Michel Serrault

C’est celui qui incarne la tromperie, la farce. C’est l’homme au belesprit et aux belles paroles. Séance 1 : étude de l'acte I Support : Le Bourgeois gentilhomme de Molière et adaptation cinématographique de la pièce de Pierre Badel avec Michel Serrault Objectif: découvrir le premier acte qui présente le personnage principal : scène d'exposition et scène 2

duo Christian Clavier-Gérard Depardieu, en prêtre et en directeur de cabaret réunis par les circonstances pour tirer un petit garçon des griffes de la mafia. Comédie de caractère, tendre et drôle, avec le Bonheur est dans le pré, dans laquelle Michel Serrault, patron d'une entreprise en faillite et lui-même au bord de la dépression, va quitter sa bourgeoise de femme - interprétée par l'étonnante Sabine Azéma - pour prendre la place d'un homme disparu quinze ans auparavant dans une famille de bons vivants

noir, en marge de la production traditionnelle où il réalisera des films comme "Les Compagnons de la marguerite" en 1967 ou encore "Le Miraculé" en 1987. Scénariste de ses films, il travaillera tout au long de sa carrière avec Jean Poiret, et Michel Serrault, ses acteurs fétiches (Le Miraculé). Cependant, les années 1990 s'annoncent difficiles après de nombreux échecs, il peine à trouver des financements pour ses films. Alors que le public le suit de moins en moins, il a de plus en plus de mal à

mort l'arbitre C’est un film dramatique français réalisé par Jean-Pierre Mocky, sorti en 1984. Pour avoir sifflé un penalty entraînant la défaite de l'équipe locale, un arbitre est poursuivi par une bande de supporters de l'équipe perdante. Michel Serrault : Rico Eddy Mitchell : Maurice Bruno, l'arbitre Carole Laure : Martine Vannier Jean-Pierre Mocky : l'inspecteur Granowski À l'approche d'un match de football important, un dispositif de police, dirigé par l'inspecteur Granowski, aidé par la

C’est celui qui incarne la tromperie, la farce. C’est l’homme au bel esprit et aux belles paroles. Séance 1 : étude de l'acte I Support : Le Bourgeois gentilhomme de Molière et adaptation cinématographique de la pièce de Pierre Badel avec Michel Serrault Objectif : découvrir le premier acte qui présente le personnage principal : scène d'exposition et scène 2 Hypothèses : pourquoi cette pièce s'intitule-t-elle le Bourgeois gentilhomme ? Peut-être s'agit-il d'un bourgeois qui va devenir noble

• Explorer les différentes interprétations d’une scène. LECTURE : - DE TEXTE : Une pièce de Molière : L’Avare - D’IMAGES MOBILES : Deux mises en scène du monologue d’Harpagon : • Réalisation (téléfilm) de Christian de Chalonge , avec Michel Serrault dans le rôle titre • Réalisation (film) de Jean Girault et de Louis de Funès, avec Louis de Funès dans le rôle titre ÉCRITURE : Pour soi : Prises de notes à partir de supports écrits et oraux ORAL : Diction (suite) : • Présentations orales

vie, un instrument moral ». Hommage[modifier | modifier le code] Frédéric H. Fajardie donne le nom d'Eugène Grindel au héros de son roman Clause de style (adapté au cinéma sous le titre Ne réveillez pas un flic qui dort avec Alain Delon et Michel Serrault). Un prix de poésie porte son nom, décerné par la Société des Poètes Français. Œuvres[modifier | modifier le code] Poésies[modifier | modifier le code] 1913 : Premiers poèmes 1916 : Le Devoir 1917 : Le Devoir et l'Inquiétude , avec une

métrage en 1975 : La meilleure façon de marcher, film original qui surprend mais séduit néanmoins. En 1981 il réalise Garde à vue, un thriller inspiré du roman Brainwash de John Wainwright, avec Romy Schneider, et qui réunit Michel Serrault et Lino Ventura, avec des dialogues de Michel Audiard. C’est son premier véritable succès, il obtiendra quatre Césars. Après ce film, il aura une période noire, adaptant des polars obscurs, comme Mortelle Randonnée en 1982 avec Isabelle Adjani dans le rôle d’une meurtrière

cinéma[modifier] * 1951 : Le Passe-muraille de Jean Boyer avec Bourvil, Joan Greenwood, Raymond Souplex, Gérard Oury * 1959 : Ein Mann geht durch die Wand de Ladislao Vajda * 1977 : Le Passe-muraille [1], téléfilm de Pierre Tchernia avec Michel Serrault.

folles de Jean Poiret est difficilement lisible. Non pas que les dialogues soient compliqués, mais encore une fois, même si l'on a une imagination fertile, il est difficile de croire que la scène où Poiret apprend à son partenaire et complice Michel Serrault comment tartiner ou porter une tasse à ses lèvres, donne le même effet lue que vue. Il est aussi possible d'envisager qu'Henry de Montherlant a fait sa déclaration avec une petite pointe d'amertume dans la mesure où ses pièces ne sont pas aussi