Mignon

loue la beauté de la jeune fille en la nommant « Mignonne », synonyme de « Belle » ou encore de « Jolie ». Dans ce même poème, il parle d’une rose rouge (« allons voir si la rose (…) sa robe de pourpre au soleil », v.1-3), le symbole de l’amour. De plus, les deux auteurs complimentent leurs bien-aimées, Queneau en lui rédigeant un blason, c’est-à-dire un éloge d’une partie d’un corps féminin (« ton teint de rose / ta taille de guêpe / tes mignons biceps / tes ongles d’émail / ta cuisse de nymphe

luxures les plus criantes. Le personnel impérial du roman zolien est à cet égard éloquent : le baron Gouraud est un sénateur dépravé, Monsieur de Mareuil « un candidat perpétuel à la députation » (chapitre 1), les hommes d’affaires Toutin Laroche, Mignon et Charrier des entrepreneurs enrichis et mal dégrossis, les femmes du monde se confondent avec les demi-mondaines. Au chapitre 4, Renée se rend chez Blanche Müller, tandis que Suzanne Haffner et Adeline d’Espanet, surnommées les « deux inséparables »

exprimant leurs émotions les plus profondes. Le poète fait appel aux sentiments du lecteur à travers de nombreux lieux communs comme Ronsard qui traite le thème de la fuite du temps dans « Quand vous serez bien vielle… » ou celui de la nature dans « Mignonne, allons voir si la rose… » souvent liés à celui de l’amour, présent dans ces deux derniers poèmes. Parfois, le poète utilise même le thème récurrent de la mort qui amplifie l’émotion du lecteur. Il utilise un vocabulaire et une ponctuation très expressive

dernier était assis, sur le banc qui se trouvait juste derrière elle, et depuis près de deux heures il restait là à contempler la beauté époustouflante de cette inconnue, et à chaque nouveau regard qu’il posait sur son corps, il la trouvait encore plus mignonne. En effet, si l’on devait trouver à l’apparence physique de cette femme un quelconque défaut, ce ne serait pas sans grandes difficultés. Elle avait des cheveux d’un blond brillant avec des boucles dorées. Ses cheveux avaient une apparence soyeuse

sûrement pas loin de la mort. Il était maigre. Très maigre. Il semblait d'une fragilité sans pareil. Il avait une tâche blanche au niveau de l'oeil droit, et aux pattes arrières. Sinon, son pelage était noir. À première vue, il n semblait ni beau, ni mignon, rien que tout autre chiot bien lavé et bien entretenu n'envoyait comme image. Pourtant, à travers mes petits yeux d'un jeune enfant de six ans, ce petit être vulnérable était la plus belle chose qu'il m'ait été donné de voir. En m'approchant davantage

luxures les plus criantes. Le personnel impérial du roman zolien est à cet égard éloquent : le baron Gouraud est un sénateur dépravé, Monsieur de Mareuil « un candidat perpétuel à la députation » (chapitre 1), les hommes d’affaires Toutin Laroche, Mignon et Charrier des entrepreneurs enrichis et mal dégrossis, les femmes du monde se confondent avec les demi-mondaines. Au chapitre 4, Renée se rend chez Blanche Müller, tandis que Suzanne Haffner et Adeline d’Espanet, surnommées les « deux inséparables

Andouille(tte)/Boudin/Saucisse Andouille(tte) Boudin Saucisses Saucissons Boeuf En sauce Sauces Daube Emincés Goulash Jarret Langue Haché Autres Boulettes de viande Canard/Canette/Caille/Oie/Pigeons Canard Cailles Pigeon Chair/Crépinettes/Farce Filet mignon Gibiers Grenouille Lapin Mouton/Agneau Paupiettes Porc Côtes de porc Jambon/Jarret Joue de porc Langue Divers / en sauce Poulet/Dinde/Pintade/Chapon/Poule Autres Aiguillettes Blanc de Poulet Cari de poulet Colombo Coq Cuisse de dinde Cuisse de poulet

Cassandre, présence des pp de la présence ( 1ère et 2ème personne), on relève des impératifs (allons et cueillez), des pronoms prossessif comme «  votre », ainsi que des adjectifs possessifs tel que « votre ». On remarque une triple apostrophe de « mignonne », qui est le destinataire du poème. Et grâce au connecteur temporel «  cette vesprée », on sait que l’histoire ce passe au crépuscule. * Composition du poème Strophe 1 : il s’agit de l’invitation adréssé a cassandre. Strophe 2 : on

quatrains en octosyllabes à rimes croisées avec des enjambement comme «  Un trait de bistre/Cerne son œil.. ». Nous avons plusieurs champs lexicaux celui du corps tels que : “son œil” , “ses cheveux” , “sa peau” , “sa nuque” ,“son chignon”, “son corps mignon”. Du diable : “noir sinistre » qui peut évoquer la mort ou la nuit ; “le diable”, “ ambre fauve” , qui souligne le caractère sauvage de Carmen. Nous avons aussi le champ lexical de la couleurs: « rouge », « pourpre » « ambre ».. Deuxièmement

« Je vis, je meurs... »« Heureux qui comme Ulysse... »« Mignonne, allons voir si la rose... »« Quand vous serez bien vieille... »« Je vous envoie un bouquet... »« La complainte du progrès... »RECUEILSonnetsLes RegretsLes Amours de CassandreSonnets pour HélèneSecond Livre des AmoursDATE155515581545157815551955AUTEURLouise LABEJoachim DU BELLAYPierre DE RONSARDPierre DE RONSARDPierre DE RONSARDBoris VIANGROUPE/MOUVEMENT LITTERAIREEcole lyonnaise – Rennaisance (influencé Pétrarquisme)La Pléiade – Renaissance