Meurtre

interdit de lire et d’écrire chez elle, sous prétexte qu’elle doit commencer à lire avec un esprit neuf et que son père lui enseigne mal. Par contre, à la fin du récit, elle a vécu tellement de choses (cette rentrée à l’école, le procès, la tentative de meurtre, ...) et rencontré tellement de gens (Dill, Boo Radley, Mrs Dubose, ...), qu’on constate qu’elle est devenue plus réaliste, plus distinguée et encore plus mature, à l’instar de son frère, Jem, qui lui est clairement passé de l’enfance à l’adolescence

périple, Bardamu est animé par la lâcheté : il déserte de la guerre, il fuit ses responsabilités aux colonies, il quitte son emploi chez Ford, il réclame de l'argent à ses connaissances établies aux États-Unis, il feint d'ignorer la tentative de meurtre de la mère Henrouille... Bien souvent, Bardamu se contente du rôle de spectateur. A l'inverse du héros, il ne prend pas position pour défendre une cause ou ne met pas tout en œuvre pour sauver des vies : Lorsque Robinson lui fait part de

détourner mon destin. On ne lutte pas contre le destin. Je n'ai donc rien à me reprocher. Et alors pourquoi cette culpabilité qui m'envahit soudain ? Est ce là encore Votre oeuvre, mon Dieu ? Je suis condamné à vivre honteux dans le souvenir d'un meurtre que je n'ai pas commis, ou à retenter ce qui jusqu'alors semblait irréalisable. En effet, il reste le théâtre. Et si tout recommençait ? Reproduirais-je les mêmes gestes, éprouverais je le même désarroi au moment où, apercevant les enfants, je reposerais

sommeil du porc tiendra gisant, comme une mort, leur être submergé, que ne pourrons-nous, vous et moi, exécuter sur Duncan sans défense ? Que ne pourrons- nous imputer à ses officiers, placés là, comme des éponges pour absorber le crime de ce grand meurtre ? MACBETH. — Ne mets au monde que des enfants mâles ! car ta nature intrépide ne doit former que des hommes... Ne sera-t-il pas admis par tous, quand nous aurons marqué de sang ses deux chambellans endormis et employé leurs propres poignards, que

à quelqu'un, cela ne fait qu'instaurer la peur. La notion du bien et du mal n'est pas enseignée. Le criminel n'apprend donc pas ce qu'il a fait de mal, il apprend plutôt que son geste est suivi de conséquences. Par exemple, un homme qui commet un meurtre est emprisonné pour plusieurs années, puis est libéré. Or, malgré son châtiment, il ne sait toujours pas comment se comporter en société et les problèmes persistent. Ainsi, le châtiment n'est pas nécessaire à la justice, car il n'apporte rien de concret

jusqu'au désintérêt de sa propre personne et paradoxalement de sa femme. Zola ne donne jamais son prénom. Séverine Séverine Roubaud, née Aubry : Elle est la femme de Roubaud. Victime de Grandmorin dans sa jeunesse, elle devient  complice du meurtre de ce dernier perpétré par son mari. Ne supportant plus son mari et rêvant de vivre heureuse avec son amant Jacques Lantier, elle décide de faire éliminer Roubaud par Lantier un soir. Ce qui causera sa perte, ce même soir: elle finira assassinée avec

propres à tous les êtres humains, il n’en est pas de même pour Jean-Baptiste Grenouille. Ce dernier ne possède aucun remord, aucune pitié. En effet, il est capable de tuer sans avoir un seul sentiment pour ses victimes. Ainsi, lors de son premier meurtre, Grenouille non seulement étrangle sa victime avec une sérénité incroyable, mais encore après avoir capturé mentalement l’odeur de cette femme, n’éprouve guère de remords. Cet être ne possède donc aucun sentiment, et ne croit ni en dieu, ni en certaines

seul aspect de ce texte. Une certaine psychologie des personnages est faite au travers d'interprétation que le lecteur fait plus ou moins inconsciemment et qui lui permet d'en savoir plus sur les personnages. Ce livre nous parle d'une histoire de meurtre, dans la quelle le meurtrier traque ses victime et les abat pour ce divertir. Cependant dans cet extrait c'est au contraire un de habitant du village, Frédéric qui va suivre le meurtrier jusqu'à sa maison. Le prédateur est devenue la proie. On peut

sur l’énigme de son identité. Une action inconsciente révèle qu’il est possible que la narratrice-survivante soit Do. Au fur et à mesure que la narratrice poursuit son questionnement, elle découvre que l'incendie n'a pas été un accident, mais un meurtre avec préméditation: Jeanne et Do voulaient tuer Mi et la supplanter plus tard. Le discours de Jeanne et des autres personnages ajoutent des indices dont la plupart sont contradictoires. À la fin il y aura deux interprétations des événements passés

rendre à la SICAMINE, Louis fait appelle au service d’un guide. Ce guide était autrefois le guide de Max Böhm, lorsque celui-ci était ingénieur à la SICAMINE. Alors que l’expédition de louis fait étape à Zorro, ce dernier apprend que il y a eu un meurtre semblables a celui de Rajko dans la région et qu’on a aussi voler le cœur de cette nouvelle victime. Louis pour en avoir le cœur net décide de pratiquer une autopsie sur le corps de cette victime à l’aide de la sœur Pascale, la directrice du dispensaire