducation, au sujet de cet homme mystérieux qui est Meursault, est vraiment pas

ce que promet le titre. Ce roman est étrange. Le personnage principal Mersault, l'est tout autant et on ne parvient jamais à le comprendre. Le titre « L’étranger » nous informait de ce à quoi on devait s’attendre mais pas comment cette attente allait se concrétiser, et c’est ce qui nous plait. Dès les premières lignes: " Aujourd'hui maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. ", on est plongé dans l'esprit de cet homme, Meursault, qui " passe son existence " comme s'il était un